Affaire Alexandre Benalla: confirmation du retour du fascisme en Europe?

[houari16]

Pourquoi " Benalla " est protégé par Macron ???

l’affaire Alexandre Benalla n’est que la partie visible de l’iceberg.

Le mystère demeure ???
Une brute recrutée ??
Pourquoi ??
par qui ??
Comment , il est arrivé jusqu à l’Élysée ????

Alexandre Benalla est chargé de mission auprès du chef de l’Etat.
Il est adjoint au chef de cabinet du président de la République, bien qu’il n’apparaisse pas dans l’organigramme officiel.

cette affaire va sortir le "" cracra "" français à l Élysée

[rago]

@alibigoud" Je n'ai pas entendu dire qu'il y avait beaucoup de suédois en garde à vue.bLe mépris et les violences seraient donc réservées aux maghrébins ?Il faut aussi s'interroger sur les violences et le mépris de certains d'entre eux envers le pays où ils vivent
"
Etes-vous conscient envers vos fadaises? Pour un Etat évolué qu'est la Suède, il serait inimaginable que de ses citoyens si insignifiants en domicile français soient aussi victimes du parjure raciste dont sont victimes les Maghrébins.

[alibigoud]

victimes du parjure raciste dont sont victimes les Maghrébins.

La victimisation fonctionne à plein régime.

[rago]

@alibigoud: " La victimisation fonctionne à plein régime."

En tous les cas, c'est la stricte réalité et n'en vous déplaise. A la même mesure que les assassins de Tsahal répliquent en balles de fusils réelles contre des cailloux d'enfants palestiniens!:22:

[hmida]

Tu y vas fort de café Rago,
Certes il y a quelques bavures et contrôle au faciès, mais cela concerne une petite minorité de flics.
C'est pas comparable avec le martyr des palestiniens...

[alibigoud]

A la même mesure que les assassins de Tsahal répliquent en balles de fusils réelles contre des cailloux d'enfants palestiniens!

Comparer les tirs à balles réelles de Tsahal aux dérapages de la police française, il fallait oser.
Il y a une réplique célèbre de Michel Audiart qui s'applique à votre cas, mais je suis trop courtois pour vous la citer.

[rago]

@alibigoud: " Comparer les tirs à balles réelles de Tsahal aux dérapages de la police française, il fallait oser."


Et pourquoi pas?

[alibigoud]

Et pourquoi pas?

Puisque vous mettez en parallèle les exactions de l'armée israélienne et les manquements de la police française, au demeurant peu nombreux, je n'ai plus à débattre de ce sujet.
Je vous laisse avec vos certitudes, avec l'espérance que vous ayez la chance de vivre dans un pays où la police est exemplaire.
Si vous vivez en France, vous devez alors être très malheureux au point d'avoir à comparer la police du pays où vous vivez avec les forces de sécurité d'un pays qui n'hésite pas à tirer à balles réelles sur des manifestants.

[rago]

@ alibigous: " Je vous laisse avec vos certitudes, avec l'espérance que vous ayez la chance de vivre dans un pays où la police est exemplaire.


Si vous vivez en France, vous devez alors être très malheureux au point d'avoir à comparer la police du pays où vous vivez avec les forces de sécurité d'un pays qui n'hésite pas à tirer à balles réelles sur des manifestants."


Etonnante votre argutie puérile? Avez-vous déjà été victime du racisme des flics français?

[rago]

@alibioud: Vous êtes de droite qui plus est sioniste et donc rien d'étonnant que nos positions idéologiques sentiront le souffre!:22:

-De tout cela, les médias n’ont jamais sérieusement parlé. Et le pire est que, même avec un Benalla sous le nez, ils n’en parleront pas. Comme ils ne feront aucun des liens pourtant évidents que cette pitoyable affaire suggère de faire. À commencer par celui de la scène et de son contexte.

Car Benalla tabasse hardiment, comme la police, mais en plein mouvement social contre les ordonnances SNCF. Mouvement social, opposants, contestation, contestation débordante même étant donnée la nullité des principales confédérations syndicales : par conséquent faire peur. Faire peur en massacrant le premier venu et, sous le regard terrorisé des autres, faire passer à tous l’envie de revenir. Voilà le régime politique dans lequel nous vivons, dont les médias, dans un mélange de collusion fondamentale et d’insuffisance intellectuelle, ne diront jamais le moindre mot en toute généralité – l’affaire Benalla de ce point de vue est idéalement faite pour leur (re)donner l’impression d’être le fer de lance de la démocratie : parbleu, ils enquêtent ! ils soulèvent, ils sont intransigeants, ils n’hésitent pas à fièrement bousculer le pouvoir, ils sont la liberté en marche (pardon – enfin oui quand même, justement, la « liberté en marche », c’est-à-dire la version « En marche » de la liberté, la liberté Potemkine qui ne sait rien, ne veut rien savoir, et ne rien dire, de toutes les offenses aux libertés réelles).

Il est vrai qu’on ne passe pas facilement de la pâmoison devant Macron-le-disciple-de Paul Ricœur à Macron chef de bande à la tête d’un État-racaille. Il est plus vrai encore qu’ouvrir les yeux sur toutes ces choses immontrables forcerait à des révisions autrement déchirantes, une révision des catégories générales, les plus difficiles à bouger puisqu’elles commandent une entière vision du monde, dont l’abandon se paye de tous les coûts psychiques de s’avouer à soi-même s’être si longtemps, et si profondément, trompé.

Ainsi, de même qu’on n’a jamais réussi à faire reconnaître à l’éditorialisme que le Parti socialiste n’avait plus rien à voir avec le signifiant « gauche », dont l’étiquette lui avait été maintenue dans un mélange d’inertie et de cécité volontaire, de même il n’y aura probablement pas moyen de faire entendre que le néolibéralisme est un anti-démocratisme, qu’il est, par essence et non par accident, un illibéralisme, catégorie précisément formée pour être appliquée aux « autres » (les Hongrois, les Polonais…), c’est-à-dire pour mieux se dédouaner soi-même-.


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