Comme à son accoutumée et comme inscrit en lettres d’or dans ses principes de bord, l’Algérie ne rate jamais une seule occasion propice pour venir apporter tout son poids et ses options pour supporter « Dalimane Aw Madloumane » son pion du polisario et le conforter convenablement comme son bébé
Cette fois-ci encore et sans ménage de sa part envers le Maroc lors d’un entretien qu’il vient d’accorder à la revue de l’ANP, El-Djeich, le ministre algérien des A/E Sabri Boukadoum a réitéré la position de l’Algérie qui « soutient fermement « le droit du peuple du Sahara occidental » à l’autodétermination conformément à « la légitimité internationale » et aux résolutions pertinentes des Nations Unies et de l’Union Africaine ».
L’Algérie juge nécessaire plus que jamais de nommer un envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies le plus tôt possible, dans le but de relancer « les négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables, entre les deux parties au conflit, le Maroc et le polisario, pour mettre fin à un conflit qui n’a que trop duré, et permettre au « peuple du Sahara occidental » d’exprimer librement sa volonté «.
La position de l’Algérie à l’égard du « Sahara occidental » s’inscrit, bien sur, dans le cadre « de son ferme engagement en faveur d’une politique de bon voisinage et de préservation de la sécurité et de la stabilité dans la région ».
Ah bon !!!
Cette fois-ci encore et sans ménage de sa part envers le Maroc lors d’un entretien qu’il vient d’accorder à la revue de l’ANP, El-Djeich, le ministre algérien des A/E Sabri Boukadoum a réitéré la position de l’Algérie qui « soutient fermement « le droit du peuple du Sahara occidental » à l’autodétermination conformément à « la légitimité internationale » et aux résolutions pertinentes des Nations Unies et de l’Union Africaine ».
L’Algérie juge nécessaire plus que jamais de nommer un envoyé personnel du Secrétaire Général des Nations Unies le plus tôt possible, dans le but de relancer « les négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables, entre les deux parties au conflit, le Maroc et le polisario, pour mettre fin à un conflit qui n’a que trop duré, et permettre au « peuple du Sahara occidental » d’exprimer librement sa volonté «.
La position de l’Algérie à l’égard du « Sahara occidental » s’inscrit, bien sur, dans le cadre « de son ferme engagement en faveur d’une politique de bon voisinage et de préservation de la sécurité et de la stabilité dans la région ».
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