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L'armée sahraouie commence à récupérer le territoire occupé par le Maroc 30 ans plus tard.

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  • L'armée sahraouie commence à récupérer le territoire occupé par le Maroc 30 ans plus tard.

    L'armée sahraouie commence à récupérer le territoire occupé par le Maroc 30 ans plus tard.


    Agüenit (Sahara occidental). - 26/11/2020 -

    L'Armée de libération sahraouie, à travers la 7e région militaire, a pénétré dans la zone sud du mur marocain, dans la région d'Agüenit, où se trouvent plusieurs postes des forces d'occupation marocaines.

    Des unités de l'armée sahraouie expulsent les troupes marocaines du mur et reprennent le contrôle d'une partie du mur de la honte. Comme ces médias l'ont appris de sources fiables, l'armée sahraouie a saisi plusieurs points de contrôle de l'armée marocaine dans la région d'Agüenit, dans la septième région militaire sahraouie.

    Les troupes marocaines, après un échange intense de bombardements, ont fuis plusieurs points de contrôle et bases militaires le long du mur militaire qui divise le Sahara occidental à la hauteur de la septième région militaire sahraouie à Agüenit, au sud du Sahara occidental.

  • #2
    bientot Laayoune ........... courage oeilfermé
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      galaxy

      merci d indiquer la source et de ne pas diffuser de fausses infos.

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      • #4
        Faites lui plaisir dites lui qu'ils sont aux portes de Casablanca

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        • #5
          Msaken ils font la guerre sur le net à defaut de la gagner sur terre.


          Sauf que sur le net et medias y'a qu'eux et leurs mentors qui la voient.

          Même linkedin n'a pas échappé : ceux qui répondent les marocains sur le sahara : SEULS LES ALGERIENS ...LE MONDE S'EN FOUUUUUUUUUUUT

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          • #6
            Pour galaxy, rago et les haineux.....

            C'est une émission française.




            Vidéo. "L’échec du régime algérien est absolu, la comédie ne tient plus", certifie un expert sur la chaîne Arte

            Après un mois d’absence du président algérien, hospitalisé en Allemagne, l’émission "28 minutes" diffusée sur Arte fait le point sur la situation chaotique d’un pays tiraillé entre une volonté de changement portée par le peuple, et un régime gérontocrate, en fin de cycle biologique.

            Sur le plateau de l’émission "28 minutes", diffusée le 24 novembre sur la chaîne de télévision franco-allemande*Arte, le débat porte sur la situation tant sociale, que politique et économique en Algérie, pays dirigé par un "président algérien aux abonnés absents" relève-t-on en préambule de l'émission en abordant le sujet de l’hospitalisation de Abdelmadjid Tebboune, 75 ans.

            *
            "Une absence prolongée qui rappelle la présidence Bouteflika lorsqu’un président fantôme dirigeait le pays entre deux hospitalisations", analyse le reportage diffusé en préambule du débat, sur fond d’images du mouvement du Hirak, mouvement populaire né en février 2019.
            *

            Face à cette absence qui se prolonge, de nombreuses interrogations restent en suspens. "L’Algérie peut-elle réussir sa transition démocratique?", "entre un président absent, des arrestations de manifestants et de journalistes, le pays a-t-il vraiment rompu avec les pratiques du régime Bouteflika?", "l’opposition qui avance en ordre dispersé peut-elle changer la donne?"…


            Autant de questions brûlantes soulevées lors de ce débat télévisé et auxquelles s’attèlent à répondre les deux invités. D’un côté, Jean-Pierre Filiu, historien, professeur des universités à Science-Po, auteur de l’essai "Algérie - la nouvelle indépendance", paru aux éditions du Seuil.

            De l’autre, Meriem Amellal, journaliste à France24, spécialiste du Moyen-Orient, animatrice de l’émission hebdomadaire "Express-Orient".


            Un pays aux mains de l’armée

            De l’avis de Jean-Pierre Filiu, "la révolte populaire ne fait que commencer, car ce sont toujours les militaires qui dirigent le pays".


            Celui-ci prévoit par ailleurs que "quand ils pourront à nouveau manifester, les Algériens seront plus d’un million dans les rues".


            Un point de vue partagé par Meriem Amellal, qui juge que "l’Algérie traverse une période de marasme politique, économique, sanitaire, social qui n’a rien à envier à la présidence d’Abdelaziz Bouteflika. Le peuple se retrouve livré à lui-même et la crise sanitaire ne sert qu’à faire temporairement diversion".
            *

            Ainsi, au-delà de cette apparence de vacuité du pouvoir, il y a, selon Meriem Amellal, un pouvoir réel, fort et dictatorial détenu par l’armée. De son point de vue, certes la présidence détient aussi un certain pouvoir, "mais l’armée qui est là depuis l’indépendance a le pouvoir sur la présidence". Une situation que la journaliste décrit comme un "cauchemar interminable" car l’armée a réussi à se maintenir en place jusqu’à ce jour.


            Une situation longue comme un jour sans pain qui n’est pas sans rappeler pour les deux invités de l’émission la guerre d’indépendance qui a duré sept ans. "Les manifestants savent que le changement ne se fera pas en un jour. Ce n’est pas du jour au lendemain que ce système va démissionner pour laisser la place aux civils", juge la journaliste de France 24.

            Un théâtre d’ombres qui ne fait plus illusion

            Pour Jean-Pierre Filiu, l’échec du régime algérien est absolu. "La comédie ne tient plus. Le théâtre d’ombres que le régime essaie de projeter à l’intérieur et à l’extérieur a été invalidé de manière très calme et très sereine par les Algériens eux-mêmes".


            Et quand l’historien évoque ce théâtre d’ombres, il tient à revenir sur cette expression avec précision pour bien faire comprendre "son aspect extrêmement déroutant". "On a ces rites d’un autre âge qui ne signifient plus rien pour les Algériens, mais qu’ils acceptent, sans pour autant les pousser à des réactions de violence ou de désespoir", analyse-t-il dans un premier temps.


            Et puis, il y a ce nombre: 602, soit le nombre de jours écoulés depuis le départ de Bouteflika. "602 jours après, on se retrouve avec un président qui n’est pas là, qui est malade", lance un journaliste de l’émission.

            Pour l’historien et professeur, il convient de se pencher sur la signification de ce nombre pour mieux appréhender ce régime. "Cela veut dire que le système est tout simplement incapable de se renouveler, biologiquement, intellectuellement, politiquement, sociologiquement. Il a épuisé toutes ses ressources. C’est un système de rente, c’est une gérontocratie qui arrive en fin de cycle biologique".


            Et de citer à titre d’exemple de cette succession de disparitions, celle survenue l’année dernière de Ahmed Gaïd Salah, "le chef d’état-major qui, à peine son grand œuvre accompli, est mort", poursuit Jean-Pierre Filiu.

            Quels lendemains pour l’Algérie?

            Dans cette crise algérienne, l’historien estime que "la comparaison avec la crise du bloc soviétique au sens large, dans sa dimension générationnelle et biologique s’impose tout à fait". Mais le parallèle s’arrête là. On n’ira pas jusqu’à voir pour autant en Karim Tabbou, figure du*Hirak*actuellement en prison, un futur Lech Walesa, car pour le moment selon Jean-Pierre Filiu, "on ne connait pas encore les noms des futurs dirigeants de l’Algérie démocratique parce qu’ils ne sont pas encore apparus", et pour cause, "la question des noms vous amène en prison et les dirigeants ne doivent pas s’afficher".


            "On est face à une grande inconnue et en même temps une grande espérance", poursuit-il, en insistant sur le slogan algérien, "un seul héros, le peuple", qu’il considère être une réalité, "parce que c’est là qu’il y a toutes les énergies, toutes les compétences, tous les dévouements, toute la capacité à servir le pays et c’est justement cela que le régime est en train de saborder".

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            • #7
              Je l'ai vu ce matin


              Excellent

              https://youtu.be/yerLP1LCHLs

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              • #8
                Autant de problèmes en Algérie et ils se permettent de se mêler des affaires du Maroc et ils veulent nous donner des leçon.

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                • #9
                  À ARCHER

                  Ne t'inquiète pas pour l'Algérie, c'est le peuple qui gère, c'est une république, meme si le president est appelé a disparaitre une république est constituée de plusiurses institutions , en plus l'Algerie est aguerie aux crises , et ce qui ne te tue pas te rend fort disait le sage .
                  Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                  • #10
                    De meme on ne veut pas qu'on se mele du Maroc :

                    Sebta et Melila chgholna
                    Le Roi chgholna
                    Ce qui se passe au Maroc chgholna
                    SAHARA C'EST L'ONU



                    DONC ACH 7RAG CHTATETKOM

                    QUI S'INTERESSE A L'AUTRE
                    QUI NE PARLE QUE DE L'AUTRE DANS SES MEDIAS ET SES JOURNAUX


                    WA BAAAAAAZ

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                    • #11
                      Rachid75

                      L'algerie est géré par des militaires depuis l'indépendance. République ne signifie pas démocratie. D'ailleurs même si le Maroc est une monarchie il y a plus de démocratie que l'Algérie selon les classement mondiaux.

                      Il ne faut pas tomber dans le piège

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                      • #12
                        Oui j ai vu l emission sur YouTube. Dans ma vie depuis mon jeune age j ai vu plein de scénario de fin du temps sur l Algérie sur les plateau de télévisions française et les marocains ayacha derrière qui prie. Mais l Algérie et toujours avec ses hommes alors continue la tradition et nous continuons a travailler
                        If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
                        You have to have a dream so you can get up in the morning....

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                        • #13
                          En tout cas le Maroc officiel n'a pas encore sorti l'égal du discours de la junte :

                          Si on fait pareil et bein on va dire aussi

                          On ne peut pas laisser un pays frére sombrer dans le chaos surtout que c notre frontière est et qui peut nous ramener beaucoup de problèmes s'il arrive que l'Algérie sombre dans ce qui sera irrecuperable.

                          On est à coté du peuple algérien opprimé de sa junte militaire harki depuis l'independance de ce pays

                          Le Maroc a déja accueilli les valeureux de l'independance et de l'ideologie algerienne : Boudief, Arkoun ....

                          Mais là c'est tout le peuple qui en souffre et on ne peut rester temoin neutre devant ce qui se passe.
                          Dernière modification par mehdi1111, 26 novembre 2020, 18h19.

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                          • #14
                            Tant que vous continuez de faire les courbettes à votre Dieu M6, rien ne changera au pays des Arabes Alaouites

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                            • #15
                              Voilà hada ach dakhlou ???????

                              J'aimerai bien comprendre

                              Alors qu'il est commandé daba b des portes couches.

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