Mais pourquoi les Sahraouis s'exileraient au Maroc- un pays que tous les Marocains rêvent de fuir- alors qu'ils (Sahraouis) sont d'office espagnols? Donc, c'est vers la nation ibérique (en particulier en territoires nord-africains espagnols, Ceuta ou Melilla notamment) que les Sahraouis devraient se diriger.
- L’autre récit de Mahjoub Salek : «Le Maroc n’encourage pas les Sahraouis à revenir»
Concernant sa décision de ne pas revenir définitivement au Maroc, Mahjoub Salek nous confie rentrer au pays pour des visites familiales «avec un passeport espagnol», tout en se demandant «que fait le Maroc pour les revenants de Tindouf».
«Le Maroc n’a rien fait pour celles et ceux qui ont décidé d’y revenir. Ils sont dix mille et parmi eux il y a des intellectuels, des responsables, des représentants tribaux, des professeurs et des journalistes. Le Maroc les a laissés à la marge en leur accordant une carte d’entraide nationale. Ils pensaient que nous mourrions de faim dans les camps, sauf que là-bas, c’était de dignité dont nous avions soif. Lorsque ces gens ont réalisé que le Polisario bafouait leur dignité avec l’appui d’Alger, ils sont partis vers le Maroc, mais ils ne l’y ont pas retrouvée.» dixit Mahjoub Salek.
Notre interlocuteur indique que les conditions de vie ne se sont pas améliorées depuis. C’est même le contraire qui se serait produit, selon lui : «Un haut responsable revenant du Polisario m’a dit ‘au moins, sous Driss Basri et Hassan II, un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur était chargé de nous recevoir pour nous aider à résoudre nos problèmes. Aujourd’hui, plus personne ne s’occupe de ce service au sein du ministère, où nous restons transparents lorsque nous y allons.»
Ya.........bi (extraits)
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- L’autre récit de Mahjoub Salek : «Le Maroc n’encourage pas les Sahraouis à revenir»
Concernant sa décision de ne pas revenir définitivement au Maroc, Mahjoub Salek nous confie rentrer au pays pour des visites familiales «avec un passeport espagnol», tout en se demandant «que fait le Maroc pour les revenants de Tindouf».
«Le Maroc n’a rien fait pour celles et ceux qui ont décidé d’y revenir. Ils sont dix mille et parmi eux il y a des intellectuels, des responsables, des représentants tribaux, des professeurs et des journalistes. Le Maroc les a laissés à la marge en leur accordant une carte d’entraide nationale. Ils pensaient que nous mourrions de faim dans les camps, sauf que là-bas, c’était de dignité dont nous avions soif. Lorsque ces gens ont réalisé que le Polisario bafouait leur dignité avec l’appui d’Alger, ils sont partis vers le Maroc, mais ils ne l’y ont pas retrouvée.» dixit Mahjoub Salek.
Notre interlocuteur indique que les conditions de vie ne se sont pas améliorées depuis. C’est même le contraire qui se serait produit, selon lui : «Un haut responsable revenant du Polisario m’a dit ‘au moins, sous Driss Basri et Hassan II, un fonctionnaire du ministère de l’Intérieur était chargé de nous recevoir pour nous aider à résoudre nos problèmes. Aujourd’hui, plus personne ne s’occupe de ce service au sein du ministère, où nous restons transparents lorsque nous y allons.»
Ya.........bi (extraits)
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