Monsieur Edem Kodjo est un héros africain à l'instar de Medhi Ben Barka, Nelson Mandela etc.
En effet durant son règne à l'ex Organisation de l'Union Africaine, il avait combattu la requête d'adhésion à l'OUA de l'Afrique du Sud sous apartheid candidature pourtant soutenue par la dictature marocaine!:22:
- Ancien secrétaire général de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), le Togolais Edem Kodjo, vient de décéder à Paris suite à une longue maladie. L’histoire le retiendra comme ayant été l’homme qui s’est vendu pour faire entrer par effraction la «RASD» dans l’organisation panafricaine.
En 2005, alors qu’il venait tout juste d’être nommé Premier ministre du Togo, après une très longue traversée du désert, Edem Kodjo, ancien secrétaire général de l’OUA (1978-1983) avait confié, lors du 37e congrès des journalistes francophones, tenu à Lomé cette année-là: «ça m’a coûté très cher et je ne suis pas près de l’oublier». Il n’en dira pas plus.
Mais cette réponse à la question posée par un journaliste, ayant trait au forcing dont il avait fait preuve, plus de 20 ans plus tôt, pour faire admettre la «RASD» au sein l’Organisation de l’unité africaine, sonne comme un aveu, et une reconnaissance, tardive, certes, d’une erreur monumentale qu'il avait commise.
En effet, l’erreur d’Edem Kodjo ne fut pas seulement d'ordre juridique: l’effectivité d’un Etat, où un pouvoir légitime est concrètement exercé sur une population vivant au sein d’un territoire délimité, et reconnu par la communauté internationale, est évidemment loin d’être établie en le cas d’espèce-.
Le 360.ma (extraits).
En effet durant son règne à l'ex Organisation de l'Union Africaine, il avait combattu la requête d'adhésion à l'OUA de l'Afrique du Sud sous apartheid candidature pourtant soutenue par la dictature marocaine!:22:
- Ancien secrétaire général de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), le Togolais Edem Kodjo, vient de décéder à Paris suite à une longue maladie. L’histoire le retiendra comme ayant été l’homme qui s’est vendu pour faire entrer par effraction la «RASD» dans l’organisation panafricaine.
En 2005, alors qu’il venait tout juste d’être nommé Premier ministre du Togo, après une très longue traversée du désert, Edem Kodjo, ancien secrétaire général de l’OUA (1978-1983) avait confié, lors du 37e congrès des journalistes francophones, tenu à Lomé cette année-là: «ça m’a coûté très cher et je ne suis pas près de l’oublier». Il n’en dira pas plus.
Mais cette réponse à la question posée par un journaliste, ayant trait au forcing dont il avait fait preuve, plus de 20 ans plus tôt, pour faire admettre la «RASD» au sein l’Organisation de l’unité africaine, sonne comme un aveu, et une reconnaissance, tardive, certes, d’une erreur monumentale qu'il avait commise.
En effet, l’erreur d’Edem Kodjo ne fut pas seulement d'ordre juridique: l’effectivité d’un Etat, où un pouvoir légitime est concrètement exercé sur une population vivant au sein d’un territoire délimité, et reconnu par la communauté internationale, est évidemment loin d’être établie en le cas d’espèce-.
Le 360.ma (extraits).
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