Hugo Chavez l'excellent !!

[dawa]

encore un hors sujet

solas ,je comprends que tu sois en colère mais tu es hors sujet mon amis.

[btp50]

Je parle des petroliers infidels.
Chavez à au moins le merite d'aider ses compatriotes et pour exemple les rapports qu'il entretien avec Cuba.

[nacer-eddine06]

http://www.algerie-dz.com/forums/sho...36&postcount=1

dawa
voile ce en quoi chavez lutte

[dawa]

le maroc a le droit d'étre pauvre

SOLAS, le maroc fait ce qu'il peut avec les moyens du bord et il s'entire plutot bien, mieu que certains pays qui sont pleins aux as mais qui vivent comme en corée du nord" pinuerie sur pinuerie"

solas, est ce que chavez lutte contre ça aussi???

Un drame social sous les yeux des responsables !!
des enfants se nourissent dans la décharge de oued samar
Des dizaines de jeunes et d’adolescents passent leur temps, sur des monticules de sacs-poubelles, dans la décharge publique de Oued Samar, à Alger, à ramasser les objets qu’ils peuvent vendre, sans se préoccuper des dangers qui les guettent. Chacun de ces « travailleurs » a une histoire spécifique avec la décharge.
Nous avons tenté de pénétrer dans leur monde, et nous fûmes surpris par leurs réponses promptes et perspicaces. La plupart affirment « qu’ils n’ont pas choisis de venir à la décharge », mais que des circonstances graves les ont poussés vers ce monde inconnu.
Le reportage que nous avons effectué nous a permis de prendre conscience de la détresse des enfants de Oued Samar, afin de se procurer le pain quotidien.
Selon notre interlocuteur, la décharge a un autre visage. Celui des « ramasseurs » expérimentés, qui sont devenus de véritables patrons, à la tête des nouveaux arrivants. Mais pour accéder à ce titre, il a fallu obéir aux règles qui régissent l’endroit, et subir la loi des puissants qui contrôlent tout ce qui se passe dans la décharge.
Au moment de quitter la décharge publique de Oued Samar, des enfants couraient dernière les camions, sans penser aux risques qu’ils encouraient, mais il est désolant que ce drame se passe sous les yeux des responsables, avec l’acquiescement des pères de famille.

source alkhabar

[nacer-eddine06]

et chavez avec sa politique ne veut plus que le venzueala soit pauvre
et je ne crois pas que le souhait premier d un marocain qui nait est d etre pauvre
on aura tout vu
reclamer un droit a la pauvrete
pauvre de toi

[dawa]

les pauvres algeriens qui s'en occupe

solas, le maroc n'a ni ni gaz ni petrole, c'est normal qu'il soit pauvre" le maroc a le droit d'etre pauvre" en algerie les recettes des hydrocarbures tombent du ciel mais rien wallou pour le peuple .pinuerie sur pinuerie vous faites honte à mr chaves

[nacer-eddine06]

Le coup double d’Hugo Chavez

Le coup double d’Hugo Chavez
Le 03/05/2007 à 0 h 00 - par Alex Margot-Duclot

Après avoir déclaré qu’il retirerait le Venezuela du FMI et de la Banque Mondiale, Hugo Chavez a fait occuper les champs pétroliers de l’Orénoque, en cours de nationalisation, censés renfermer la plus vaste réserve d’hydrocarbure mondiale. Chantre de l’antilibéralisme planétaire, il a proposé la création d’une « Banque du Sud » pour parer aux imperfections d’institutions internationales « ultralibérales » et « inefficaces ».

Hugo Chavez avance. Alors que les Etats-Unis, embourbés en Irak et tiraillés par l’opposition entre le Congrès et la Maison Blanche, semblent avoir abandonné le continent sud-américain, le président Vénézuélien peut placer ses pions. On savait la haine que le président vénézuélien vouait au FMI et à la Banque Mondiale, qualifiés lundi de « mécanismes de l’impérialisme », qui, lors du coup d’état avorté d’avril 2002, avaient prit faits et causes pour ses opposants. L’affaire Paul Wolfowitz, le président de la Banque Mondiale accusé de népotisme en faveur d’une employée de la Banque avec qui il avait une liaison, ont créé le climat idéal pour une critique plus large de l’institution.

Déjà détestés sur le continent sud-américain depuis la faillite spectaculaire de l’Argentine en décembre 1998, les institutions de Bretton Woods sont vivement contestées depuis plusieurs années. Joseph Stiglitz, conseiller économique de Bill Clinton, prix Nobel d’économie et ancien vice-président de la BM, en avait dénoncé les travers dans « La Grande Désillusion » : il accusait notamment l’institution de mettre en œuvre, dans des pays en développement choisis d’après la qualité de leurs relations avec les pays prêteurs – notamment les Etats-Unis –, des « recettes miracles » rigides et très libérales, sans tenir compte des spécificités locales, des pratiques politiques (corruption) et des habitudes culturelles.

En déclarant lundi vouloir se retirer de ces deux organisations, Chavez tente également de pousser ses partenaires sud-américains vers l’alternative vénézuélienne proposée mi-avril : la création d’une « Banque du Sud » pour concurrencer le FMI et la Banque mondiale, comme le COMECON avait été créé en janvier 1949 face à l’OECE, alors chargé de répartir les fonds du Plan Marshall. L’idée d’une banque mondiale alternative, déjà esquissée en Asie lors de la crise financière de 1998, fait donc son chemin en Amérique du Sud où tous les pays – à l’exception de l’Equateur – ont récemment remboursé leurs dettes internationales. Même si le FMI et la BM n’ont pas le monopole de l’aide au développement, la création d’une entité indépendante sud-américaine, hypothèse encore lointaine, serait un lourd revers pour ces organisations.

Le deuxième coup de Chavez fut l’occupation mardi, par l’armée et « le peuple », des installations pétrolières de l’Orénoque au sud-est du Venezuela. Occupation toute symbolique, car six des sept multinationales qui exploitent ces gisements (Total, BP, Statoil, Chevron Texaco, Exxon Mobil et Veba Oel) ont accepté cette semaine de céder la majorité des parts de leurs filiales vénézueliennes au consortium public PDVSA, signant la re-nationalisation « bolivarienne » – selon Chavez – des ressources pétrolières du pays. Même si le gouvernement reste flou sur les indemnisations payées en contrepartie, calculées en valeur comptable et non d’après la valeur du marché, il ne veut pourtant pas chasser ces entreprises dont l’expérience est jugée indispensable pour atteindre le seuil de production de 3,3 millions de barils par jour fixé par le gouvernement. Le brut de l’Orénoque est en effet extra-lourd, difficile à extraire et à raffiner. Mais l’essentiel est ailleurs : les champs de l’Orénoque sont susceptibles d’abriter la plus grosse réserve de pétrole au monde, devant les « champs géants » saoudiens. Une manne de 270 milliards de dollars qui pourrait en partie servir, selon Chavez, à financer une certaine banque internationale d’aide au développement…

[O-Azis]

solas, le maroc n'a ni ni gaz ni petrole, c'est normal qu'il soit pauvre" le maroc a le droit d'etre pauvre" en algerie les recettes des hydrocarbures tombent du ciel mais rien wallou pour le peuple .pinuerie sur pinuerie vous faites honte à mr chaves

On fait honte à Chavez.. ?, oui c'est possible , surtous avec les morfales qu'on-a à la tête du pays . Mais en tous cas si le maroc à une belle déventure on ne peut pas en dire autant de l'arrière boutique, je veut dire que le gouvernement marocains gaspille énormément dans la prospection de son sous-sol au lieu d'éradiquer la pauvreté qui vous ronge.
Chavez nous donne une bonne lecon de courage .., et je pense que la décision de se retirer du fmi et de rapatrié de la banque mondiale les fonds de son pays n'est peut-pas du au hazard de son humeur. Comme tout les dirigeants il doit assez bien conseiller . Peut-être lorgne t-il lui aussi vers la chine , comme le soudan et d'autre pays de l'opep ?.

[dawa]

son sous-sol au lieu d'éradiquer la pauvreté qui vous ronge.

oasiz, avec vos milliard de dollars qui tombent du ciel,vous n'arrivez pas à éradiquer la pauvreté en algerie puis je te conseille de venir faire un tour et tu te rendras compte de quelle coté se trouve la misere et les pinueries.