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Le ministre de la Guerre israélien, Avigdor Lieberman, a déclaré mardi que le président syrien Bachar al-Assad «n'était pas satisfait» de la reprise du contrôle du sud de la Syrie et prévoyait de reconstituer l'armée syrienne.
«Nous voyons l'armée syrienne mécontente de prendre le contrôle de tout le territoire syrien, mais qui construit clairement une nouvelle armée terrestre à grande échelle qui reviendra à ses dimensions précédentes et au-delà», a affirmé M. Lieberman en regardant un exercice militaire du corps blindé de l'armée israélienne sur les hauteurs du Golan occupé.
Plus de sept ans après le début du conflit, l’armée syrienne a réussi à reprendre aux groupes terroristes des régions entières, contrôlant désormais près des deux-tiers du territoire, y compris la plupart des villes principales.
«Nous ne nous immisçons pas ni n'intervenons dans les affaires intérieures de la Syrie à condition que soient respectés trois points qui sont importants pour nous», a assuré le ministre israélien.
Il a mentionné notamment «le respect des accords de séparation de 1974» qui portent sur la création d'une zone tampon démilitarisée sur le plateau du Golan.
Evoquant les sanctions américaines sur la République islamique, M. Lieberman a également salué la décision des États-Unis de réimposer les sanctions contre l’Iran entrées en vigueur ce mardi.
«Par conséquent, nous soutenons fermement la décision du président Trump», a déclaré le ministre de la Guerre, exhortant la Maison Blanche à donner suite à sa deuxième série de sanctions, qui devrait entrer en vigueur le 5 novembre.
08/08/2018
alahednews
«Nous voyons l'armée syrienne mécontente de prendre le contrôle de tout le territoire syrien, mais qui construit clairement une nouvelle armée terrestre à grande échelle qui reviendra à ses dimensions précédentes et au-delà», a affirmé M. Lieberman en regardant un exercice militaire du corps blindé de l'armée israélienne sur les hauteurs du Golan occupé.
Plus de sept ans après le début du conflit, l’armée syrienne a réussi à reprendre aux groupes terroristes des régions entières, contrôlant désormais près des deux-tiers du territoire, y compris la plupart des villes principales.
«Nous ne nous immisçons pas ni n'intervenons dans les affaires intérieures de la Syrie à condition que soient respectés trois points qui sont importants pour nous», a assuré le ministre israélien.
Il a mentionné notamment «le respect des accords de séparation de 1974» qui portent sur la création d'une zone tampon démilitarisée sur le plateau du Golan.
Evoquant les sanctions américaines sur la République islamique, M. Lieberman a également salué la décision des États-Unis de réimposer les sanctions contre l’Iran entrées en vigueur ce mardi.
«Par conséquent, nous soutenons fermement la décision du président Trump», a déclaré le ministre de la Guerre, exhortant la Maison Blanche à donner suite à sa deuxième série de sanctions, qui devrait entrer en vigueur le 5 novembre.
08/08/2018
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