Le président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, tenue par l’opposition, s’est autoproclamé président à la place de Nicolás Maduro, ce 23 janvier. Les États-Unis et de nombreux pays d’Amérique latine ont officiellement reconnu ce changement dans la foulée.
Un peu plus tard dans la journée, Nicolás Maduro a assuré depuis le palais présidentiel qu’il restait le président “du peuple et de la souveraineté populaire”. Il a rappelé “les coups d’État orchestrés par les États-Unis” dans le passé et a mis en cause la presse internationale.
Le président américain Donald Trump a très vite reconnu, par communiqué, Juan Guaidó comme président par intérim du Venezuela. Le Canada, le Brésil, et tous les pays d’Amérique du Sud, à l’exception de la Bolivie, ont aussi reconnu officiellement le changement de président. Les membres de l’Union européenne attendent d’établir une position commune avant de se prononcer.
Le 5 janvier, Juan Guaidó était devenu, à 35 ans, le plus jeune président de l’histoire de l’Assemblée nationale du Venezuela. Quelques jours plus tard, le 10 janvier, Nicolás Maduro avait été investi pour un deuxième mandat, contesté par l’opposition et non reconnu par les États-Unis, l’Union européenne et de nombreux pays sud-américains. courrierinternational
Un peu plus tard dans la journée, Nicolás Maduro a assuré depuis le palais présidentiel qu’il restait le président “du peuple et de la souveraineté populaire”. Il a rappelé “les coups d’État orchestrés par les États-Unis” dans le passé et a mis en cause la presse internationale.
Le président américain Donald Trump a très vite reconnu, par communiqué, Juan Guaidó comme président par intérim du Venezuela. Le Canada, le Brésil, et tous les pays d’Amérique du Sud, à l’exception de la Bolivie, ont aussi reconnu officiellement le changement de président. Les membres de l’Union européenne attendent d’établir une position commune avant de se prononcer.
Le 5 janvier, Juan Guaidó était devenu, à 35 ans, le plus jeune président de l’histoire de l’Assemblée nationale du Venezuela. Quelques jours plus tard, le 10 janvier, Nicolás Maduro avait été investi pour un deuxième mandat, contesté par l’opposition et non reconnu par les États-Unis, l’Union européenne et de nombreux pays sud-américains. courrierinternational
Commentaire