Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Plutôt la mort que le maroc !

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    @majhoub: " Tu deverais normalement te focaliser sûr ton Algérie au lieu du Maroc .Tu ri sûr qui ? Ta junte tu l adore jusqu à l’os à l instar de hou"

    "sûr

    En quelles occasions, j'ai encensé la junte militaire algérienne? En revanche, j'ai toujours témoigné mon affection sans faille aux peuples sahraoui et palestinien pour leurs luttes envers leur affranchissement des deux impostures que sont le Maroc et Israël.

    Commentaire


    • #17
      Donc ton Algérie que t a fuyé n est pas une imposture?
      Elle est quoi en fait par rapport à toi?
      La haine aveugle

      Commentaire


      • #18
        @majhoub: " Donc ton Algérie que t a fuyé n est pas une imposture?
        Elle est quoi en fait par rapport à toi? ".

        Tentez d'éviter des répliques entre personnes car cela n'intéresse guère des autres forumistes.

        Nonobstant, je vous réitère que je n'avais nullement fui l'Algérie puisque après 53 ans en terre étrangère, j'ai toujours conservé sa nationalité dès lors qu'elle soit- à mon avis- la plus prestigieuse au monde.

        A l'inverse, les Marocains sont champions des naturalisations et pourquoi donc?

        - UE : Avec une hausse de 31%, les Marocains toujours champions de la naturalisation en 2013

        Les Marocains sont encore en tête des étrangers à avoir acquis la nationalité de l’un des 28 pays de l’Union européenne en 2013. Avec 86 500 nouveaux Européens, ils devancent largement les Indiens et les Turcs. Comparé à 2012, 27 200 ressortissants du royaume de plus ont obtenu la nationalité de l’un des 28 membres de l’UE-.


        Ya...bi

        Commentaire


        • #19
          C'est un comble pour un pays qui n'a jamais connu la guerre

          et qui prétend être un havre de paix
          tchek tchek tchek

          Commentaire


          • #20
            Le titre du sujet me rappelle le "sacerdoce" célèbre du médecin argentin Ernesto " Che" Guevara éructant: " Il vaut la peine de mourir en terre étrangère pour un idéal aussi pur".

            Commentaire


            • #21
              t as tellement envie de dire, vive el gaid, vive changriha
              La haine aveugle

              Commentaire


              • #22
                @mahjoub: " Il vaut la peine de mourir en terre étrangère pour un idéal aussi pur"

                Commentaire


                • #23
                  Au bout du compte, c'est la désillusion. Les enfants errants en suède, en allemagne et ceux de la goutte d'or en sont l'exemplification par milliers.

                  Dernière modification par jawzia, 03 octobre 2018, 16h57.

                  Commentaire


                  • #24
                    Des "enfants des rues" marocains à Paris : un phénomène inédit en France
                    Par Charlotte Boitiaux
                    23/07/2018

                    Depuis plusieurs semaines, une trentaine d’enfants marocains, dont les plus jeunes sont âgés de 10 ans, squattent dans un parc du nord de Paris. Réputés toxicomanes et violents, ils déconcertent l’État et les associations confrontés pour la première fois à ce phénomène. InfoMigrants est allé à la rencontre de ces mineurs sans-papiers.

                    Ce jeudi 29 mars, ils ne sont que cinq dans le petit square Alain Bashung, au cœur du quartier populaire de la Goutte d’Or à Paris. Cinq jeunes garçons, presque tous habillés de la même façon, jogging usé et baskets Nike. Il est 10h du matin. Difficile d’établir un contact. Ils parlent fort, provoquent, insultent et font de grands gestes pour impressionner les journalistes présents.

                    Issam, 20 ans, Salah, 19 ans, Hamza, 11 ans et leurs deux copains d’environ 14 ans, traînent depuis plusieurs semaines dans ce petit parc d’enfants, également squatté par quelques SDF et quelques Roms, mais déserté par les familles du quartier. Le square Alain Bashung, c’est leur repaire, leur QG. Habituellement, ils sont une trentaine à y écumer les bancs. On sait peu de choses d’eux hormis qu’ils viennent du Maroc, qu’ils ont transité par l’Espagne avant d'arriver sur le sol français, et qu’ils sont presque tous mineurs.

                    Harcelé par les médias

                    A notre arrivée, Issam, les yeux rouges et hagards, explique en arabe que les journalistes "il va les buter". De l’esbroufe, évidemment, mais qui traduit son exaspération d’être quotidiennement "harcelé" par les médias. Quelques minutes suffisent à le calmer et à engager la discussion.

                    Issam ne cache pas qu’il a consommé de la drogue. Il titube légèrement, s’adresse à nous, tantôt en arabe, tantôt en espagnol. "Je suis allé en Espagne et en Allemagne. J’ai eu une copine là-bas d’ailleurs. Maintenant je suis ici", finit-il par lâcher, de meilleure humeur, et en se vantant de ses expériences de jeunesse. Issam, qui ne précise pas les dates de son trajet, a dû arriver à Paris il y a peu de temps : il ne parle presque pas le français. Qu’importe, il ne veut pas rester : "Je vais bientôt partir", reprend-il, "je veux aller en Suisse".

                    "Délinquance de survie" et addiction à la drogue

                    Depuis plusieurs jours, les médias français s’interrogent sur la présence de ces "enfants des rues" originaires du Maroc. L’association Hors la Rue, qui travaille avec les mineurs isolés, les a approchés pour la première fois à la mi-janvier. "C’est à cette époque que nous avons été alertés de leur présence dans le 18e arrondissement de Paris", explique Séverine Canale, responsable communication de l’association, contactée par InfoMigrants. "Ce que nous avons constaté d’emblée, c’est qu’ils ne sont pas si différents des autres publics mineurs que nous accompagnons comme les enfants d’Europe de l’Est. Ils suivent les mêmes modalités de fonctionnement, les codes de la rue, s’adonnent à de la ‘délinquance de survie’, traînent en bande…"

                    Reste que ces jeunes Marocains ont une spécificité particulière : la consommation de drogue. "Une poignée d’entre eux ont une addiction aux drogues, c’est vrai [au shit et à la colle, notamment, NDLR]. C’est quelque chose de nouveau pour nous", reconnaît Hors la Rue. Jugés agressifs par les riverains et les commerçants alentours, ils se livrent parfois à des scènes d’une violence hallucinante : selon un témoignage recueilli par France Info, l’un d’entre eux a été victime d’une tentative d’égorgement par un autre jeune de sa bande.

                    Un phénomène inédit en France

                    "La France n’est pas préparée à ce public", analyse de son côté Olivier Peyroux, de l’association Trajectoires qui tente aussi de leur venir en aide. D’autres pays, comme l’Espagne, la Suède, l’Italie, la Belgique connaissent déjà ce phénomène, "mais pour la France c’est un public nouveau. Il nous faut un temps d’adaptation pour trouver les bonnes structures", confesse-t-il. "Ils sont très fuyants. Nous savons encore peu de choses sur eux : seulement que ce sont des enfants des rues depuis longtemps. Ils ne sont pas devenus délinquants en exil. Déjà au Maroc, ils étaient livrés à eux-mêmes".

                    Ce matin-là, il est difficile, en effet, d’en savoir plus sur leur vie. Entre les effets de la drogue et leur agacement des médias, les cinq garçons sont dissipés. Capter leur attention et démêler le vrai du faux de leurs déclarations est une gageure. Les uns refusent de répondre aux questions, les autres livrent des récits contradictoires. Hamza, 11 ans, roule un joint en riant. Il explique que ses parents sont restés au Maroc, qu’il les appellent de temps en temps. Puis affirme, devant les ricanements de ses amis, qu’il va à l’école en France depuis 4 ans. Il ment, évidemment, Hamza peine à prononcer une phrase en français.

                    Au Maroc, "y’a rien à faire"

                    Tous certifient, en revanche, qu’ils ne retourneront pas au Maroc "parce que là-bas, y’a rien à faire". Ils savent que mineurs, ils sont inexpulsables. Pour l’heure, les cinq jeunes ont un toit pour la nuit. Ils affirment dormir dans un foyer à Paris. Mais l’endroit ne leur plaît pas : l’eau est souvent froide dans les douches, "il faut attendre deux ou trois jours avant de se laver avec de l'eau chaude", explique l’un d’eux, âgé de 14 ans.

                    La journée, ils traînent, se livrent à de multiples trafics. Aucun des jeunes présents ce matin-là ne semble au courant de l’existence d’un centre d’accueil de jour, géré par l’association Hors la Rue, qui dispense des cours de français et des activités. "[Dans le foyer de nuit], ils nous demandent de partir hyper tôt", conclut le jeune garçon de 14 ans qui s’apprête à partir, lassé par nos questions. "Au lieu de nous proposer quelque chose la journée, de nous occuper, ils nous mettent dehors à 7 h… Ils nous forcent à aller voler".

                    Commentaire


                    • #25
                      - Espagne: plus de 200.000 clandestins marocains menacés d’expulsion

                      Le gouvernement espagnol compte expulser vers le royaume tous les ressortissants marocains se trouvant en situation irrégulière en Espagne. La décision concerne environ 211.000 personnes.


                      "Le Maroc est un pays stable et en sécurité. Du coup, l’Espagne n’accorde pas d’asile politique à ses habitants". C’est en ces termes que la secrétaire d’Etat espagnole aux affaires migratoires, Consuelo Rumo, a justifié la décision que compte prendre son pays pour renvoyer vers le royaume tous les ressortissants marocains arrivés clandestinement et installés en situation irrégulière dans la péninsule ibérique.

                      Selon le quotidien Akhbar Al Yaoum, qui rapporte cette information dans son édition de ce jeudi 4 octobre, la décision du gouvernement de Madrid concerne environ 211.000 ressortissants marocains, dont 6.433 personnes arrivées clandestinement sur le territoire espagnol depuis janvier dernier. L’initiative espagnole touchera également les activistes du Rif ayant rejoint la péninsule ibérique depuis le déclenchement du Hirak dans le Nord du pays.

                      La ministre espagnole, qui a fait le déplacement au Maroc où elle s’est entretenue avec des responsables marocains, a salué les efforts consentis par le Maroc et son engagement responsable dans la lutte contre l’immigration clandestine. Rappelant les conventions qui lient les deux royaumes dans ce domaine, la ministre espagnole a fait savoir que le gouvernement de Madrid n’accorderait pas l’asile aux immigrés marocains, puisque le Maroc n’est pas sur la liste des pays ciblés par l’asile, en tant que pays stable. Et de préciser que toutes les demandes déposées pour obtenir l’asile seront rejetées.

                      D’autres sources espagnoles ont déclaré au quotidien que les Marocains bénéficiaient d’un délai d’un mois pour l’examen de leur dossier, avant d’être extradés vers leur pays. Le nombre de demandes de Marocains pour l’asile arrive en tête de peloton, en Afrique, avec 356 demandes.

                      La responsable espagnole a d'ailleurs souligné que l’immigration clandestine ne saurait être une solution pour garantir une vie meilleure, appelant les différents partenaires à combattre les réseaux qui tirent profit du désespoir et de l’ignorance des candidats à l’immigration clandestine. Et d’ajouter que ces réseaux ne sont que les vendeurs d’un rêve européen qui n’existe pas. Elle encourage ainsi les jeunes à bien réfléchir avant d’entreprendre ce périple dangereux, bien souvent mortel-.

                      Le 360.ma

                      Commentaire


                      • #26
                        Et que dire de ces 1'500 femmes marocaines "cueilleuses de fraises" qui sont évaporées dans la nature alors qu'elles étaient censées retournées chez elles (au Maroc) selon les conditions drastiques de leurs contrats?

                        Elles ont opté à délaisser leurs enfants et leurs familles afin à ne pas retourner subir un calvaire marocain. C'est fou quand même!:22:

                        Commentaire


                        • #27
                          Ils vont tourner casaque et se dire algériens...


                          Dernière modification par boujlida, 05 octobre 2018, 20h09.

                          Commentaire


                          • #28
                            @boujdila" Ils vont tourner casaque et se dire algériens…"

                            Pas Algériens, mais plutôt Sahraouis!

                            - Les Sahraouis, espagnols de plein droit

                            "Bien que la concession de la nationalité espagnole ait des dimensions politiques, le principe de la démarche de l’Etat Espagnol est respecté", commente Mustapha Naïmi, professeur à l’Université Mohamed V-Souissi à Rabat et chef de l’Équipe des études sahariennes pluridisciplinaires à l’Institut universitaire de la recherche scientifique.

                            Il ne voit pas de difficultés particulières pour l'Espagne dans l'identification de la population éligible. En effet, "comme c’est une ex-colonie, les documents qui lui seront présentés ne présenteront pas de difficulté particulière", estime-t-il.

                            Cette facilité devrait rencontrer un succès important auprès de la population sahraouie vivant au royaume ibérique. Pour le professeur, cela devrait même intéresser ceux qui résident aujourd'hui au Maroc ou dans les camps de Tindouf. "Tous les Sahraouis demanderont la nationalité, parce qu’elle permet à certains d’entre eux d’accéder librement au Maroc et circuler partout ailleurs", conclut-il.

                            Mais une question centrale reste posée pusique le protectorat espagnol recouvrait également Sidi Ifni, Tarfaya et une large partie du nord du Maroc. Les habitants originaires de ces régions pourraient eux-aussi réclamer cette concession de nationalité. L'Espagne a-t-elle ouvert une boîte de Pandore?-.

                            Ya..bi

                            Commentaire


                            • #29
                              L’Espagne et le Maroc négocient le rapatriement de milliers de mineurs marocains
                              Malo
                              le 05/10/2018 à 15h12


                              D’après une information dévoilée vendredi 5 octobre par le ministère espagnol de l’Intérieur, Madrid et Rabat auraient engagé un chantier de négociation sur le sort des milliers de jeunes marocains entrés illégalement, sans leurs familles, en Espagne.

                              Si les discussions aboutissent, ces derniers pourraient être rapatriés vers leur pays natal dans les prochaines semaines ou les prochains mois.

                              Après avoir illégalement traversé, pour la plupart d’entre eux, la Méditerranée sur des embarcations de fortune, ils seraient aujourd’hui plus de 10 000 jeunes à errer, sans leurs familles, sur les côtes andalouses. D’après une information dévoilée vendredi 5 octobre par le ministère espagnol de l’Intérieur, Madrid et Rabat auraient engagé un chantier de négociation sur le sort des milliers de mineurs marocains, sans papiers, parvenus à entrer en Espagne. À l’issue des discussions, ces jeunes pourraient ainsi être rapatriés, dans les semaines à venir, vers leur pays natal.

                              Selon le gouvernement espagnol, plus de 70 % d’entre eux seraient en effet bien enregistrés comme Marocains. Leur situation, complexe, aurait été déjà abordée, le 14 septembre dernier, lors d’une réunion bilatérale à Essaouira, sur la côte marocaine. Selon un porte-parole du ministère de l’Intérieur espagnol, la secrétaire d’État aux migrations, Consuelo Rumí, avait alors perçu « la bonne volonté » des Marocains pour l’éventuel rapatriement de tous ces mineurs isolés. La délégation de Rabat était dirigée par le directeur des migrations et de la surveillance des frontières, Khalid Zerouali.

                              Encore « aucun plan concret »

                              Rien n’est pourtant encore acté. La négociation d’un plan de rapatriement a bien été confirmée jeudi par la secrétaire d’État à la Sécurité, Ana Botella, au cours d’une visite dans le micro-territoire espagnol de Melilla enclavé dans le nord du Maroc. Mais « nous n’avons aucun plan concret, cela fait partie de négociations, d’un processus diplomatique » entre Madrid et Rabat, a assuré la porte-parole de l’Intérieur.

                              Des milliers d’enfants et d’adolescents se trouvent en particulier sous la tutelle de l’administration régionale d’Andalousie et des villes autonomes de Ceuta et Melilla, où ils sont arrivés depuis le Maroc. Ces administrations se plaignaient d’être débordées et de manquer de moyens. Le nouveau gouvernement du socialiste Pedro Sanchez avait répondu en annonçant qu’il débloquerait 40 millions d’euros pour « l’accueil solidaire des mineurs étrangers non accompagnés », à répartir entre les différentes régions.

                              Première porte des clandestins

                              L’Espagne est devenue durant l’été la première porte d’entrée des migrants clandestins en Europe – principalement par la mer – dépassant ainsi l’Italie et la Grèce. Selon des données du ministère de l’Intérieur, 41 594 migrants sont entrés irrégulièrement en Espagne entre le 1er janvier et le 30 septembre. Plus de 36 000 sont arrivés par voie maritime, à bord d’embarcations de fortune, tandis que près de 5 000 sont parvenus à franchir la frontière terrestre séparant Ceuta et Melilla du Maroc.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X