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Suite à la découverte de munitions dans la province d’Errachidia)
Sérieux risques de trafic d’armes via l’Algérie
La découverte de munitions à Errachidia après les crues qui ont dévasté le champ de tir des FAR a mis la région en effervescence et provoqué un état d’alerte auprès des forces de sécurité et militaires.
Rappelons que les forces de sécurité avaient découvert une quantité variée de munitions à Oued Lahmar, non loin de l’endroit où a eu lieu une déflagration. L’absence d’informations sur le sujet, secret de l’enquête oblige, n’est pas sans aviver un sentiment d’inquiétude auprès des habitants de la ville qui craignent que la région ne devienne un carrefour de trafic d’armes via la frontière algéro- marocaine.
D’un autre côté, on a relevé un renforcement militaire dans la région où les Forces Armées Royales sont en train de renforcer leur présence, en hommes et en armements, dans cette région frontalière s’étendant de la province d’Errachidia aux provinces de Zagora et Tata.
Ces renforcements militaires s’inscrivent dans le cadre d’un plan sécuritaire entamé par le Maroc dans le cadre d’une campagne de lutte contre le terrorisme après que des informations faisaient état de la présence d’une base arrière d’Al Qaïda dans la région du Sahel.
Selon des sources sur place, il y aurait dans la région des trafiquants connaissant très bien la région et les couloirs de trafic, aidés en cela par les difficultés de contrôle dues à l’étendue de la région.
Ces trafiquants utilisent pour leur forfait tous les moyens adéquats, camions, véhicules 4/4, et moto à grosse cylindrée, sans oublier que la région est connue par un échange d’activités entre le Maroc et l’Algérie, du fait que les souks au Maroc et en Algérie sont visités de part et d’autre et par les Algériens et par les Marocains.
Sérieux risques de trafic d’armes via l’Algérie
La découverte de munitions à Errachidia après les crues qui ont dévasté le champ de tir des FAR a mis la région en effervescence et provoqué un état d’alerte auprès des forces de sécurité et militaires.
Rappelons que les forces de sécurité avaient découvert une quantité variée de munitions à Oued Lahmar, non loin de l’endroit où a eu lieu une déflagration. L’absence d’informations sur le sujet, secret de l’enquête oblige, n’est pas sans aviver un sentiment d’inquiétude auprès des habitants de la ville qui craignent que la région ne devienne un carrefour de trafic d’armes via la frontière algéro- marocaine.
D’un autre côté, on a relevé un renforcement militaire dans la région où les Forces Armées Royales sont en train de renforcer leur présence, en hommes et en armements, dans cette région frontalière s’étendant de la province d’Errachidia aux provinces de Zagora et Tata.
Ces renforcements militaires s’inscrivent dans le cadre d’un plan sécuritaire entamé par le Maroc dans le cadre d’une campagne de lutte contre le terrorisme après que des informations faisaient état de la présence d’une base arrière d’Al Qaïda dans la région du Sahel.
Selon des sources sur place, il y aurait dans la région des trafiquants connaissant très bien la région et les couloirs de trafic, aidés en cela par les difficultés de contrôle dues à l’étendue de la région.
Ces trafiquants utilisent pour leur forfait tous les moyens adéquats, camions, véhicules 4/4, et moto à grosse cylindrée, sans oublier que la région est connue par un échange d’activités entre le Maroc et l’Algérie, du fait que les souks au Maroc et en Algérie sont visités de part et d’autre et par les Algériens et par les Marocains.
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