Donald Trump se dit prêt à parler à l'ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la Révolution iranienne, ou au président Hassan Rohani, et ce, sans condition préalable, après la destruction par Téhéran d'un drone de la marine américaine, près du détroit d'Ormuz.
Le président américain, qui avait vivement réagi jeudi avant de baisser le ton, affirme notamment avoir envisagé des frappes contre des installations iraniennes en représailles, avant de se raviser à la dernière minute, en raison des possibles pertes humaines qu'elles auraient pu entraîner.
Les craintes d'un affrontement direct entre Washington et Téhéran ont été ravivées jeudi après la destruction d'un drone américain qui se trouvait selon lui dans son espace aérien, près du détroit d'Ormuz, ce que contestent les États-Unis.
Au cours des dernières semaines, six pétroliers ont été attaqués dans ce secteur hautement stratégique pour le transport de pétrole. Les États-Unis croient que l'Iran en est responsable.
Reuters
Le président américain, qui avait vivement réagi jeudi avant de baisser le ton, affirme notamment avoir envisagé des frappes contre des installations iraniennes en représailles, avant de se raviser à la dernière minute, en raison des possibles pertes humaines qu'elles auraient pu entraîner.
Les craintes d'un affrontement direct entre Washington et Téhéran ont été ravivées jeudi après la destruction d'un drone américain qui se trouvait selon lui dans son espace aérien, près du détroit d'Ormuz, ce que contestent les États-Unis.
Au cours des dernières semaines, six pétroliers ont été attaqués dans ce secteur hautement stratégique pour le transport de pétrole. Les États-Unis croient que l'Iran en est responsable.
Reuters
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