Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Maroc : comment Mohammed VI prépare sa succession

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Maroc : comment Mohammed VI prépare sa succession

    Tic..tac..tic...tac. Le narcotrafiquant et addictif à la coke M6 est déjà en hallali.

    - Le roi du Maroc vient d’annuler les activités prévues pour le 21e anniversaire de son accession au trône au nom des circonstances liées au COVID-19. En coulisses, on évoque la maladie du souverain et l’avenir de son règne

    Alors que les Marocains sont calfeutrés chez eux en raison de l’état d’urgence sanitaire, un communiqué du Palais royal tombe comme un couperet, le 14 juillet, pour annoncer, une fois de plus, que « le roi Mohammed VI a subi avec succès une intervention à la suite d’un problème cardiaque à la clinique royale de Rabat », et qu’il n’est pas en mesure de se déplacer à l’étranger, les frontières étant fermées.

    Le lendemain, les rumeurs vont bon train concernant la gravité réelle ou supposée de la maladie du roi, que l’on apercevait d’ailleurs affaibli, surtout lors de la lecture des discours royaux.

    La succession s’est désormais invitée à la table des Marocains qui ont commencé à s’interroger, discrètement, par crainte d’être épinglés par les services de renseignement, sur l’avenir du règne de Mohammed VI.

    Et ce n’est certainement pas le directeur de l’hebdomadaire arabophone al-Michaal qui dira le contraire. En 2009, il avait été emprisonné pour avoir publié un dossier sur la maladie du souverain. Depuis, il est devenu patron d’une chaîne de télévision digitale, une véritable machine à buzz au service du pouvoir. C’est dire toute la sensibilité qui entoure la santé du roi, une question publiquement taboue qui continue de déchaîner les passions et nourrir les scénarios les plus extravagants.

    D’où, d’ailleurs, la réaction du régime qui a publié un communiqué du cabinet royal signé par toute une équipe médicale, laquelle se voulait très rassurante et surtout extrêmement précise sur la nature de la maladie dont souffre le monarque.
    Évitant soigneusement d’évoquer la question, la presse nationale s’est montrée ainsi prudente, à l’image de l’hebdomadaire arabophone al-Ayam qui a consacré, dans son édition du 22 juillet, tout un dossier sur le prince héritier, dont l’intitulé se passe de tout commentaire : « Après une longue vie à son père Mohammed VI, le futur roi du Maroc sera pilote et homme d’économie » !

    Depuis quelques années, le régime est à pied d’œuvre afin de préparer la succession du futur roi et perpétuer ainsi la monarchie de droit divin.

    La « fabrique des rois »
    Par le passé, la succession au sultan alaouite relevait d’une tradition mythique presque archaïque (elle se limitait à une réunion dans la grande mosquée de Fès en présence des oulémas qui approuvaient l’acte d’allégeance). Aujourd’hui, elle est devenue une entreprise sophistiquée visant à pérenniser le pouvoir absolu de l’ombre de Dieu sur terre.

    Depuis le règne de Mohammed V, la « fabrique des rois » est confiée à des hommes de confiance, triés sur le volet afin de diligenter une machine bureaucratique généreusement financée par les deniers publics. Tout est mis en effet à la disposition des « faiseurs des rois » pour assurer une préparation optimale du futur monarque.
    (...).

    Sous l’œil vigilant des militaires

    Les fervents défenseurs de la monarchie tentent de forger une image humaniste du futur roi, Moulay Hassan, mettant en avant son attachement à sa mère, la princesse Lalla Salma (surtout après sa séparation non déclarée avec le souverain), la proximité du prince héritier avec le peuple et aussi son allergie présumée au baisemain.

    Pourtant, cette facette de la personnalité du futur monarque, à supposer qu’elle soit réelle, ne saura dissimuler la fermeté, la rationalité et le pragmatisme dont doit faire preuve le futur chef d’État.

    Le souci majeur du régime, c’est qu’en cas de disparition du roi avant que son successeur atteigne la majorité, ce dernier puisse avoir la détermination d’un homme de pouvoir disposé à affronter ses adversaires pour défendre la monarchie.

    En attendant qu’il devienne chef suprême des Forces armées royales (FAR), comme le prévoit l’article 53 de la Constitution, le prince héritier a été initié au maniement des armes légères et aux dispositifs sécuritaires à suivre lors de ses déplacements seul ou en compagnie de son père.

    Et pour cause, lors d’une visite royale au nord du Maroc, en août 2017, le garde du corps du prince héritier, Khalid el-Wahi, a été retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel dans des conditions obscures-.

    Middle east eye

  • #2
    "Bien mal acquis ne profite jamais"

    Un long règne royal empli de souffrances atroces du peuple marocain n'augure rien de bon pour l'avenir de la monarchie ?

    Ajouter à cela la production et la commercialisation de ce qu'Allah a interdit : la drogue !!

    Commentaire


    • #3
      Maroc : comment Mohammed VI prépare sa succession
      خليوه مسكين حالته متعجبش
      الله يشفيه
      --------------------------

      Commentaire

      Chargement...
      X