La «diplomatie des photos» du Polisario a mis le cap sur l’Autriche. En déplacement à Viennes, Hayat Rguibi, une activiste sahraoui a instrumentalisé à des fins politiques un selfie prise dans un lieu public avec le président de la Chambre des représentants, Wolfgang Sobotka. La photo a immédiatement fait le tour des médias du Front, contraignant l’ambassade marocaine à Vienne à demander des explications.
Le Parlement a ainsi expliqué sur son compte Twitter que la photo en question a été «prise spontanément dans un café viennois et diffusée ensuite sans le consentement du président. Ce n’était pas une réunion officielle, encore moins une marque de soutien du président au mouvement Polisario».
Cette affaire n'est pas nouvelle. Les membres du Polisario ne ratent en effet aucune occasion pour prendre des photos avec des personnalités internationales à dessein d’alimenter leur machine de communication.
En témoigne la polémique ayant suivie la publication de la photo de Brahim Ghali avec le ministre israélien Ayoob Kara prise le 25 mai 2017 à l’occasion de la cérémonie d’investiture du nouveau président de l’Equateur, Lenín Moreno. Après les protestations de Rabat, Tel-Aviv avait fini par reconnaitre que les réunions de Kara à Quito n’avaient fait l’objet ni d’une «coordination», ni de l’«approbation» préalable du cabinet du chef du gouvernement israélien.
Ya biladi
Le Parlement a ainsi expliqué sur son compte Twitter que la photo en question a été «prise spontanément dans un café viennois et diffusée ensuite sans le consentement du président. Ce n’était pas une réunion officielle, encore moins une marque de soutien du président au mouvement Polisario».
Cette affaire n'est pas nouvelle. Les membres du Polisario ne ratent en effet aucune occasion pour prendre des photos avec des personnalités internationales à dessein d’alimenter leur machine de communication.
En témoigne la polémique ayant suivie la publication de la photo de Brahim Ghali avec le ministre israélien Ayoob Kara prise le 25 mai 2017 à l’occasion de la cérémonie d’investiture du nouveau président de l’Equateur, Lenín Moreno. Après les protestations de Rabat, Tel-Aviv avait fini par reconnaitre que les réunions de Kara à Quito n’avaient fait l’objet ni d’une «coordination», ni de l’«approbation» préalable du cabinet du chef du gouvernement israélien.
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