Rien d'étonnant que 'on connaît la carte de ces trois dictateurs et qui plus est s'agissant du sujet relatif à la corruption.
- Mohammed VI, Lourenço, Sissi… les grands absents du sommet de l’Union africaine
Les dirigeants du continent se réunissent ce dimanche à Nouakchott pour un sommet consacré à la lutte contre la corruption.
Alors que s’ouvrira officiellement le 1er juillet le 31e sommet de l’Union africaine (UA) à Nouakchott, les autorités mauritaniennes confient attendre une trentaine de chefs d’État. Le sommet de la Ligue arabe, organisé dans cette même capitale en juillet 2016, n’avait attiré que six présidents sur les vingt-deux attendus…
Plusieurs d’entre eux ne feront pas le déplacement jusqu’au Palais des congrès Al Mourabitoune, flambant neuf, dont les couloirs semblent encore un peu endormis. Parmi les grands absents, Mohammed VI, qui avait pourtant donné son accord de principe. Présent au sommet de janvier 2016, qui marquait le retour du Maroc au sein de l’UA, le roi s’était fait représenter en janvier à Addis-Abeba par le chef du gouvernement, Saâdeddine El Othmani.
Cette fois, la délégation marocaine sera conduite par le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, dont la réaction sera très attendue après la remise du rapport du président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, sur le Sahara occidental. Cette délégation ne croisera donc pas Cyril Ramaphosa, à la tête de l’Afrique du Sud depuis février, qui a rencontré le 6 juin le président de la République arabe sahraouie démocratique (Rasd).-.
Jeune Afique
- Mohammed VI, Lourenço, Sissi… les grands absents du sommet de l’Union africaine
Les dirigeants du continent se réunissent ce dimanche à Nouakchott pour un sommet consacré à la lutte contre la corruption.
Alors que s’ouvrira officiellement le 1er juillet le 31e sommet de l’Union africaine (UA) à Nouakchott, les autorités mauritaniennes confient attendre une trentaine de chefs d’État. Le sommet de la Ligue arabe, organisé dans cette même capitale en juillet 2016, n’avait attiré que six présidents sur les vingt-deux attendus…
Plusieurs d’entre eux ne feront pas le déplacement jusqu’au Palais des congrès Al Mourabitoune, flambant neuf, dont les couloirs semblent encore un peu endormis. Parmi les grands absents, Mohammed VI, qui avait pourtant donné son accord de principe. Présent au sommet de janvier 2016, qui marquait le retour du Maroc au sein de l’UA, le roi s’était fait représenter en janvier à Addis-Abeba par le chef du gouvernement, Saâdeddine El Othmani.
Cette fois, la délégation marocaine sera conduite par le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, dont la réaction sera très attendue après la remise du rapport du président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, sur le Sahara occidental. Cette délégation ne croisera donc pas Cyril Ramaphosa, à la tête de l’Afrique du Sud depuis février, qui a rencontré le 6 juin le président de la République arabe sahraouie démocratique (Rasd).-.
Jeune Afique
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