Tweet
Quelqu'un a vandalisé la statue de Mohandas Gandhi à Central Park plus tôt cette semaine, ressuscitant pour certains la controverse qui a entouré la figure lorsque les dirigeants de la ville de Davis ont approuvé son installation il y a près de quatre ans.
Le ou les vandales ont utilisé de la peinture en aérosol rouge et noire pour dégrader la statue en bronze de 6 pieds de hauteur de l'activiste social et sa base en béton, située près du terrain de jeu principal du parc, avec des mots et des mots comme «violeur».
Le lieutenant Art Camacho de la police de Davis a déclaré que le vandalisme, découvert lundi, n'avait pas été signalé au département de police.
"Cependant, la police a pris connaissance de cet incident via les médias sociaux" et a envoyé une équipe de services communautaires dans le parc pour prendre un rapport, a déclaré Camacho. Mardi, un effort de nettoyage n'a laissé que de petites taches de peinture rouge.
Les demandes de commentaires de la ville ont été transmises au chef de la police Darren Pytel, qui a déclaré qu'aucun suspect n'avait été identifié. Toute personne ayant des informations sur le vandalisme est priée de contacter le service de police au 530-747-5400.
"Il est très regrettable que quelqu'un peint à la bombe la statue, en particulier avec vulgarité", a déclaré Pytel. «Il existe de bien meilleures façons de communiquer un message que de vandaliser malicieusement une propriété, que ce soit dans un lieu privé ou dans un parc public. Cela ne sert vraiment à rien. »
L'incident a suscité de longs débats sur les plateformes de médias sociaux locaux, où certains ont dénoncé le vandalisme tandis que d'autres l'ont trouvé peu surprenant à la lumière des allégations au cours des dernières années selon lesquelles Gandhi avait commis des inconduites sexuelles, du racisme et du sexisme.
«Rien n'est sûr? Ces gens sont horribles. J'ai des adolescents et j'essaie de leur enseigner le respect des autres opinions ET des biens. Arrêtez de défendre un comportement destructeur », a écrit une personne dans un fil Nextdoor qui avait généré plus de 100 commentaires mardi après-midi.
«La dégradation des statues racistes est une forme parfaite de protestation. En dégradant les statues, les manifestants ont réussi à identifier le symbole idéologique à dénigrer et à informer le public du mouvement. C'est stratégique et cela a clairement fonctionné parce que nous en parlons ici », a écrit un autre.
Certains ont proposé de demander à la ville de retirer la statue.
Davis a acquis la ressemblance de Gandhi fin 2016 lorsque le Conseil indien des relations culturelles, une filiale du gouvernement indien, lui a fait don de la ville. Il a reçu l'approbation discrète de la Commission des arts civiques de Davis et de la Commission des loisirs et des parcs, et le conseil municipal a accepté à l'unanimité le cadeau dans le cadre de son calendrier de consentement en février de la même année.
Après cette approbation, cependant, certains résidents locaux, ainsi que des membres de l'Organisation pour les minorités de l'Inde - un groupe basé à Lathrop représentant plusieurs factions religieuses en Inde - ont exprimé leur opposition à la statue, affirmant qu'elle ne représente pas tous les membres de la communauté. .
Le maire de l'époque, Robb Davis, a invité à poursuivre la discussion sur la question, qui a rempli la salle communautaire de l'hôtel de ville. Beaucoup sont venus à la réunion de l'extérieur de la ville pour exprimer leurs préoccupations.
"Il est incontestable que Gandhi était un héros pour beaucoup, mais il convient de noter qu'il était également un fanatique et prédateur de membres de sa propre famille", a déclaré à l'époque l'homme d'affaires de Sacramento, Amar Shergill.
D'autres ont décrit la statue comme un symbole d'amour et de paix.
"Nous ne voulons rien de plus que de voir la vie et les leçons de Gandhi - en particulier son engagement envers l'amour, l'inclusion et la non-violence - pour continuer à enseigner et à inspirer de nouvelles générations de citoyens Davis et ceux qui visitent notre ville", a déclaré Ravinder Trewn, un résident local. .
Le conseil a finalement rejeté par un vote de 3 à 2 une motion visant à suspendre le processus de placement de statue afin de mener un dialogue communautaire plus large. Une cérémonie de dévoilement a suivi plusieurs semaines plus tard le 2 octobre 2016 - anniversaire de Gandhi, commémoré chaque année comme une Journée internationale de la non-violence.
Le ou les vandales ont utilisé de la peinture en aérosol rouge et noire pour dégrader la statue en bronze de 6 pieds de hauteur de l'activiste social et sa base en béton, située près du terrain de jeu principal du parc, avec des mots et des mots comme «violeur».
Le lieutenant Art Camacho de la police de Davis a déclaré que le vandalisme, découvert lundi, n'avait pas été signalé au département de police.
"Cependant, la police a pris connaissance de cet incident via les médias sociaux" et a envoyé une équipe de services communautaires dans le parc pour prendre un rapport, a déclaré Camacho. Mardi, un effort de nettoyage n'a laissé que de petites taches de peinture rouge.
Les demandes de commentaires de la ville ont été transmises au chef de la police Darren Pytel, qui a déclaré qu'aucun suspect n'avait été identifié. Toute personne ayant des informations sur le vandalisme est priée de contacter le service de police au 530-747-5400.
"Il est très regrettable que quelqu'un peint à la bombe la statue, en particulier avec vulgarité", a déclaré Pytel. «Il existe de bien meilleures façons de communiquer un message que de vandaliser malicieusement une propriété, que ce soit dans un lieu privé ou dans un parc public. Cela ne sert vraiment à rien. »
L'incident a suscité de longs débats sur les plateformes de médias sociaux locaux, où certains ont dénoncé le vandalisme tandis que d'autres l'ont trouvé peu surprenant à la lumière des allégations au cours des dernières années selon lesquelles Gandhi avait commis des inconduites sexuelles, du racisme et du sexisme.
«Rien n'est sûr? Ces gens sont horribles. J'ai des adolescents et j'essaie de leur enseigner le respect des autres opinions ET des biens. Arrêtez de défendre un comportement destructeur », a écrit une personne dans un fil Nextdoor qui avait généré plus de 100 commentaires mardi après-midi.
«La dégradation des statues racistes est une forme parfaite de protestation. En dégradant les statues, les manifestants ont réussi à identifier le symbole idéologique à dénigrer et à informer le public du mouvement. C'est stratégique et cela a clairement fonctionné parce que nous en parlons ici », a écrit un autre.
Certains ont proposé de demander à la ville de retirer la statue.
Davis a acquis la ressemblance de Gandhi fin 2016 lorsque le Conseil indien des relations culturelles, une filiale du gouvernement indien, lui a fait don de la ville. Il a reçu l'approbation discrète de la Commission des arts civiques de Davis et de la Commission des loisirs et des parcs, et le conseil municipal a accepté à l'unanimité le cadeau dans le cadre de son calendrier de consentement en février de la même année.
Après cette approbation, cependant, certains résidents locaux, ainsi que des membres de l'Organisation pour les minorités de l'Inde - un groupe basé à Lathrop représentant plusieurs factions religieuses en Inde - ont exprimé leur opposition à la statue, affirmant qu'elle ne représente pas tous les membres de la communauté. .
Le maire de l'époque, Robb Davis, a invité à poursuivre la discussion sur la question, qui a rempli la salle communautaire de l'hôtel de ville. Beaucoup sont venus à la réunion de l'extérieur de la ville pour exprimer leurs préoccupations.
"Il est incontestable que Gandhi était un héros pour beaucoup, mais il convient de noter qu'il était également un fanatique et prédateur de membres de sa propre famille", a déclaré à l'époque l'homme d'affaires de Sacramento, Amar Shergill.
D'autres ont décrit la statue comme un symbole d'amour et de paix.
"Nous ne voulons rien de plus que de voir la vie et les leçons de Gandhi - en particulier son engagement envers l'amour, l'inclusion et la non-violence - pour continuer à enseigner et à inspirer de nouvelles générations de citoyens Davis et ceux qui visitent notre ville", a déclaré Ravinder Trewn, un résident local. .
Le conseil a finalement rejeté par un vote de 3 à 2 une motion visant à suspendre le processus de placement de statue afin de mener un dialogue communautaire plus large. Une cérémonie de dévoilement a suivi plusieurs semaines plus tard le 2 octobre 2016 - anniversaire de Gandhi, commémoré chaque année comme une Journée internationale de la non-violence.
Commentaire