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25 février 1958 : Quand Mohamed V appelait à l’annexion de la Mauritanie au Maroc

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  • 25 février 1958 : Quand Mohamed V appelait à l’annexion de la Mauritanie au Maroc

    Encore une autre folie marocaine dans son dessein de réinstaurer le "Grand Maroc" qui n'a jamais existé à l'instar de "Grand Israël"!:22:

    - Deux ans après l’indépendance du Maroc, le roi Mohammed V se rend à M’Hamid El Ghizlane, désormais subordonnée administrativement à la région de Zagora pour prononcer son discours du 25 février 1958. Une occasion pour réaffirmer l’attachement du Maroc à son Sahara. Mais dans ce même discours, Mohammed V considère aussi le pays de Chenguit, soit l’actuelle Mauritanie, comme un territoire marocain occupé par la France. Mohammed V a été reçu par les dirigeants, les chioukhs et les chefs de tribus sahraouies, venus renouveler leur allégeance au trône alaouite. Il affirmera ainsi :
    «Nous sommes heureux d’être reçus, dans le village de M’Hamid El Ghizlane, porte du désert, par les tribus Chenguit, de les entendre nous affirmer, comme leurs parents avaient affirmé à notre grand-père, leur attachement au trône alaouite (…) Nous saluons leur détermination et nous les accueillons de nouveau dans leur pays et leur grande famille. Nous leur assurons (…) que nous continuerons à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour récupérer notre Sahara (…)».

    Une position qui entérine celle du parti de l’Istiqlal

    Le 28 mars 1958, Mohammed V reçoit une délégation de personnalités mauritaniennes pro-marocaines, composée de l’émir du Trarza, Fal Ould Oumeir (nommé ministre d’Etat en novembre 1960), Mohammed Ould Bah, Edday Ould Sidi Baba et d’autres personnalités mauritaniennes. Une démarche qui irritera la France coloniale et la pousse à exprimer son mécontentement auprès de l’ambassade du Maroc à Paris.

    La revendication de l’annexion de la Mauritanie au Maroc fraîchement indépendant n’avait pas été uniquement une demande royale. Dès le retour du roi Mohammed V de son exil, la puissante formation politique de l’époque, le parti de l’Istiqlal, publiait un «Livre blanc» dans lequel il relatait sa vision d’un grand Maghreb, comportant des parties de l’ouest algérien et toute la Mauritanie.
    (...).
    Le 27 Mars de la même année, Allal El Fassi avait estimé que «tant que le système international existait dans la région de Tanger et le Sahara espagnol, du sud de Tindouf à Attar, et si la tutelle n’est pas levée sur les frontières algéro-marocaines, notre indépendance reste tronquée et notre devoir est de continuer à travailler pour la libération de notre pays et de l’unifier».

    Le Maroc ne reconnaîtra la Mauritanie qu’après 7 ans

    Lorsque la France s’apprêtait à donner son indépendance à la Mauritanie, le roi Mohammed V avait initié une visite de plusieurs pays arabes pour les convaincre du «droit du Maroc d’annexer le pays Chinguetti». Le 20 août, le royaume ira jusqu’à formuler une demande à l’Organisation des Nations unies pour considérer la question comme rattachée à l’intégrité territoriale du Maroc.

    Le 28 novembre 1960, les choses se dérouleront autrement et le poids diplomatique de la France l’emportera. Moktar Ould Daddah déclare l’indépendance de son pays. L’année d’après, Nouakchott est admise à l’ONU. Une reconnaissance internationale que le Maroc refusera jusqu’en 1967, sept ans après l’indépendance effective d’un territoire ayant fait partie du grand Maghreb du XIXe siècle.

    Mais avant cette reconnaissance, les deux parties tenteront de normaliser leurs relations. Selon les mémoires de Moktar Ould Daddah, ce dernier recevra Taieb Benhima, alors ministre marocain des Affaires étrangères, à la demande de ce dernier. «Je suis venu en tant qu’envoyé de Sa Majesté le Roi Hassan II pour vous assurer de son intention de vous inviter à participer au Sommet islamique de Rabat», écrit l’ancien président mauritanien. «Ma réponse a été que si je recevais une invitation similaire à celles qui seront adressées aux chefs d’Etat invités, je répondrais de manière positive et avec plaisir», poursuit-il.

    Ya..bi (extraits)

  • #2
    Dernière modification par Anzoul, 25 février 2019, 22h14.

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    • #3
      25 février 1958 : Quand Mohamed V appelait à l’annexion de la Mauritanie au Maroc
      Après l’indépendance du Maroc, le royaume appelait à l’annexion de la Mauritanie, encore sous colonisation française, dans un discours du roi Mohammed V le 25 février 1958 à M’Hamid El Ghizlane. Un discours qui évoquait clairement la subordination du pays de Chenguit, une revendication adoptée également par le parti de l’Istiqlal.


      Deux ans après l’indépendance du Maroc, le roi Mohammed V se rend à M’Hamid El Ghizlane, désormais subordonnée administrativement à la région de Zagora pour prononcer son discours du 25 février 1958. Une occasion pour réaffirmer l’attachement du Maroc à son Sahara. Mais dans ce même discours, Mohammed V considère aussi le pays de Chenguit, soit l’actuelle Mauritanie, comme un territoire marocain occupé par la France.

      Mohammed V a été reçu par les dirigeants, les chioukhs et les chefs de tribus sahraouies, venus renouveler leur allégeance au trône alaouite. Il affirmera ainsi :

      «Nous sommes heureux d’être reçus, dans le village de M’Hamid El Ghizlane, porte du désert, par les tribus Chenguit, de les entendre nous affirmer, comme leurs parents avaient affirmé à notre grand-père, leur attachement au trône alaouite (…) Nous saluons leur détermination et nous les accueillons de nouveau dans leur pays et leur grande famille. Nous leur assurons (…) que nous continuerons à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour récupérer notre Sahara (…)»

      Extrait du discours royal de M’Hamid El Ghizlane
      Une position qui entérine celle du parti de l’Istiqlal

      Le 28 mars 1958, Mohammed V reçoit une délégation de personnalités mauritaniennes pro-marocaines, composée de l’émir du Trarza, Fal Ould Oumeir (nommé ministre d’Etat en novembre 1960), Mohammed Ould Bah, Edday Ould Sidi Baba et d’autres personnalités mauritaniennes. Une démarche qui irritera la France coloniale et la pousse à exprimer son mécontentement auprès de l’ambassade du Maroc à Paris.


      La revendication de l’annexion de la Mauritanie au Maroc fraîchement indépendant n’avait pas été uniquement une demande royale. Dès le retour du roi Mohammed V de son exil, la puissante formation politique de l’époque, le parti de l’Istiqlal, publiait un «Livre blanc» dans lequel il relatait sa vision d’un grand Maghreb, comportant des parties de l’ouest algérien et toute la Mauritanie.



      Avant le discours de M’Hamid El Ghizlane, le chef du Parti de l’Istiqlal Allal El Fassi avait prononcé un discours en 1956. «Nous demandons la récupération de toute les parties de l’empire alaouite qui ne sont pas encore libérées», avait-il dit devant une foule de partisans. L’occasion pour lui de citer les zones qui s’étendent de «Tanger dans le nord au Sahara occidental en passant par Bachar, Adrar et Attar et en arrivant au fleuve du Sénégal». «Si ces régions ne sont pas libérées, il est de notre devoir d’agir pour libérer notre patrie et l’unir», avait-il affirmé.

      Le 27 Mars de la même année, Allal El Fassi avait estimé que «tant que le système international existait dans la région de Tanger et le Sahara espagnol, du sud de Tindouf à Attar, et si la tutelle n’est pas levée sur les frontières algéro-marocaines, notre indépendance reste tronquée et notre devoir est de continuer à travailler pour la libération de notre pays et de l’unifier».

      Le Maroc ne reconnaîtra la Mauritanie qu’après 7 ans

      Lorsque la France s’apprêtait à donner son indépendance à la Mauritanie, le roi Mohammed V avait initié une visite de plusieurs pays arabes pour les convaincre du «droit du Maroc d’annexer le pays Chinguetti». Le 20 août, le royaume ira jusqu’à formuler une demande à l’Organisation des Nations unies pour considérer la question comme rattachée à l’intégrité territoriale du Maroc.

      Le 28 novembre 1960, les choses se dérouleront autrement et le poids diplomatique de la France l’emportera. Moktar Ould Daddah déclare l’indépendance de son pays. L’année d’après, Nouakchott est admise à l’ONU. Une reconnaissance internationale que le Maroc refusera jusqu’en 1967, sept ans après l’indépendance effective d’un territoire ayant fait partie du grand Maghreb du XIXe siècle.

      Mais avant cette reconnaissance, les deux parties tenteront de normaliser leurs relations. Selon les mémoires de Moktar Ould Daddah, ce dernier recevra Taieb Benhima, alors ministre marocain des Affaires étrangères, à la demande de ce dernier. «Je suis venu en tant qu’envoyé de Sa Majesté le Roi Hassan II pour vous assurer de son intention de vous inviter à participer au Sommet islamique de Rabat», écrit l’ancien président mauritanien. «Ma réponse a été que si je recevais une invitation similaire à celles qui seront adressées aux chefs d’Etat invités, je répondrais de manière positive et avec plaisir», poursuit-il.

      La même année, soit en 1967, Hassan II nomme Qasim Zhiri ambassadeur marocain à Nouakchott, alors que le Mauritanien Ahmed Ould Jeddo est nommé ambassadeur de la Mauritanie à Rabat.



      Le discours de M’Hamid El Ghizlane commémoré annuellement

      Il est à noter que, au cours de l’année où Mohammed V prononce son discours à M’Hamid El Ghizlane, le Maroc récupère Tarfaya. Onze ans plus tard, il récupère aussi Sidi Ifni avant que le roi Hassan II annonce le 16 octobre 1975 l’organisation de la Marche verte. Un mois plus tard, le Maroc, la Mauritanie et l’Espagne signent l’accord de Madrid du 14 novembre 1975 divisant le Sahara en deux zones. Le Maroc récupère la région de Sakia El Hamra tandis que la Mauritanie contrôle la région d’Oued Ed-Dahab. L’Espagne continue à l’exploitation des mines de phosphate de Boukraa et maintient ses bases militaires devant les Îles Canaries.

      Le 5 août 1979, la Mauritanie signe un accord de paix avec le Front Polisario, annonçant ainsi le retrait officiel de la Mauritanie de l’Accord de Madrid. Les nouveaux décideurs à Nouakchott ordonnent à leurs forces militaires à se retirer d’Oued Ed-Dahab, mais l’armée marocaine s’empresse de contrôler la région sud du Sahara et contrer les milices du Polisario.

      L’indépendance de la Mauritanie, l’autre pomme de discorde entre le Maroc et la France

      Le 11 avril 1981, Hassan II visite à son tour M’Hamid El Ghizlane pour y prononcer un discours. «Nous nous souvenons de cette visite avec fierté et émotion, avait-il dit à propos de la visite de son père. Nous en parlons avec émotion, car ce n’était pas un cri dans une vallée, mais un appel qui a eu le plus de résonance, une leçon de politique et de patience dont nous cultivons aujourd’hui les fruits».

      Le 6 novembre 2017, lors de son discours de la Marche verte, le roi Mohammed VI a lui aussi rappelé le discours de Mohammed V à M’Hamid El Ghizlane. «Le discours historique de M’hamid El-Ghizlane est lourd de sens, marquant une étape saillante dans le processus de parachèvement de l’intégrité territoriale de notre pays, et soulignant une vérité que nul ne peut contester : la Marocanité du Sahara et l’attachement du peuple marocain à sa terre», a affirmé le souverain.

      «Cette proclamation [de Mohammed V, ndlr] atteste la permanence de la marocanité du Sahara, et ce, bien avant la mise en scène artificielle d’un conflit indûment suscité autour de cette vérité historique. Aussi, le Sahara restera marocain jusqu’à la fin des temps, et les sacrifices qu’il sera nécessaire de consentir pour qu’il en soit toujours ainsi importent peu», avait-il assuré .

      Mais si le Maroc commémore annuellement l’anniversaire du discours de M’Hamid El Ghizlane, les officiels évitent de parler de la demande d’annexion de la Mauritanie. Une omission destinée à éviter d’irriter le voisin du Sud et de créer ainsi des problèmes diplomatiques avec les autorités de Nouakchott.

      Article modifié le 2019.02.25 à 21h53



      ya biladi(texte intégral)

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      • #4
        L histoire qui parle !!

        Le Grand Maroc : Un rêve de très courte durée , Sahara occidental : l OS !!

        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          la monarchie au depart etait chez les jifs ensuite passé chez les chretiens, car les premiers chretiens etait juif...
          les arabes n'ont jamais connu de monarchie c'etait en majorité des tributs

          donc dire que le Maroc musulmane est uNe monarchie ça n'entre pas dans la nature des choses...

          Le Maroc etait toujours sous influence de la monarchie Espagnole..peut etre les judei chretiens c'est eux qui tirent la politique en arrière plan...

          le maroc n'a les capacité logistique ni la force militaire pour conquerir un territoire deja so propre territoire a besoin de finance externe pour le mettre en exploitation

          d'apres les historiens les musulmans du pouvoir apres la chute de grenade etaient en majorité dans la recette fiscale
          donc le territoire de l'ouest algerien et le maroc etait un territoire de zone de la recette fiscale
          il faut differencier entre la zone fonciere pour placer une usine ou une praire pour placer l'elevage et la zone dite de collecte d'impot

          c'est pourquoi apres la chute de grenade l'algerie etait compressé entre deux pouvoir l'un judeo chretiens qui cherchait les zones de paturage et de productions et les atres qui cherchait les zones de collectes d'impot
          une medaille a double facette ou une petite Pyramide a trois facette


          l'algerie menait des guerres a plusieurs fronts mais ne savait pas les identifiers car es interets bein qu'ils sont differents ils se rejoigne dans l'action chacun veut et tente de ne pas perdre son terrain

          l'algeire est entrain de déblayer le terrain afin d'extraire les racines enfuit..
          il suffit de gratter un fragmentde racine dormante qu'elle va pousser et se developper en plante entiere...

          comme la creation est complexe chaque peuple a des fragments qui l'emballe avec lui..le satanisme est un fragmentcollé sur tout le monde des fois il est dormant des fois il pousse tres vite..le terrain judeo chretiens est
          surement fortement contaminé ils l'ont transporté et le decimié partout dans le monde

          regardez le fragments egyptiens qui etait collé au juifs..par exemple dans les cultures differenteson tue on fait de la pendaisonya que l'egypte ancienne qui crucifie les criminel sur les tronc des palmiers..ce cas c'est passé plus millier d'année en galillé et fut choisie cotre sidna Issadonc le fragments egyptiens etait bien present et il s'est déclaré en cette periode
          il se peut un fragment du djinn ou satanqiue pas unsiquement humains comme on le laisse croire

          donc c'est l'analyse des historiens qui le disent maintenant le verifer c'est difficle le croire et le prendre comme base oui ça sera peut etre utile

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          • #6
            Il n'y aurait pas eu de Mauritanie ni de Sahara occidental
            Si Ma Ainin n'avait pas échoué à Fès, et Tadla, puis le fils El Hiba à Marrakech.
            Si au lieu de protectorat, le maroc une colonie, la france aurait annexé le sahara occidental, oriental, et la mauritanie à sa colonie marocaine.

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            • #7
              La lutte des Ma Ainin a continuer du traité jusqu'à la dernière pacification. (1900-1935).
              C'est une longue période, le khattabi est encore jeunot, puis fonctionnaire à Melilla, puis sa lutte à 1921, puis son exil à 1926...

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              • #8
                Grave erreur du banni heureux à Madagascar M5 car 3 ans et 1 jour après, il allait mourir de dépit voire être assassiné. Mourir est l'unique exploit qu'avait réalisé ce diffus suzerain.

                - Histoire : L’énigme autour du décès de Mohammed V le 26 février

                A 51 ans, le roi Mohammed V connut une mort subite. Le 26 février 1961, peu de temps après l’indépendance du Maroc (1956), le sultan qui se proclama roi s’éteignit, au moment où les Marocains vivaient un tournant dans l’histoire du pays. Les récits officiels suggèrent que Mohammed ben Youssef mourut des suites de complications d’une opération chirurgicale, pourtant bénigne.

                En effet, les circonstances du décès de Mohammed V faisaient longtemps partie des non-dits de la cour royale, quelques récits rapportés par des entourages proches à l’époque étant plus ou moins nuancés. Pendant des décennies après l’enterrement de l’ancien sultan, des personnalités politiques et des hautes responsables continuèrent alors de s’interroger sur la mort soudaine d’un roi qui ne montrait pas de signes de faiblesse-.

                Ya...bi

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                • #9
                  1200 ans d histoire -alaouite ??
                  Faut le dire
                  le rêve du Grand Maroc est né avec "" Allal El Fassi "" pour que son parti 3 patriotique ?? restera pour tjrs leader au royaume ??
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    Sultan bleu



                    Dernière modification par roo5, 26 février 2019, 23h38.

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                    • #11
                      Il n'y aurait pas eu de Mauritanie ni de Sahara occidental
                      Si Ma Ainin n'avait pas échoué à Fès, et Tadla, puis le fils El Hiba à Marrakech.
                      Si au lieu de protectorat, le maroc une colonie, la france aurait annexé le sahara occidental, oriental, et la mauritanie à sa colonie marocaine
                      exactement.

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                      • #12
                        L histoire qui parle !!

                        Le Grand Maroc : Un rêve de très courte durée , Sahara occidental : l OS !!
                        l'os à tindouf, que faire avec tout ces gens là!!!!!vous n'avez cessé de gonfler leurs chiffres, vous les avez isolé pendant des dizaines d'années, ils n'ont pas de cartes HCR, ils sont réfugiés, mais n'ont pas leurs droits, les réfugiés Syriens et Africains sont mieux traités et plus libres que ces pauvres sahraouis emprisonnés, votre seule but c'est d'en faire une carte de pression, mais hélas....boukharouiba ne l'as pas bien calculé

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                        • #13
                          l'os à tindouf, que faire avec tout ces gens là!!!!
                          .

                          L OS !! à l UA et l ONU !!!
                          Étrangle les palais à Rabat !!
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            l'os à tindouf, que faire avec tout ces gens là!!!!!vous n'avez cessé de gonfler leurs chiffres, vous les avez isolé pendant des dizaines d'années, ils n'ont pas de cartes HCR, ils sont réfugiés, mais n'ont pas leurs droits, les réfugiés Syriens et Africains sont mieux traités et plus libres que ces pauvres sahraouis emprisonnés, votre seule but c'est d'en faire une carte de pression, mais hélas....boukharouiba ne l'as pas bien calculé

                            Commentaire


                            • #15
                              " ils n'ont pas de cartes HCR, ils sont réfugiés, mais n'ont pas leurs droits,"

                              Les Sahraouis ne sont pas des réfugiés mais un gouvernement en exil et donc nuance. Ils possèdent un territoire (ceux libérés), une armée. La RASD est membre de l'Union africaine (UA) ainsi que des Conventions de Genève, preuve en est qu'ils ne sont pas un peuple sans patrie.

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