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Irak : Emmanuel Macron prône le dialogue avec les Kurdes

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  • Irak : Emmanuel Macron prône le dialogue avec les Kurdes

    Le président de la République Emmanuel Macron recevait ce matin à l'Elysée le Premier ministre de la région autonome kurde d'Irak, Nechervan Barzani. Emmanuel Macron a appelé samedi à l'ouverture rapidement d'un dialogue entre les autorités irakiennes et les Kurdes d'Irak, en recevant à l'Elysée le Premier ministre de la région autonome kurde.
    "La France appelle à ce qu'un dialogue national, constructif, puisse s'enclencher en Irak", a déclaré le président après s'être entretenu avec Nechervan Barzani et le vice-Premier ministre Qoubad Talabani. M. Barzani lui a répondu, en assurant que les autorités kurdes étaient "prêtes à entamer des négociations pour régler tous les problèmes" avec Bagdad.
    La crise persiste entre Erbil, capitale du Kurdistan irakien, et le gouvernement irakien, deux mois après le référendum d’indépendance organisé par les autorités kurdes et auquel Bagdad s'était fermement opposé.
    Depuis, M. Macron, qui a reçu le Premier ministre irakien Haïder al-Abadi le 29 octobre, cherche à "faciliter le dialogue" en profitant "des bonnes relations que Paris entretient avec les différentes parties" selon l'Elysée.
    "Avoir un Irak fort, réconcilié, pluraliste et qui reconnait chacune de ses composantes est une condition de la stabilité immédiate et de moyen terme" du Moyen-Orient, a déclaré le chef de l'Etat français.


    Pour lui, la "nouvelle génération de dirigeants kurdes" que représentent Nechervan Barzani, neveu de l'ex-président du Kurdistan irakien Massoud Barzani, et Qoubad Talabani, fils de l'ancien président irakien Jalal Talabani décédé en octobre, "a une responsabilité historique à jouer".
    "La France se mettra à disposition des parties pour que ce dialogue national constructif puisse réussir", a ajouté M. Macron, en indiquant qu'il s'entretiendra prochainement avec M. Abadi.
    Nechervan Barzani a réaffirmé samedi que les Kurdes "respectaient" la décision de la cour fédérale irakienne jugeant anticonstitutionnel le référendum de septembre. Il a également assuré n'avoir "aucun problème avec le gouvernement fédéral au sujet du contrôle des frontières", Bagdad exigeant de reprendre en main celles qui sont contrôlées par les Kurdes.
    Pour l'Elysée, M. Barzani "se situe dans la logique d'un cadre unifié de l'Irak", ce qui est "constructif".
    Parismatch.
    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

  • #2
    Catalogne : Emmanuel Macron apporte un soutien sans faille à Madrid


    Le président français Emmanuel Macron s'est dit "confiant" mardi dans une solution pacifique au conflit qui oppose Madrid aux séparatistes en Catalogne.

    Un seul Etat : l'Espagne. Un seul interlocuteur légitime : son Premier ministre, Mariano Rajoy. Voilà comment résumer la position d'Emmanuel Macron. Mardi, lors d'un débat à l'Université Goethe de Francfort en Allemagne, avant l'inauguration de la Foire du livre, le président français est sorti d'une forme de réserve sur le sujet. "Je n'ai pas le sentiment que la Catalogne soit supprimée", a-t-il déclaré.

    Rajoy et Puigdemont pas reconnus "sur un pied d'égalité". Quelques heures avant le discours du président catalan, qui a déclaré l'indépendance de la région avant de temporiser, Emmanuel Macron affirmait même que ni la France, ni l'Europe, ne devaient intervenir. "Il y a un coup de force que j'entends, que je vois, des Catalans. Je souhaite qu'il soit géré dans la paix. Je pense que ce sera le cas, mais je pense qu'il faut faire attention à ce que l'on fait et au sens des mots. Une médiation prend deux partis comme des égaux. Je ne peux pas, en tant que chef d'Etat voisin et ami, reconnaître sur un pied d'égalité le Premier ministre espagnol et le président de la communauté de Catalogne. Et les institutions européennes ne peuvent pas faire cela", a déclaré le président français.
    Dans l'entourage d'Emmanuel Macron, on rappelle son attachement à l'état de droit, que l'Europe des Etats souverains est au cœur de son projet, et qu'il s'agit toujours d'une affaire interne à l'Espagne.


    Europe1
    La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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    • #3
      Ces chargnardes occidentales prônent le dialogue en Irak et emprisonnent les séparatistes en Espagne :22:
      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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      • #4
        "La France appelle à ce qu'un dialogue national, constructif, puisse s'enclencher en Irak"
        Macron est président, ministre des affaires étrangères, ministre de la défense et j'en sais pas quoi d'autres . Avec ses turlutements affreux il va finir comme un idiot.
        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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        • #5
          La constitution Française donne au Président tous les pouvoirs

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