Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Répression au Maroc, critiquer le roi oui, mais au risque de finir en prison!

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Répression au Maroc, critiquer le roi oui, mais au risque de finir en prison!

    Moul Kaskita” (Celui qui porte une casquette) : au Maroc, on le surnomme comme ça. Mohamed Sekkaki, jeune youtubeur marocain, a écopé d’une peine de quatre ans de prison ferme et d’une amende de 40 000 dirhams (3 800 euros) pour avoir critiqué le roi Mohammed VI ou des institutions de l’État à travers des vidéos publiées sur les réseaux sociaux.

  • #2
    Selon mon épouse marocaine, il semblerait que le fait que le narcotrafiquant et addictif à la coke soit imposé comme le " Commandeur des croyants, des croyants de toutes les religions", quelconque critique d'égard à l'homosexuel M6 équivaut à critiquer l'islam.

    -Maroc : Mohammed VI « un roi symbolique », la goutte de trop ?

    La marche initiée au Maroc, par des milliers de personnes dans les rues de Casablanca, pour exiger la libération des détenus politiques et lancer un appel pour une vraie démocratie est-elle révélatrice d’une situation de tension ambiante au royaume où un pas de trop a été posé de part et d’autre ?
    La manifestation, organisée par le Front social marocain (FSM), un collectif récemment mis sur les fonts baptismaux et regroupant quatre partis de gauche, des organisations syndicales des associations de défense des droits de l’Homme, entre autres, intervient, curieusement, quelques jours seulement après la confirmation de la peine de prison infligée au youtubeur marocain Mohamed Sekkaki.

    Verdict qui avait d’ailleurs créé l’indignation.

    Selon le jugement rendu en effet, Mohamed Sekkaki a écopé d’une peine de quatre ans de prison ferme et d’une amende de 3 800 euros pour avoir critiqué le roi Mohammed VI ou des institutions du royaume à travers des vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Mardi 18 février dernier, le tribunal de Settat, au sud de Casablanca, a confirmé, le jugement du youtubeur, arrêté le 30 novembre 2019, après une publication.

    La vidéo incriminée contenait, selon le journal marocain Al-Yaoum 24, « des injures à l’encontre des citoyens marocains et des propos touchant à leur dignité et à leurs institutions constitutionnelles ».

    En réalité, ce qui aurait irrité le palais royal, ce sont les déclarations faites par le youtubeur, qui avait asséné : « Vous n’êtes qu’un roi symbolique ». Dès lors, c’est Mohammed VI qui serait personnellement visé. Une ligne rouge ainsi franchie par Mohamed Sekkaki dans sa vidéo-.

    Afrik.com

    Commentaire

    Chargement...
    X