«Si l’empire ou les gouvernements d’extrême droite d'[Amérique latine] souhaitent un jour parler dans un contexte de paix et de respect, je suis toujours ouvert au dialogue , je m’adresse ici à l’empire :C’est un péché d’essayer de déstabiliser le Venezuela!». Nicolas Maduro
————–
Malgré tous les pronostics funestes des médias américains et européens, malgré toutes les sanctions américaines et européennes, le peuple, ce peuple que l’on dit dans une misère noire et qui fait face à une inflation de plusieurs centaines de% a donné au président Maduro une majorité confortable pour gouverner les prochaines années. Certes, le président Maduro n’a pas le même charisme que le président Chavez, il n’empêche qu’il a su garder la tête hors de l’eau malgré les crocs-en-jambe de l’empire, les appels à la désobéissance… En juillet 2017 ayant fait des élections anticipées pour l’Assemblée constituante et la réussite du parti chaviste aux dernières municipales, Nicolas Maduro a remporté la présidentielle.
Pour l’universitaire Salim Lamrani Maitre de conférences à l’Université de la Réunion, «on ne peut lui nier sa légitimité démocratique». « Cette élection présidentielle écrit-il est la preuve que le Venezuela est une démocratie qui fonctionne normalement, même si les médias occidentaux s’échinent à présenter ce pays comme un régime autoritaire. (…) Le problème du Venezuela n’est pas Nicolas Maduro. Le problème est que ce pays subit le joug d’une opposition putschiste et antidémocratique qui refuse systématiquement le suffrage populaire dès lors qu’il lui est défavorable.
Le peuple vénézuélien mérite une opposition digne de ce nom car une opposition constructive et respectueuse de la volonté du peuple est nécessaire à la vie politique. (…) Seuls Washington et ses alliés, dont l’Union européenne, s’opposent à la volonté du peuple vénézuélien et aux règles démocratiques. On peut exprimer un désaccord avec la politique menée par le gouvernement, mais en aucun cas lui nier sa légitimité démocratique. Les alliés de Washington s’alignent sur la politique de leur maître et considèrent que ces élections sont illégitimes internes.» (1)
Maduro dénonce «l’empire» et appelle au dialogue
Il était le favori à sa propre succession, Nicolas Maduro a été réélu président de la République bolivarienne du Venezuela avec 67,7% des voix.
Fortement critiqué en Occident, le scrutin était également rejeté par une partie de l’opposition. Le 20 mai 2018 se tenait l’élection présidentielle vénézuélienne. Réélu haut la main, Nicolas Maduro a remporté 67,7% des suffrages, se plaçant largement en tête devant son principal opposant, Henri Falcón, qui obtient quant à lui 21,2% des voix. Le scrutin s’est déroulé alors qu’une partie de l’opposition avait appelé au boycott.
L’élection a de fait été marquée par un fort taux d’abstention – environ 52%, le plus important depuis 1958. Selon le décompte officiel, le président sortant a donc obtenu 5.823.728 de suffrages sur 8.603.936 de votes.» (2)
Naturellement il y a ceux qui ont salué cette victoire somme toute normale et non entachée d’irrégularités et les autres….«Je suis très heureux que Maduro n’ait pas perdu, car les Etats-Unis prendraient tout en charge, tout comme ils le font en Argentine», a déclaré L’ancien footballeur argentin Diego Maradona. L’ancien entraîneur de l’Equipe nationale argentine soutient depuis longtemps la révolution bolivarienne et est un fervent défenseur des politiques néolibérales en Amérique laatine. (…) Malgré les critiques de l’opposition et d’autres détracteurs, Maradona est resté ferme dans son soutien au gouvernement vénézuélien et au président Nicolas Maduro. «Mon dos est assez large pour contenir tout ce qu’ils veulent me dire. J’envoie un gros câlin à tous les Vénézuéliens!» conclut-il. (3).
Dans le même ordre, La Chine et la Russie appellent à respecter les élections au Venezuela Les pays autres que l’empire et sas vassaux européens et sud-américains, ont une attitude plus responsable. Ils confortent l’élection qu’ils jugent régulière.: «Les parties impliquées doivent respecter la décision du peuple vénézuélien», a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lu Kang, lors d’une conférence de presse à Beijing. Kang a affirmé la politique de la Chine de ne pas interférer dans les affaires intérieures des autres pays et était convaincu que le gouvernement et les citoyens vénézuéliens seraient en mesure de résoudre les problèmes. «La Chine traitera les questions pertinentes conformément à la pratique diplomatique», a ajouté le porte-parole.
Le président Nicolas Maduro a remporté l’élection présidentielle vénézuélienne dimanche, obtenant un second mandat présidentiel de six ans avec plus de 5,8 millions de voix, a rapporté le Conseil national électoral (CNE)» (4)
««Nous devons malheureusement noter que dans ces élections, en plus des deux participants traditionnels, à savoir, le peuple vénézuélien, les électeurs, d’une part, et de l’autre les candidats qui ont présenté leurs programmes… il y avait un troisième participant, les gouvernements qui ont appelé ouvertement au boycott du vote «, a déclaré Alexánder Schetinin, directeur du département latino-américain du ministère des Affaires étrangères. (…) Le soi-disant groupe de Lima plus le Canada a publié une déclaration lundi en disant qu’il n’a pas reconnu la légitimité de l’élection présidentielle du Venezuela. La déclaration a indiqué que les pays rappelleraient leurs ambassadeurs de Caracas pour des consultations et organiseraient une réunion pour coordonner une réponse régionale à ce qu’ils appellent la «crise» au Venezuela. Ils ont également dit qu’ils chercheraient une nouvelle résolution sur «la situation» dans le pays sud-américain.» (4)
Le Groupe de Lima qui reçoit ses ordres auprès de l’Empire, ce sont en quelques sortes, les vassaux de l’Amérique centrale du Sud, auquel il faut ajouter le Brésil de Michel Temer,souvenez vous c’est celui qui a mis Lulla en prison, comprend le Pérou, l’Argentine, le Mexique, le Panama, le Paraguay, Santa Lucia, le Canada, la Colombie, le Honduras, le Costa Rica et le Guatemala. Il en est de même de l’Union Européenne fidèle à la ligne américaine qui dit ne pas reconnaître les élections
Le Venezuela ne risque pas de connaitre la paix
Pourquoi cet acharnement qui a commencé avec Chavez ? Pourtant lui aussi à l’époque réélu sans conteste comme a témoigné Jimmy Carter ancien président des Etats Unis qui a participé à la supervision des élections ! La réponse n’est pas à chercher dans l’entêtement américain à vouloir le bonheur des Vénézuéliens, mais, encore une fois, c’est le pétrole qui est l’explication. Le Venezuela possède les troisièmes réserves au monde de pétrole. Et curieusement l’un des clients, même dans cet état de belligérance est les Etats Unis ! Il est normal que tout sera fait pour déstabiliser le Venezuela pour y asseoir un président plus conciliant
Stella Calloni révèle le plan secret du SouthCom pour renverser la République bolivarienne du Venezuela. Ce document, que nous avons publié, contredit les engagements du président Trump de mettre fin aux changements de régime qui caractérisaient la politique impériale US. Il atteste que l’image internationale de chaos du Venezuela est entièrement fabriquée et ressort exclusivement de la propagande anglo-saxonne.
Les États-Unis et leurs alliés préparent en silence un plan brutal pour «en finir avec la dictature» au Venezuela. Ce «Coup de Maître» (´´Masterstroke´´) déjà en marche verrait une première partie se mettre en place avant les prochaines élections, et, s’ils ne parviennent pas à chasser le président Nicolás Maduro lors de la nouvelle offensive, qui sera accompagnée de tout l’appareil de la propagande et des médias, outre des actions violentes «pour la défense de la démocratie», le Plan B est prêt, et il impliquera plusieurs pays, pour imposer une «force multilatérale» d’intervention militaire. Le Panama, la Colombie, le Brésil et la Guyana jouent un rôle clé, avec l’appui de l’Argentine et d’autres «amis» sous le contrôle du Pentagone. Les bases à occuper, les pays frontaliers qui fourniront un soutien direct, dont leurs hôpitaux et réserves de vivres pour les soldats, tout est prêt.» (5)
«Tout cela est spécifié poursuit-elle dans un document de 11 pages qui porte la signature de l’amiral Kurt Walter Tidd, actuel commandant en chef du SouthCom des États-Unis, non encore divulgué. Le document signé par le chef du SouthCom exige de rendre insoutenable le gouvernement de Maduro, pour le forcer à hésiter, à négocier ou à prendre la fuite (…) Ce n’est pas tout, il faut «structurer un plan pour obtenir la désertion des cadres les plus qualifiés, de façon à priver le pays de tous ses professionnels hautement qualifiés; cela aggravera encore plus la situation interne, ce dont on fera porter la responsabilité au gouvernement».
Comme dans un roman à suspense, le document appelle à «utiliser les officiers de l’armée comme alternative pour une solution définitive» et à «rendre encore plus dures les conditions au sein des Forces armées pour préparer un coup d’État avant la fin de l’année 2018 si cette crise ne suffisait pas à provoquer l’effondrement de la dictature, ou si le dictateur se refuse à laisser la place à d’autres». (…) Quant à la perspective stratégique, il va falloir «étouffer la symbolique chaviste avec sa représentativité et son soutien populaire» tout en poursuivant le harcèlement du dictateur «comme seul responsable de la crise dans laquelle il a plongé la nation» ainsi que ses plus proches exécutants, auxquels on imputera la crise et l’impossibilité d’en sortir (5).
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Malgré tous les pronostics funestes des médias américains et européens, malgré toutes les sanctions américaines et européennes, le peuple, ce peuple que l’on dit dans une misère noire et qui fait face à une inflation de plusieurs centaines de% a donné au président Maduro une majorité confortable pour gouverner les prochaines années. Certes, le président Maduro n’a pas le même charisme que le président Chavez, il n’empêche qu’il a su garder la tête hors de l’eau malgré les crocs-en-jambe de l’empire, les appels à la désobéissance… En juillet 2017 ayant fait des élections anticipées pour l’Assemblée constituante et la réussite du parti chaviste aux dernières municipales, Nicolas Maduro a remporté la présidentielle.
Pour l’universitaire Salim Lamrani Maitre de conférences à l’Université de la Réunion, «on ne peut lui nier sa légitimité démocratique». « Cette élection présidentielle écrit-il est la preuve que le Venezuela est une démocratie qui fonctionne normalement, même si les médias occidentaux s’échinent à présenter ce pays comme un régime autoritaire. (…) Le problème du Venezuela n’est pas Nicolas Maduro. Le problème est que ce pays subit le joug d’une opposition putschiste et antidémocratique qui refuse systématiquement le suffrage populaire dès lors qu’il lui est défavorable.
Le peuple vénézuélien mérite une opposition digne de ce nom car une opposition constructive et respectueuse de la volonté du peuple est nécessaire à la vie politique. (…) Seuls Washington et ses alliés, dont l’Union européenne, s’opposent à la volonté du peuple vénézuélien et aux règles démocratiques. On peut exprimer un désaccord avec la politique menée par le gouvernement, mais en aucun cas lui nier sa légitimité démocratique. Les alliés de Washington s’alignent sur la politique de leur maître et considèrent que ces élections sont illégitimes internes.» (1)
Maduro dénonce «l’empire» et appelle au dialogue
Il était le favori à sa propre succession, Nicolas Maduro a été réélu président de la République bolivarienne du Venezuela avec 67,7% des voix.
Fortement critiqué en Occident, le scrutin était également rejeté par une partie de l’opposition. Le 20 mai 2018 se tenait l’élection présidentielle vénézuélienne. Réélu haut la main, Nicolas Maduro a remporté 67,7% des suffrages, se plaçant largement en tête devant son principal opposant, Henri Falcón, qui obtient quant à lui 21,2% des voix. Le scrutin s’est déroulé alors qu’une partie de l’opposition avait appelé au boycott.
L’élection a de fait été marquée par un fort taux d’abstention – environ 52%, le plus important depuis 1958. Selon le décompte officiel, le président sortant a donc obtenu 5.823.728 de suffrages sur 8.603.936 de votes.» (2)
Naturellement il y a ceux qui ont salué cette victoire somme toute normale et non entachée d’irrégularités et les autres….«Je suis très heureux que Maduro n’ait pas perdu, car les Etats-Unis prendraient tout en charge, tout comme ils le font en Argentine», a déclaré L’ancien footballeur argentin Diego Maradona. L’ancien entraîneur de l’Equipe nationale argentine soutient depuis longtemps la révolution bolivarienne et est un fervent défenseur des politiques néolibérales en Amérique laatine. (…) Malgré les critiques de l’opposition et d’autres détracteurs, Maradona est resté ferme dans son soutien au gouvernement vénézuélien et au président Nicolas Maduro. «Mon dos est assez large pour contenir tout ce qu’ils veulent me dire. J’envoie un gros câlin à tous les Vénézuéliens!» conclut-il. (3).
Dans le même ordre, La Chine et la Russie appellent à respecter les élections au Venezuela Les pays autres que l’empire et sas vassaux européens et sud-américains, ont une attitude plus responsable. Ils confortent l’élection qu’ils jugent régulière.: «Les parties impliquées doivent respecter la décision du peuple vénézuélien», a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lu Kang, lors d’une conférence de presse à Beijing. Kang a affirmé la politique de la Chine de ne pas interférer dans les affaires intérieures des autres pays et était convaincu que le gouvernement et les citoyens vénézuéliens seraient en mesure de résoudre les problèmes. «La Chine traitera les questions pertinentes conformément à la pratique diplomatique», a ajouté le porte-parole.
Le président Nicolas Maduro a remporté l’élection présidentielle vénézuélienne dimanche, obtenant un second mandat présidentiel de six ans avec plus de 5,8 millions de voix, a rapporté le Conseil national électoral (CNE)» (4)
««Nous devons malheureusement noter que dans ces élections, en plus des deux participants traditionnels, à savoir, le peuple vénézuélien, les électeurs, d’une part, et de l’autre les candidats qui ont présenté leurs programmes… il y avait un troisième participant, les gouvernements qui ont appelé ouvertement au boycott du vote «, a déclaré Alexánder Schetinin, directeur du département latino-américain du ministère des Affaires étrangères. (…) Le soi-disant groupe de Lima plus le Canada a publié une déclaration lundi en disant qu’il n’a pas reconnu la légitimité de l’élection présidentielle du Venezuela. La déclaration a indiqué que les pays rappelleraient leurs ambassadeurs de Caracas pour des consultations et organiseraient une réunion pour coordonner une réponse régionale à ce qu’ils appellent la «crise» au Venezuela. Ils ont également dit qu’ils chercheraient une nouvelle résolution sur «la situation» dans le pays sud-américain.» (4)
Le Groupe de Lima qui reçoit ses ordres auprès de l’Empire, ce sont en quelques sortes, les vassaux de l’Amérique centrale du Sud, auquel il faut ajouter le Brésil de Michel Temer,souvenez vous c’est celui qui a mis Lulla en prison, comprend le Pérou, l’Argentine, le Mexique, le Panama, le Paraguay, Santa Lucia, le Canada, la Colombie, le Honduras, le Costa Rica et le Guatemala. Il en est de même de l’Union Européenne fidèle à la ligne américaine qui dit ne pas reconnaître les élections
Le Venezuela ne risque pas de connaitre la paix
Pourquoi cet acharnement qui a commencé avec Chavez ? Pourtant lui aussi à l’époque réélu sans conteste comme a témoigné Jimmy Carter ancien président des Etats Unis qui a participé à la supervision des élections ! La réponse n’est pas à chercher dans l’entêtement américain à vouloir le bonheur des Vénézuéliens, mais, encore une fois, c’est le pétrole qui est l’explication. Le Venezuela possède les troisièmes réserves au monde de pétrole. Et curieusement l’un des clients, même dans cet état de belligérance est les Etats Unis ! Il est normal que tout sera fait pour déstabiliser le Venezuela pour y asseoir un président plus conciliant
Stella Calloni révèle le plan secret du SouthCom pour renverser la République bolivarienne du Venezuela. Ce document, que nous avons publié, contredit les engagements du président Trump de mettre fin aux changements de régime qui caractérisaient la politique impériale US. Il atteste que l’image internationale de chaos du Venezuela est entièrement fabriquée et ressort exclusivement de la propagande anglo-saxonne.
Les États-Unis et leurs alliés préparent en silence un plan brutal pour «en finir avec la dictature» au Venezuela. Ce «Coup de Maître» (´´Masterstroke´´) déjà en marche verrait une première partie se mettre en place avant les prochaines élections, et, s’ils ne parviennent pas à chasser le président Nicolás Maduro lors de la nouvelle offensive, qui sera accompagnée de tout l’appareil de la propagande et des médias, outre des actions violentes «pour la défense de la démocratie», le Plan B est prêt, et il impliquera plusieurs pays, pour imposer une «force multilatérale» d’intervention militaire. Le Panama, la Colombie, le Brésil et la Guyana jouent un rôle clé, avec l’appui de l’Argentine et d’autres «amis» sous le contrôle du Pentagone. Les bases à occuper, les pays frontaliers qui fourniront un soutien direct, dont leurs hôpitaux et réserves de vivres pour les soldats, tout est prêt.» (5)
«Tout cela est spécifié poursuit-elle dans un document de 11 pages qui porte la signature de l’amiral Kurt Walter Tidd, actuel commandant en chef du SouthCom des États-Unis, non encore divulgué. Le document signé par le chef du SouthCom exige de rendre insoutenable le gouvernement de Maduro, pour le forcer à hésiter, à négocier ou à prendre la fuite (…) Ce n’est pas tout, il faut «structurer un plan pour obtenir la désertion des cadres les plus qualifiés, de façon à priver le pays de tous ses professionnels hautement qualifiés; cela aggravera encore plus la situation interne, ce dont on fera porter la responsabilité au gouvernement».
Comme dans un roman à suspense, le document appelle à «utiliser les officiers de l’armée comme alternative pour une solution définitive» et à «rendre encore plus dures les conditions au sein des Forces armées pour préparer un coup d’État avant la fin de l’année 2018 si cette crise ne suffisait pas à provoquer l’effondrement de la dictature, ou si le dictateur se refuse à laisser la place à d’autres». (…) Quant à la perspective stratégique, il va falloir «étouffer la symbolique chaviste avec sa représentativité et son soutien populaire» tout en poursuivant le harcèlement du dictateur «comme seul responsable de la crise dans laquelle il a plongé la nation» ainsi que ses plus proches exécutants, auxquels on imputera la crise et l’impossibilité d’en sortir (5).
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