L'autorisation d'intervention de l'armée algérienne hors de ses frontières a été orchestrée avec des pressions extérieures.
La politique d'armement était l'étape technique censée précéder cette décision politique.
L'Algérie accepte le rôle qui lui est dévolu, celui d'état pivot dans la sous-région.
On comprend mieux pourquoi sa médiation en libye a été combattue.
Cet épisode de consul d'Oran est un simple avatar de cette nouvelle distribution des rôles. Le Maroc a tout à perdre puisque son alignement systématique sur la ligne du quai d'Orsay et les courbettes faites à l'administration Trump n'y auront pas suffit.
Le Makhzen tente de se rattraper en relançant Tunis mais peine perdue et la Libye ne reçoit quasiment pas d'officiels marocains. On se souvient pourtant que Benkirane avait été le premier à soutenir les gens qui ont renversé kaddafi. Normal, il a soutenu ses frères islamistes et permis au roi de soutenir son ami Sarkozy.
La politique d'armement était l'étape technique censée précéder cette décision politique.
L'Algérie accepte le rôle qui lui est dévolu, celui d'état pivot dans la sous-région.
On comprend mieux pourquoi sa médiation en libye a été combattue.
Cet épisode de consul d'Oran est un simple avatar de cette nouvelle distribution des rôles. Le Maroc a tout à perdre puisque son alignement systématique sur la ligne du quai d'Orsay et les courbettes faites à l'administration Trump n'y auront pas suffit.
Le Makhzen tente de se rattraper en relançant Tunis mais peine perdue et la Libye ne reçoit quasiment pas d'officiels marocains. On se souvient pourtant que Benkirane avait été le premier à soutenir les gens qui ont renversé kaddafi. Normal, il a soutenu ses frères islamistes et permis au roi de soutenir son ami Sarkozy.
Commentaire