Les attaques se suivent et se ressemblent contre l’Algérie. Après le royaume chérifien et ses relais, cette fois c’est l’institution de Bruxelles qui déverse son fiel sur l’Algérie. A noter que vendredi dernier, le parlement européen a voté une résolution d’urgence sur la détérioration les droits de l’homme en Algérie.
Le parlement a voté, quasiment voté à l’unanimité, (669 voix pour, 2 contre, 22 abstentions), cette résolution et a demandé la « libération les détenus inculpés pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression ».
Selon le communiqué, le Parlement européen invite les autorités algériennes à déverrouiller les médias et à mettre fin à toute arrestation ou détention de militants politiques, de journalistes, de défenseurs des droits de l’homme ou de personnes qui expriment une opinion dissidente ou critique à l’égard du gouvernement ».
Une ingérence qui n’a pas manqué de susciter la réaction du ministère des Affaires étrangères et de la classe politique algérienne, à commencer par le FLN et le RND. En effet, dans un communiqué rendu public jeudi, l’Algérie par la voix du ministère des Affaires étrangères condamne et rejette « dans le fond et dans la forme » l’immixtion « flagrante » du Parlement européen dans ses affaires internes et se réserve le droit de procéder à un examen général de ses relations avec l’ensemble des institutions européennes, indique jeudi un communiqué du même département. »
Par Arezki Louni
Le parlement a voté, quasiment voté à l’unanimité, (669 voix pour, 2 contre, 22 abstentions), cette résolution et a demandé la « libération les détenus inculpés pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression ».
Selon le communiqué, le Parlement européen invite les autorités algériennes à déverrouiller les médias et à mettre fin à toute arrestation ou détention de militants politiques, de journalistes, de défenseurs des droits de l’homme ou de personnes qui expriment une opinion dissidente ou critique à l’égard du gouvernement ».
Une ingérence qui n’a pas manqué de susciter la réaction du ministère des Affaires étrangères et de la classe politique algérienne, à commencer par le FLN et le RND. En effet, dans un communiqué rendu public jeudi, l’Algérie par la voix du ministère des Affaires étrangères condamne et rejette « dans le fond et dans la forme » l’immixtion « flagrante » du Parlement européen dans ses affaires internes et se réserve le droit de procéder à un examen général de ses relations avec l’ensemble des institutions européennes, indique jeudi un communiqué du même département. »
Par Arezki Louni
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