Il est souvent insinué que le Sahara Occidental est la dernière colonisation africaine toujours pas résolue.
Mais quid des territoires espagnols en Afrique du Nord (Ceuta, Melilla et l'ilot à chèvres de Persil?
- Peut-on encore parler d’intégration africaine alors que le dernier dossier de décolonisation en Afrique, le Sahara occidental, n’a toujours pas trouvé de solution ?
Le Sahara occidental est le dernier cas de décolonisation en Afrique. C’est un territoire occupé, par la force et au détriment de la volonté du peuple sahraoui et de la communauté internationale…
C’est une situation de non-droit et une transgression de la légalité internationale. L’Organisation des Nations Unies a inscrit le Sahara Occidental comme un cas de décolonisation depuis les années soixante, la Cour Internationale de Justice dans son arrêt consultatif (1975) ne reconnait pas la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental, le Conseil de Sécurité a créé la Minurso pour organiser un référendum d’auto-détermination au Sahara Occidental, et renouvelle chaque année son mandat. La RASD est membre fondateur de l’Union Africaine et participe à la gouvernance continentale et à l’action diplomatique internationale de l’Union africaine.
L’Union Africaine doit reprendre l’initiative pour participer dans l’effort international pour la résolution de ce conflit entre le Maroc et le Polisario, selon le principe du droit des peuples à l’autodétermination.
La position algérienne est construite sur les fondements de la légalité internationale qui sont le principe du droit des peuples à l’autodétermination et celui de la résolution pacifique des conflits. Elle n’a jamais été partie dans ce conflit. Elle a toujours préconisé une solution négociée, juste et durable.
Le président de la République Mr Tebboune a appelé pour la désignation urgente d’un nouvel envoyé spécial du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara Occidental afin de redynamiser les négociations directes entre les deux parties au conflit : le Maroc et Le Polisario.
L’avenir de l’Afrique, de sa sécurité, de son co-développement et de sa co-solidarité passent nécessairement par une résolution des conflits en Afrique, notamment celui du Sahara Occidental dans le strict respect de la légalité internationale et des droits universels de l’Homme et des peuples.-
TSA
Mais quid des territoires espagnols en Afrique du Nord (Ceuta, Melilla et l'ilot à chèvres de Persil?
- Peut-on encore parler d’intégration africaine alors que le dernier dossier de décolonisation en Afrique, le Sahara occidental, n’a toujours pas trouvé de solution ?
Le Sahara occidental est le dernier cas de décolonisation en Afrique. C’est un territoire occupé, par la force et au détriment de la volonté du peuple sahraoui et de la communauté internationale…
C’est une situation de non-droit et une transgression de la légalité internationale. L’Organisation des Nations Unies a inscrit le Sahara Occidental comme un cas de décolonisation depuis les années soixante, la Cour Internationale de Justice dans son arrêt consultatif (1975) ne reconnait pas la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental, le Conseil de Sécurité a créé la Minurso pour organiser un référendum d’auto-détermination au Sahara Occidental, et renouvelle chaque année son mandat. La RASD est membre fondateur de l’Union Africaine et participe à la gouvernance continentale et à l’action diplomatique internationale de l’Union africaine.
L’Union Africaine doit reprendre l’initiative pour participer dans l’effort international pour la résolution de ce conflit entre le Maroc et le Polisario, selon le principe du droit des peuples à l’autodétermination.
La position algérienne est construite sur les fondements de la légalité internationale qui sont le principe du droit des peuples à l’autodétermination et celui de la résolution pacifique des conflits. Elle n’a jamais été partie dans ce conflit. Elle a toujours préconisé une solution négociée, juste et durable.
Le président de la République Mr Tebboune a appelé pour la désignation urgente d’un nouvel envoyé spécial du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara Occidental afin de redynamiser les négociations directes entre les deux parties au conflit : le Maroc et Le Polisario.
L’avenir de l’Afrique, de sa sécurité, de son co-développement et de sa co-solidarité passent nécessairement par une résolution des conflits en Afrique, notamment celui du Sahara Occidental dans le strict respect de la légalité internationale et des droits universels de l’Homme et des peuples.-
TSA
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