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Le Président Abdelaziz s’entretient à New York avec le Secrétaire général de l’ONU

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  • Le Président Abdelaziz s’entretient à New York avec le Secrétaire général de l’ONU

    Le Président Abdelaziz s’entretient à New York avec le Secrétaire général de l’ONU
    Les Sahraouis restent attachés au référendum


    Par : Abdelkamel K.
    Lu : (407 fois)


    À l’approche de la réunion du Conseil de sécurité, qui sera consacrée le 20 avril prochain au conflit de décolonisation du Sahara occidental, le président sahraoui a rencontré jeudi dernier Ban Ki-moon, auquel il a réitéré l’attachement de son peuple à la mise en œuvre des résolutions onusiennes.

    En sa qualité de président de la République arabe sahraouie démocratique (Rasd) et secrétaire général du Front Polisario, M. Mohamed Abdelaziz, s’est entretenu, jeudi dernier, au siège des Nations unies, à New York, avec le nouveau secrétaire général, Ban Ki-moon, avec lequel il a abordé “avec profondeur l’histoire, le moment actuel et les perspectives du processus de paix au Sahara occidental”, selon une source proche de la délégation sahraouie.
    Cette dernière a indiqué que “le président Abdelaziz et le secrétaire général, Ban Ki-moon, accompagnés de leurs collaborateurs, se sont rencontrés pendant près de quarante-cinq minutes pour évoquer le dossier sahraoui”. Saisissant cette occasion, le chef de l’État sahraoui a souligné l’attachement du peuple sahraoui et du Front Polisario à la solution déjà élaborée par les Nations unies et dont la dernière élaboration, en 2003, a été faite par l’ancien secrétaire d’État américain, James Baker. “Le Front Polisario reste attaché à la proposition des Nations unies ainsi qu’à la solution proposée et aux principes de base sur lesquels elle a été élaborée, à savoir le référendum d’autodétermination au Sahara occidental”, a notamment rappelé le président sahraoui au secrétaire général des Nations unies.
    Mettant l’ONU devant ses responsabilités, la délégation sahraouie a fait valoir que toute autre approche ou toute autre proposition de solution contraire aux principes d’autodétermination est d’emblée rejetée par le peuple sahraoui.
    Elle ne peut d’aucune manière être prise en considération par les Nations unies, en remplacement des cadres et solutions déjà entérinés par la communauté internationale pour une question de décolonisation que constitue encore le problème du Sahara occidental.
    La question de la violation des droits de l’homme au Sahara occidental par les forces d’occupation marocaines a également été abordée par le président sahraoui, qui a insisté auprès du secrétaire général de l’Organisation internationale sur l’application des recommandations faites par le Haut-Commissaire de l’ONU pour les droits de l’homme, Louise Arbour, dans son rapport spécial sur le Sahara occidental d’octobre 2006. Pour rappel, dans son rapport transmis aux Nations unies, Mme Arbour reconnaît qu’il y a violation des droits de l’homme par le Maroc dans la territoires sahraouis occupés et que la cause primaire de ces violations est due à la non-application du droit à l’autodétermination. Prenant en considération la position du Front Polisario, Ban Ki-moon a promis de les transmettre au Conseil de sécurité au mois d’avril lorsqu’il lui présentera son prochain rapport sur la situation au Sahara occidental. La présentation de ce rapport est attendue pour le 20 avril prochain, lors d’une réunion, où le Conseil de sécurité aura à se prononcer sur la prorogation du mandat de la Minurso.
    Enfin, le président de la Rasd a invité M. Ban Ki-moon à effectuer une visite dans la région, “invitation que le secrétaire général de l’ONU a promis de prendre en considération”, a affirmé un membre de la délégation sahraouie.

    K. ABDELKAMEL
    la geurre c'est la paix,la démocratie c'est la dictature,l'ignorance c'est la liberté.

  • #2
    Mais d apres le roi, ce dernier n est qu un terroriste et ne represente personne, je vois mal commen a t il fait pour gravir les marches de l onu. sacre coup pour le roi.
    Dailleur il a fait savoir au secrataire de l onu que c est non concernant le projet d autonomie, la sceance a ete court, ni la france ni l espagne ne peuvent influence actuellement le chef de l ONU, car le pauvre anan etait dans les poches de ces derniers, il a fait trainer le dossier pour etre bien note.

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    • #3
      president tu as dis ai-je bien entendu!!!!!!!wa looooooooool
      quand j'ai lu abdelaziz au debut je croyais qu'il s'agissait du president bouteflika,mais quand j'ai compris que c'etait notre pote el marrakchi j'ai piqué un fou rire,je vous jure

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      • #4
        Tu a qu a rire du secretaire des nations unis qui l a recut, c est moi qui rit actuellement de voir la reaction du roi qui le traiter comme simple figurant, le vopila en bonne position, il a repondu par le niet a l autonomie, alors qui doit rire en ce moment.

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        • #5
          je suis sur que le secretaire general de l'onu s'est dit ah tiens j'ai rien a foutre cet apreme je vais donc recevoir "el commandanté abdelaziz" pour m'amuser un peu t'as vu ''un diner de con'' revolutionna?

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          • #6
            Le Président Abdelaziz s’entretient à New York avec le Secrétaire général de l’ONU
            surement il lui a fait comprendre que c'est sa derniere chance, sinon il sera figuré parmis les groupes terroristes

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            • #7
              abdelaziz maskhout al walidin ( il refuse de rencontrer son pere ) doit saisir cette chance s il est vraiment interesse au bien de sion peuple

              mais malheuresement abdelaziz n est que la marionette dirigee par la mafia militaire de nos voisins de l est

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              • #8
                mais malheuresement abdelaziz n est que la marionette dirigee par la mafia militaire de nos voisins de l est
                Boooooooooooooooooooooo333 harbi djak alghoul

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                • #9
                  Qu'est-ce que la visite d'Abdeleziz elmarrakchi à New York a à voir avec les 238 qui ont fuit Tindouf et les geôles algériennes et que l'algerisario n'a pas su démentir? Et bien beaucoup!

                  La diplomatie marocaine est en hyperactivité depuis quelques mois déjà mais surtout les dernières semaines à faire le tour du monde pour présenter le plan d'autonomie pour le Sahara. Les feedbacks sont, pour alger et tindouf, effrayants, en témoignent les débordements et affolements de la presse algerienne.

                  Pendant ce temps l'Algerie et le polisario n'ont rien à proposer. Comme des lapins immobilisés la nuit par une forte lumière, tout ce qu'ils ont à dire c'est de rappeler le plan Baker pour un monde qu'il a enterré pour l'un et de faire le rituel dans les sable et dans le vide avec l'anniversaire d'une république à laquelle plus personne au monde ne croit.

                  Les sahraouis, en contact avec le monde par leurs parents au Maroc et par des medias sérieux tels que Laayoune TV, se rendent compte de tout cela. Lassés et épuisés de la vie de détenus dans les camps fermement contrôlés par les officiers algeriens ils voient que le Sahara est devenu une région urbaine, belle et dynamique, où les gens habitent dans des maisons avec l'eau courante, chose pas évident même en Algérie.

                  Résultat, les fuites qui se faisaient individuellement, commencent à se faire en masse. Les 238, ce n'est que le début.

                  Pour calmer un peu les esprits et donner un peu l'impression que l'on bouge pour leurs intérêts, Abdelaziz d'alger dépêche celui de Tindouf vers New York. Une visite dont le monde ne prend pas note et qui génère à peine quelques titres même dans la presse algerienne, si vaine et désespérée leur parait-elle.

                  Le Sahara vit son essort, des investissments en milliards par ici, un grand festival par là, mais surtout la paix et la stabilité.

                  Une fois le plan d'autonomie mis en marche, l'éffondrement défintif et total du polisario est certain. Même la puissante revue The Economist écrit: The "prospects for the Sahrawi independence movement look as bleak as the barren land" (les persepctives du Polisario sont aussi mornes que la terre aride).

                  Vivement Avril donc!

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                  • #10
                    pauvre abdelaziz ELMARRAKECHI ( j'insiste sur son nom que les medias algeriens ne mentiennent meme pas car sa fait trop marocains : president albdelaziz )
                    il joue sa dernière carte car les nombreuses visite de la deleguation marocaine vers les nombreux pays l'embete
                    surement il lui a fait comprendre que c'est sa derniere chance, sinon il sera figuré parmis les groupes terroristes
                    c'est deja un terroriste et un maskhout elwalidyn

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                    • #11
                      el haouri2099:
                      et par des medias sérieux tels que Laayoune TV
                      non sans blague raconte moi ça ,si non ç vrai que son vrai nom ç el marakchi ???
                      tu tombe je tombe car mane e mane
                      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                      • #12
                        ben oui traks c'est marocain maskhoute lwalidine et maskhoute lwatan.

                        Commentaire


                        • #13
                          Budget de fonctionnement pour 2006 de l'etat RASD: 18 euros. Les frais d'hebergement d'un site Internet lol

                          Commentaire


                          • #14
                            tracks, volontier, si tu as la patience de lire.

                            Tu peux lire le même article sur ce lien aussi:

                            http://www.telquel-online.com/173/sujet1.shtml

                            Par Driss Bennani
                            Télévision. Good morning Sahara !

                            Partie de rien, lancée dans la précipitation, Laâyoune TV fait du bruit. Au point de faire de l’ombre à la maison mère (TVM). Bulle télévisée ou véritable success story, retour sur le parcours d’une petite chaîne qui dérange.


                            L'entrée ne paye pas de mine. Une barrière branlante, un sol endommagé et une vieille tente militaire défraîchie. Comme tous les édifices publics dans cette région sensible du pays, elle (l’entrée) est pourtant gardée par quelques policiers et militaires armés. Au-delà de la muraille externe, et passé le gentil barrage d’entrée, seul un vieux petit bâtiment de quelques mètres carrés se dresse – timidement presque - au milieu d’un immense terrain vague. à côté, une grande antenne parabolique nargue le ciel, dégagé, en ces premiers jours de fortes chaleurs à Laâyoune. Au-dessus de la petite porte d’accès, un vieux logo décoloré représentant une carte géographique du pays, grossière et approximative, renseigne sur les occupants des lieux. Bienvenue à Laâyoune TV.

                            Voici au moins une chaîne de télé dont on a vite fait le tour. à l’intérieur, quelques pièces, de taille variable, abritent la salle de rédaction et les bancs de montage, la régie finale, le studio et la retransmission. "Nous sommes en train de faire des extensions pour ne plus être à l’étroit, mais c’est vraiment un souci de moindre importance". L’homme qui parle a été sollicité au moins trois fois par ses collaborateurs avant de finir de banales explications sur l’état d’avancement des travaux de construction. Lui, c’est Mohamed Laghdaf Eddah, directeur de la chaîne. Il est le premier à sourire de son histoire avec cette chaîne. Pour commencer, il trouve "amusante" cette appellation - Laâyoune TV - dont l’ont gratifié les médias, alors qu’il est "responsable d’un simple décrochage de quelques heures". Puis il revient sur son histoire favorite : les débuts de la chaîne. Caricaturaux pour ne pas dire autre chose.

                            Télé express
                            En moins de dix jours, cet ancien correspondant de l’Agence France Presse devait monter la première station régionale du pays et qui, de plus, se trouve au Sahara. Très vite, des équipes sont recrutées parmi les jeunes de la région, des moyens folkloriques dépêchés depuis Rabat dans de vieux cars, et des techniciens et cadres de la maison mère envoyés sur place pour la formation des nouvelles recrues. Laâyoune TV réussit son premier test. Elle émet à l’occasion de "la célébration de la Marche verte". Et est captée même à Tindouf. à Laâyoune, Smara, Dakhla ou Boujdour, les habitants locaux sont les premiers surpris. "Alors qu’elle avait tout d’une télé de propagande officielle (lancée un 6 novembre, franchement !), la station s’est vite révélée être une véritable chaîne de proximité", explique un habitant de Laâyoune. La chaîne donne la parole aux Sahraouis : Aux anciens occupants d’Agdz et de Meggouna, elle réserve une émission spéciale, alors que les autres programmes d’informations et de débats de la chaîne font systématiquement appel aux jeunes et nouvelles élites du Sahara. Les Sahraouis, même les plus endurcis, sont sous le charme. Qu’importe que les décors soient kitch, que les ajustements de couleurs et de lumières ne soient pas toujours au point, ou que certains animateurs ne soient pas si télégéniques que ça. Les Saharouis sont contents de se voir à l’écran, de reconnaître leurs villes, d’entendre parler de leurs problèmes administratifs et sanitaires dans leur dialecte local. Sans superlatifs pompeux et surtout sans réaffirmer, à tout bout de champ et dix fois dans le même sujet, "la marocanité des provinces du Sud et l’indéfectible attachement des Sahraouis à leur roi".

                            Il ne le dit pas ouvertement, mais il semble bien qu’en dix jours, la liberté de manœuvre ait été le seul grand principe négocié entre le patron de la chaîne et les responsables à Rabat. Voulant trop bien faire, les jeunes équipes de la chaîne poussent, souvent, assez loin le bouchon, allant jusqu’à fâcher les élus de tout le Sahara. "On dirait que la chaîne fait une fixation sur ce qui ne marche pas. Elle est la première à couvrir les grèves, les sit-in, à dénoncer le laxisme des responsables. En plus d’ajouter de l’eau au moulin propagandiste du Polisario, elle détruit en quelques minutes ce que nous avons bâti pendant 30 ans", affirme Hamdy Kelli Henna, puissant vice-président du conseil municipal de Laâyoune. Il avait été à l’origine d’une pétition qui ambitionnait de réunir 40.000 signatures pour faire tomber Laghdaf Eddah, accusé - c’est le comble - de servir les thèses indépendantistes.

                            L’usage du passé n’est pas fortuit. Quelques jours après le lancement de cette pétition, Laâyoune TV devient un sujet de débat national. Mercredi dernier, une question a même été posée au Parlement au ministre de tutelle Nabil Benabdallah. La pétition a été retirée de la circulation voici quelques jours, et tout laisse à croire (les responsables ont préféré ne pas se prononcer) que les élites fâchées du sud ont été rappelées à l’ordre.

                            Guerre des ondes
                            Cette petite histoire est pourtant pleine d’enseignements. On se demandait si la liberté de ton de la chaîne n’était qu’un accident de départ, un dégât collatéral né de la précipitation du lancement. Il apparaît bien aujourd’hui que non. Les Sahraouis sont, contrairement aux Marocains du nord, une population très politisée (du fait du conflit politique qui se prolonge). Ici, on ne rate aucun rapport de l’ONU sur le Sahara et on reste attentif au flot d’informations qui viennent d’un côté comme de l’autre de la frontière. Tout comme Laâyoune TV, la radio du Polisario ou ses innombrables sites d’informations réalisent de bons scores d’audience également. à moins d’avoir l’épaisseur des faiseurs d’opinion américains, manipuler une population aussi sensible, informée et méfiante relèverait du fantasme.

                            "En créant cette chaîne et en lui permettant autant de liberté de ton, le Maroc anticipe la propagande du Polisario. Au lieu de camoufler un sit-in et pousser les habitants locaux à s’en informer auprès du Front, l'évènement sera couvert par la chaîne qui donnera la parole aux protestataires, mais également aux responsables. D’ailleurs, depuis la création de la chaîne, l’instrumentalisation par le Polisario des événements du Sud a sensiblement diminué. Et puis, n’oubliez pas qu’à Tindouf, autant de liberté sur les ondes ne laisse pas indifférent", analyse un observateur sahraoui. Le Front ne reste pas les bras croisés non plus. Il annonce le lancement de sa chaîne de télévision pour l’année prochaine. En mode vidéo, elle ne sera pas captée au Maroc mais viendra, au moins, bousculer les taux d’audience de Laâyoune TV à Tindouf. La guerre des ondes est lancée…

                            à Laâyoune TV, les jeunes équipes carburent encore à l’enthousiasme et surfent allégrement sur la vague de leur remarquable départ. Mais tiendront-ils à la longue ? Quoi qu’on en dise, la station reste une chaîne amateur, en manque de moyens tout aussi bien techniques, financiers qu’humains. Aura-t-elle tout cela sans être bêtement récupérée politiquement ? C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

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