J'avais à peine 17 ans et je vivais à Biskra.
Je n'étais jamais sorti d'Algérie, je ne connaissais tout simplement pas le Québec à cette époque là.
C'est évident que les deux dernières décennies, les Algériens qui choisissent le Québec, ou plutôt que le Québec choisit, c'est d'abord pour le français et leurs qualifications professionnelles.
C'est une province très agréable à vivre oû il est facile de s'intégrer pour autant qu'on le veuille.
Les nouveaux arrivants toutefois peinent à trouver le bon travail.
Je n'étais jamais sorti d'Algérie, je ne connaissais tout simplement pas le Québec à cette époque là.
C'est évident que les deux dernières décennies, les Algériens qui choisissent le Québec, ou plutôt que le Québec choisit, c'est d'abord pour le français et leurs qualifications professionnelles.
C'est une province très agréable à vivre oû il est facile de s'intégrer pour autant qu'on le veuille.
Les nouveaux arrivants toutefois peinent à trouver le bon travail.
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