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Le ministre français de la Défense Hervé Morin a annoncé vendredi que la Libye avait signé une «lettre d'intention» pour acheter à la France des missiles antichar.
Selon le groupe européen d'aéronautique et de défense EADS, le contrat pour la fourniture de ces missiles est «finalisé».
Cette finalisation intervient après «18 mois» de négociations, précise le groupe.
Les contrats «ne sont pas signés en tant que tels formellement. Il y a une lettre d'intention de la Libye disant 'nous souhaitons acheter des missiles Milan', sur lequel il y a déjà eu un accord d'une commission interministérielle en février 2007», a affirmé de son côté M. Morin sur la radio RTL.
«Et il y a aussi un accord sur des systèmes radio», a-t-il précisé. Ces achats libyens avaient été rendus publics mercredi par le quotidien Le Monde qui s'était entretenu avec Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi.
Ce dernier a affirmé que le «coeur du sujet» entre Paris et Tripoli au moment de la libération des infirmières et du médecin bulgares n'était pas un projet nucléaire civil, mais «l'affaire militaire».
Source: SDA/ATS
Le ministre français de la Défense Hervé Morin a annoncé vendredi que la Libye avait signé une «lettre d'intention» pour acheter à la France des missiles antichar.
Selon le groupe européen d'aéronautique et de défense EADS, le contrat pour la fourniture de ces missiles est «finalisé».
Cette finalisation intervient après «18 mois» de négociations, précise le groupe.
Les contrats «ne sont pas signés en tant que tels formellement. Il y a une lettre d'intention de la Libye disant 'nous souhaitons acheter des missiles Milan', sur lequel il y a déjà eu un accord d'une commission interministérielle en février 2007», a affirmé de son côté M. Morin sur la radio RTL.
«Et il y a aussi un accord sur des systèmes radio», a-t-il précisé. Ces achats libyens avaient été rendus publics mercredi par le quotidien Le Monde qui s'était entretenu avec Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi.
Ce dernier a affirmé que le «coeur du sujet» entre Paris et Tripoli au moment de la libération des infirmières et du médecin bulgares n'était pas un projet nucléaire civil, mais «l'affaire militaire».
Source: SDA/ATS
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