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Les explosions de Beyrouth font écho à la catastrophe d'AZF à Toulouse

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  • #16
    il parait une histoire de cargaison de nitroprill un explosif utilisè dans les mines.

    ce site relate l'historique. il se peut que cet explosif est achiminè vers la giette de syrie.

    il ba y avoir des rebondissements spectaculaire sur le triangle israel liban syrie
    et ou l'iran sera au bord de l'accusation en liaison avec israel..et la france sera mèlè a cette histoire..un bourbier judeo chretien

    mais je crois il n'ya que certain milieu financier qui ont l'habitude de vendre des armes..
    le liban doit èplucher les comptes bancaires ..
    le liban abrote les voleurs e' les livrants pas a leur pays..
    l'argent sale a explosè le liban.

    ils ne leir reste que la derniere solution. se retourner vers les circuit financiers etranger chez eux lever le sectey bancaire et signè avec tous les pays la cooperation judiciare de livraison des fuillards...sans cela et en urgence..c'est finit le liban..

    https://www.google.com/amp/s/niqnaq....ccidental/amp/

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    • #17
      soit 2 ans apres notre independance apres que la bien aimee france ait laisse l algerie en ruine.

      Tu étais ou en 1964 pour affirmer cela???
      J'y étais, javais 22 ans et l'Algérie était moderne, les Français l'avait laissée intacte!
      Eux avaient respecté les accords d'Evian.
      Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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      • #18
        Envoyé par chouan
        J'y étais, javais 22 ans et l'Algérie était moderne, les Français l'avait laissée intacte!
        J'y étais moi aussi.
        Tout était en état. La France a laissé toutes les infrastructures.
        Et même, à quelques jours de l'indépendance, il y avait des réfections de routes et la construction de bâtiments administratifs.
        Les falsificateurs devront attendre le décès de tous les témoins oculaires avant de réécrire l'histoire de cette période.

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        • #19
          Chouan

          78 ans

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          • #20
            Il y a eu aussi les pieds rouges qui sont venus combler le brutal déficit par millier en cadres et qui ont été viré par Boumédienne.

            La promesse du développement économique du pays s’inscrivait alors dans le paysage international d’un « tiers-monde » inauguré avec la conférence des pays non-alignés de Bandung en 1955. Les supporters français d’un socialisme à visage humain, les « pieds-rouges », y allèrent par milliers, désireux de mettre en chantier l’utopie réparatrice des torts coloniaux. Au risque naïf que l’espoir tiers-mondiste ne s’étiole dans les calculs égoïstes de la realpolitik de l’État-FLN.
            À l’été 1962, il entre en Algérie avec l’Armée de libération nationale (ALN) et gagne Alger. « Toutes les nuits, on entendait des coups de feu. Très vite, je me suis aperçu qu’il y avait une lutte pour le pouvoir mais bon, je me disais, c’est normal, c’est les séquelles du colonialisme. Quand je posais des questions, on me répondait toujours : “Ce n’est pas le moment.” Ça m’a refroidi, mais en même temps, on avait des moyens et puis, on se sentait un petit peu bolchevik quand même ! »

            Le théâtre, à nouveau, dirige sa vie. Avec Mohamed Boudia [2], qu’il a connu en France, et Mourad Bourboune, il fait partie de la commission culturelle du Front de libération nationale (FLN), qui crée le Théâtre national d’Alger en lieu et place de l’Opéra, et nationalise les salles d’Oran, Constantine et Annaba. La révolution est en marche, les pablistes [3] ont l’oreille de Ben Bella, l’autogestion est le mot d’ordre sur toutes les lèvres. Boëglin devient l’un des enseignants les plus en vue du tout nouveau Institut national des arts dramatiques. Années heureuses où il a le sentiment de participer à la construction d’un monde et d’un homme nouveau. Jusqu’au coup d’état du général Boumediene, le 19 juin 1965. L’armée prend le pouvoir, l’islam est proclamé religion d’état, l’arabisation décrétée. « Les socialistes en peau de lapin », comme les appelle Boumediene, ne sont plus les bienvenus.
            « Le vrai visage d’un tas de gens s’est révélé à ce moment là. Et il n’était pas beau. Beaucoup de pieds-rouges sont partis, d’eux-mêmes ou chassés. Malgré tout, j’y croyais, je croyais très fort au théâtre, je ne voulais pas laisser tomber l’école de comédiens. Malgré l’exil de Boudia et de Bourboune, je me disais que tout n’était pas terminé. Et puis, en tant que petit blanc, je culpabilisais comme un fou. Alors, je ne suis pas parti. » Il est arrêté, brutalisé, puis relâché et retrouve son poste. En 1966, les actions commises contre la sûreté de l’État durant la guerre d’Algérie sont amnistiées en France. Vexé d’être mis dans le même sac que les militants de l’Organisation armée secrète (OAS), Boëglin refuse de rentrer. Fin 1968, il est viré de sa chère école de théâtre et trouve à se recaser dans la communication.
            Dernière modification par zek, 06 août 2020, 08h53.
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #21
              «Selon les données les plus convaincantes, pendant les travaux de réparation il y a eu un incendie, puis une monstrueuse explosion de l’entrepôt dans lequel du nitrate d'ammonium confisqué sur un navire endommagé était stocké depuis 2014. Nous parlons donc de violations flagrantes des mesures de sécurité», a souligné le diplomate.

              Selon lui, plusieurs Libanais affirment que cette tragédie reflète les lacunes du pays, les problèmes des structures gouvernementales et l'interaction entre les départements. «Et il y a une grosse part de vérité là-dedans», a-t-il souligné.
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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              • #22
                J'y étais moi aussi.
                Tout était en état. La France a laissé toutes les infrastructures.
                oui comme la bibliotheque d alger....
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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