L'abruti Omar Hilale se moquerait de tout le monde avec ses fadaises mensongères à l'instar d'un arracheur de dents de Marrakech?:22:
L'Avis constitutif de la Cour internationale de justice avait certes reconnu des liens d'allégeance de certaines tribus sahraouies avec le Makzhen ainsi qu'avec l'empire mauritanien mais ces deux entités n'en avaient jamais possédé la souveraineté.
Il en est de réciproque envers les présides espagnols et surtout le rocher à chèvres de Persil qui n'ont jamais appartenu à l'actuelle dictature marocaine.
- Comité de décolonisation réuni à Grenade: la marocanité du Sahara expliquée par l'ambassadeur Omar Hilale
L’Ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, a exposé les fondements historiques, les bases juridiques et les dimensions politiques de la marocanité du Sahara, à l'occasion du Séminaire du Comité des 24 (C24) de l’Assemblée Générale de l'ONU, pour les Caraïbes, tenu à Grenade du 2 au 4 mai courant.
M. Hilale a, de prime abord, affirmé que la question du Sahara est une affaire d’intégrité territoriale et de souveraineté nationale du Maroc et nullement une question de décolonisation.
Démontant les références historiques réductrices, tronquées et sélectives du différend sur le Sahara marocain du chef de la délégation algérienne, l’Ambassadeur du Royaume a précisé que la question du Sahara ne remonte pas à 1963 ou à 1975, comme tente de le faire croire l’Algérie, mais qu’elle est ancrée dans l’histoire du Maroc et son identité.
Il a ainsi rappelé qu’avant la colonisation espagnole du Sahara, à la fin du 19è siècle, cette région n’a jamais été une terre sans maître "terra nullus" et a toujours fait partie intégrante du territoire national du Maroc. Ce qui a été confirmé par l’avis consultatif de la Cour internationale de Justice de 1975, qui a reconnu l’existence des liens d’allégeance des populations du Sahara aux Rois du Maroc et de l’autorité des Souverains marocains sur cette région.
M. Hilale a ajouté que cette allégeance continue d’être prêtée, chaque année, à Sa Majesté le Roi, à l’occasion de la fête du Trône.
Il a, en outre, indiqué que c’est le Maroc, et non l’Algérie ou autre pays, qui a inscrit la question du Sahara aux Nations-Unies en 1963, en tant que territoire qui lui appartient, alors qu’elle était encore sous occupation espagnole.
Le « polisario » n’était même pas encore créé par l’Algérie. Cette même année, lorsque le Maroc a adhéré à l’Organisation de l’Unité Africaine, il a été le seul à émettre ses réserves sur le principe de l’intangibilité des frontières héritées de l’ère coloniale, étant convaincu de la légitimité de sa revendication sur le territoire du Sahara, a poursuivi le diplomate marocain.
M. Hilale a noté que les résolutions des Nations-Unies à cette époque, demandaient à l’Espagne de rétrocéder le Sahara au Maroc à travers la négociation. Ce qui a été atteint par la signature de l’Accord de Madrid en 1975, qui a été déposé auprès du Secrétaire Général des Nations-Unies et reconnu par l’Assemblée Générale de l’ONU. Scellant définitivement, ainsi, le retour du Sahara à la mère patrie, le Maroc-.
Le 360.ma (extraits)
L'Avis constitutif de la Cour internationale de justice avait certes reconnu des liens d'allégeance de certaines tribus sahraouies avec le Makzhen ainsi qu'avec l'empire mauritanien mais ces deux entités n'en avaient jamais possédé la souveraineté.
Il en est de réciproque envers les présides espagnols et surtout le rocher à chèvres de Persil qui n'ont jamais appartenu à l'actuelle dictature marocaine.
- Comité de décolonisation réuni à Grenade: la marocanité du Sahara expliquée par l'ambassadeur Omar Hilale
L’Ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, a exposé les fondements historiques, les bases juridiques et les dimensions politiques de la marocanité du Sahara, à l'occasion du Séminaire du Comité des 24 (C24) de l’Assemblée Générale de l'ONU, pour les Caraïbes, tenu à Grenade du 2 au 4 mai courant.
M. Hilale a, de prime abord, affirmé que la question du Sahara est une affaire d’intégrité territoriale et de souveraineté nationale du Maroc et nullement une question de décolonisation.
Démontant les références historiques réductrices, tronquées et sélectives du différend sur le Sahara marocain du chef de la délégation algérienne, l’Ambassadeur du Royaume a précisé que la question du Sahara ne remonte pas à 1963 ou à 1975, comme tente de le faire croire l’Algérie, mais qu’elle est ancrée dans l’histoire du Maroc et son identité.
Il a ainsi rappelé qu’avant la colonisation espagnole du Sahara, à la fin du 19è siècle, cette région n’a jamais été une terre sans maître "terra nullus" et a toujours fait partie intégrante du territoire national du Maroc. Ce qui a été confirmé par l’avis consultatif de la Cour internationale de Justice de 1975, qui a reconnu l’existence des liens d’allégeance des populations du Sahara aux Rois du Maroc et de l’autorité des Souverains marocains sur cette région.
M. Hilale a ajouté que cette allégeance continue d’être prêtée, chaque année, à Sa Majesté le Roi, à l’occasion de la fête du Trône.
Il a, en outre, indiqué que c’est le Maroc, et non l’Algérie ou autre pays, qui a inscrit la question du Sahara aux Nations-Unies en 1963, en tant que territoire qui lui appartient, alors qu’elle était encore sous occupation espagnole.
Le « polisario » n’était même pas encore créé par l’Algérie. Cette même année, lorsque le Maroc a adhéré à l’Organisation de l’Unité Africaine, il a été le seul à émettre ses réserves sur le principe de l’intangibilité des frontières héritées de l’ère coloniale, étant convaincu de la légitimité de sa revendication sur le territoire du Sahara, a poursuivi le diplomate marocain.
M. Hilale a noté que les résolutions des Nations-Unies à cette époque, demandaient à l’Espagne de rétrocéder le Sahara au Maroc à travers la négociation. Ce qui a été atteint par la signature de l’Accord de Madrid en 1975, qui a été déposé auprès du Secrétaire Général des Nations-Unies et reconnu par l’Assemblée Générale de l’ONU. Scellant définitivement, ainsi, le retour du Sahara à la mère patrie, le Maroc-.
Le 360.ma (extraits)
Commentaire