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Le Tunisien Marzouki s’acharne encore contre l’Algérie à partir du Maroc
Toute la planète et particulièrement les maghrébins et leurs voisins savent que c'est l'Algérie qui bloque la construction maghrébine quitte à ne rien proposé en alternative .
Et parlé des échanges algéro-tunisiens comme si c'était un cadeau de l'Algérie c'est tous simplement honteux car c'est la base de toute société civilisé ou non d'ailleurs et c'est certainement pas un cadeau puisque sa fait partie de la normalité humaine
bizarre votre résonnement
Droite des Valeurs
Gauche du Travail
Centre "Intérêt de Mon Pays"
Et parlé des échanges algéro-tunisiens comme si c'était un cadeau de l'Algérie c'est tous simplement honteux
Il y en a qui balancent n'importe quoi sans même se donner la peine de vérifier si ce qu'ils disent est vrai ou faux. Lorsqu'on entend "échanges algéro-tunisien", on s'attend à des chiffres en milliards de dollars. Il n'en est rien.
Qu'en est-il exactement ?
Si on prend l'année 2018 (source douanes algériennes):
La valeurs des échanges algéro-tunisien: 952 millions usd (2,31% du total), La Tunisie n'est que le 14e client de l'Algérie.
La valeur des échanges algéro-marocain: 653 millions usd (1,59%). Le Maroc est le 15e client de l'Algérie. Une différence de 300 millions usd.
Vous voyez bien qu'il n'y a vraiment pas de quoi fouetter un fennec.
L'ancien président tunisien Moncef Marzouki a bénéficié d'un accueil digne d'un chef d'Etat en exercice.
Marzouki vante amir El Mouminine sans voir le peuple marocain qui souffre les affres du Makhzen
Marzouki a, en outre, estimé que "les conflits entre laïques et islamistes sont des conflits artificiels" qu'il convient de dépasser, et a appelé les marocains à "s'attacher au roi et à la monarchie, car elle est le symbole de l'unité de la nation". A l'issue de la rencontre, l'ex-président s'est vu offrir un Nimcha (sabre traditionnel court) dans son fourreau.
De toute façons , Quoi qu'il ai pu dire, marre de ces querelles de vieilles voisines de paliers
Maintenant tout le monde est conscient que le climat entretenu sciemment par les deux parties n'a pour but que pour endormir les peuples
L'épouvantail: SO, Drogue, Israel, frontières ...etc etc tout est bon pour faire perdurer les tensions....et les régimes en place
De rien...
Elle a fait beaucoup mal au cachiriste menteur et propagandiste qui a publié l'article,mais c'est bien le rôle de la vérité,confronter les menteurs devant leurs perfidies éphémères.
Le Tunisien Marzouki s’acharne encore contre l’Algérie à partir du Maroc
juin 27, 2019 -
Par Tarek B.*
En visite au Maroc dans le cadre d’une activité partisane à l’occasion de laquelle il a été également reçu en audience par le roi Mohammed VI, l’ancien président tunisien Moncef Marzouki a cru bon de déballer ses platitudes bouffies de ressentiments contre l’Algérie sur les raisons du blocage de l’intégration maghrébine.
Sur ce niveau il a raison c'est l'Algérie qui refuse de discuter le Maroc et la Tunisie ne peuvent rien faire sur ce point Alger boude ou alors des fois elle joue la précieuse !
S’exprimant à un média étranger, l’ex-chef d’Etat tunisien a utilisé les espoirs suscités par la transition politique en Algérie comme «cheval de Troie» pour donner une seconde vie à son agenda pro-marocain, qu’il a échoué à appliquer durant son séjour expéditif et plutôt insignifiant au palais de Carthage.
C'est comme pour la construction du Maghreb, toutes remarques et toutes critiques sont suspectes. Le moindre sujet de conversation devient un faux pretexte ou un cheval de Troie.
Ce n’est pas la première fois que l’ex-président tunisien fait preuve d’ingratitude à l’encontre de l’Algérie. Son empressement à commenter la situation interne algérienne est un indicateur de l’ampleur de son ressentiment et de ses frustrations.
Question sacrée que la situation politique algérienne ! Personne n'a le droit d'avoir le moindre avis ! Sinon il devient au mieux un ingrat et au pire un ennemi...
Toutefois, la virulence de cette nouvelle sortie médiatique atteint le summum de l’ingratitude puisqu’elle émane d’un homme politique ayant pourtant occupé une fonction présidentielle qui lui avait permis d’être un témoin privilégié des efforts algériens en vue d’accompagner la transition démocratique en Tunisie, au moment où ses partenaires traditionnels lui tournaient dos, y compris le Maroc qui s’attelait assidûment à récupérer les parts de marchés perdues par un concurrent traditionnel.
C'est faux, ce passage est un tissu de mensonge aucun pays que ce soit le Maroc, la France, l’Algérie ou l'Espagne aucun d'eux n'a jamais soutenus la Tunisie. Chaque pays s'est efforcé d'assurer les privilèges qu'il avait avec la Tunisie. L'Algérie ne soutient même pas la démocratisation chez elle comment veux-tu qu'elle puisse le faire chez son voisin.
L’homme à la mémoire courte oublie qu’au moment où la Tunisie était en pleine tourmente économique, l’Algérie était un des rares pays à lui octroyer une aide financière d’un montant global évalué à quelque 500 millions de dollars.
A ok c'est un prêt sous conditions ! On prête mais il faut toujours être du côté algérien ! Derrière ce geste il y avait certaines volontés
Au plan politique, l’implication diplomatique d’Alger, au plus haut sommet de l’Etat, a été couronnée par un chiffre record jamais atteint dans des relations bilatérales avec aucun autre pays de 30 visites de haut rang échangées rien qu’en une seule année. Aussi, au moment où la Tunisie commençait à faire face à la menace terroriste et au phénomène du retour des combattants étrangers, l’Algérie a renforcé la coopération militaire et sécuritaire pour pallier, entre autres, le manque de moyens en la matière dont pâtit ce pays frère qui, à un certain moment, n’était plus en mesure de payer les soldes de ses personnels de sécurité.
La bonne santé des relations politiques ne se mesure pas au nombre des visites bilatérales ! Pour ce qui est du terrorisme l'Algérie en souffre encore aujourd'hui moins qu'avant mais les tensions existent toujours !
Au plan humain, le chiffre record de presque deux millions de touristes algériens se rendant annuellement en Tunisie atteste de la force des liens de solidarité agissante qu’éprouve le peuple algérien lorsque son voisin de l’Est fait face à des difficultés en matière d’afflux et de fréquentation touristiques.
Les touristes algériens n'ont pas le choix c'est la destination la plus proche, la plus accessible et la moins chère. Les touristes algériens ne font pas l'aumône ils vont en vacance en Tunisie pour bénéficier de service qui n'existentvpas chez eux ou qui sont alors à des prix inaccessibles !
L’amnésie sélective de Marzouki face à ces multiples marques de sollicitude de la part de l’Algérie, gouvernement et peuple, n’est pas innocente. Loin s’en faut. En fait, elle exprime le ressentiment profond de l’ancien président tunisien qui croit pouvoir, en lançant quelques compliments frelatés en direction du hirak, se jouer de l’opinion publique algérienne pour se venger de deux «affronts» imputés injustement à l’Algérie.
Un chiyate nostalgique.
Tout d’abord, au plan interne tunisien, Moncef Marzouki n’a pas digéré sa cuisante défaite lors de l’élection présidentielle de 2014 face à l’actuel chef d’Etat, Béji Caïd Essebsi, qui aurait, selon lui, reçu le soutien actif de la part du gouvernement algérien.
Faux et hors sujet !
Ainsi, celui qui se voyait incarner le visage de la Tunisie nouvelle ne peut admettre une défaite aussi nette lors de la toute première élection au suffrage universel depuis la «révolution du Jasmin», dont le mythe exclusiviste est battu en brèche par les espoirs autrement plus prometteurs de la révolution tranquille qui est en cours en Algérie.
Très déplacé que ce soit pour les révolutionnaires algériens et tunisiens !
Ensuite, au plan maghrébin, l’ancien locataire du palais de Carthage a gardé une dent bien dure contre l’Algérie qui lui a signifié une fin de non-recevoir à son initiative de médiation entre le Maroc et son voisin de l’Est, qu’il espérait mener rondement au service du royaume de Mohammed VI dont il est d’ailleurs un sujet bien reconnaissant.
Il a compris par l'expérience que c'est bien l'Algérie qui refuse le dialogue mais quand c'est un pays neutre qui se propose pour aider aux négociations !
Une sorte d’«occupation pour combler le vide de sa fonction», avait alors ironisé l’ancien porte-parole du MAE algérien, qui avait qualifié, au passage, cette offre de «pure vue de l’esprit puisque tous les canaux sont ouverts» entre les deux pays. Celui qui a vigoureusement joué une partition marocaine, allant même à appeler de ses vœux le «retour » du Maroc à l’Union africaine, a également gardé un mauvais souvenir de la mise au placard de ses fantasques «cinq libertés», conçues pour revigorer l’UMA, mais qui, en fait, visaient à mettre à profit le contexte post «printemps arabe» pour dessiner une chimère de «nouvel ordre maghrébin», à la mesure des intérêts mercantilistes étroits de son pays natal et de ceux de son pays d’adoption.
On sent la rancune contre ce geste positif envers le Maroc, la région et l'Afrique !
Là aussi, Marzouki oublie, dans son ingratitude crasse envers l’Algérie, que c’est au Maroc qu’incombe l’échec de la tenue du 7e Sommet maghrébin qu’il avait appelé de ses vœux en 2012. Il ne recevra de son monarque (dont il se considère un sujet) qu’un bref déplacement officiel à Tunis qui, comble de l’ironie, est la première et unique visite bilatérale effectuée dans un pays maghrébin depuis l’intronisation de Mohammed VI en 1999.
Ca ne sert à rien les visites à haut niveau si derrière on ne se met d'accord sur rien et si chaque pays prend ses décisions dans son coin comme l'a fait la Tunisie en voulant imposer une taxe à ses frontières !
Les fanfaronnades de l’ancien président tunisien, décidément en mal d’inspiration pour se remettre en selle dans la perspective de la prochaine élection présidentielle en Tunisie, ne résistent pas au tamis de la vérité objective qu’il a sacrifiée pour le compte d’une marocanité de rechange dont rien ne garantit qu’elle lui procurera une quelconque utilité politique dans son pays de naissance.
T. B.
AP
Le problème n'est pas ce qu'a dit ou ce qu'a fait Mazouki, le problème c'est encore et toujours le Maroc !
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