Aps 29/8/07] Alger - Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message de condoléances à la famille du défunt Driss Basri, ancien ministre marocain de l'Intérieur, décédé, lundi, à l'âge de 69 ans. "C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris la nouvelle du décès de l'ami fidèle Driss Basri, Dieu lui accorde sa miséricorde", écrit le président Bouteflika dans son message, estimant qu'"avec sa disparition c'est une importante étape de l'histoire moderne du Maroc qui vient de se terminer, une étape aux évènements non encore révolus, au cours desquels j'ai eu à le côtoyer à maintes occasions et à plus d'un niveau".
"J'ai trouvé en lui le bon ami, le bon compagnon avec qui mes liens se sont renforcés. Il fut un homme sincère dans son amitié, dévoué au service de son pays, dont il veillait à la sécurité, et était d'une compétence avérée dans l'accomplissement de ses missions et de son devoir national dans toutes les fonctions qu'il a eu à occuper et qu'il a imprimées de son sceau", a ajouté le président de la République.
Evoquant les différentes fonctions que le défunt avait assumées, le Chef de l'Etat a rappelé que feu Driss Basri avait entamé sa carrière comme "gouverneur général de la ville de Rabat, puis directeur central au ministère de l'Intérieur où il avait gravi les échelons avant d'être nommé par le défunt roi Hassan II - Dieu ait son âme - secrétaire d'Etat au ministère de l'Intérieur, puis ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, fonction dans laquelle il s'est distingué avec son sens élevé des responsabilités".
"Notre amitié est demeurée forte et n'a jamais été entamée, même lorsque les vents soufflaient parfois contre mon grè ou contrairement à ce qu'il souhaitait, une amitié qui n'a point été affectée par les avis divergents que nous avions", a encore enchaîné le président Bouteflika.
"La lourde responsabilité à laquelle il a consacré sa jeunesse, militant pour le progrès de son pays avec abnégation, ne l'a pour autant pas éloigné du monde de la pensée et de l'écriture, légant des livres importants qui témoignent de sa riche expérience et sa vision dans les domaines du développement économique et de l'administration", lit-on encore dans le message du Chef de l'Etat.
"Le défunt avait une passion si forte pour l'enseignement qu'il n'a pas tardé, sitôt après avoir quitté ses fonctions administratives, à renouer avec l'université comme enseignant jusqu'à ce que le Tout Puissant le rappelle auprès de lui", poursuit le président de la République.
Le défunt Driss Basri, ajoute le président Bouteflika, "fut l'un des hommes d'Etat les plus distingués qui font la fierté du Maroc, de par sa loyauté et sa fidélité à sa majesté le roi Hassan II, Dieu ait son âme, aux cotés duquel il a contribué, près de deux décennies durant, à la concrétisation de nombreuses réalisations socioéconomiques et a été témoin de toutes les étapes de la quête permanente pour la consolidation et l'approfondissement des relations de fraternité, de solidarité et de coopération entre l'Algérie et le Maroc".
"En cette douloureuse circonstance, je vous dis ma compassion et vous présente mes sincères condoléances, priant le Tout-Puissant de lui accorder sa sainte miséricorde et de l'accueillir en son vaste paradis, auprès de ses meilleurs serviteurs", a ajouté le Chef de l'Etat.
"Puisse Dieu vous prêter réconfort et assister les siens en cette pénible épreuve", conclut le président Bouteflika.
"J'ai trouvé en lui le bon ami, le bon compagnon avec qui mes liens se sont renforcés. Il fut un homme sincère dans son amitié, dévoué au service de son pays, dont il veillait à la sécurité, et était d'une compétence avérée dans l'accomplissement de ses missions et de son devoir national dans toutes les fonctions qu'il a eu à occuper et qu'il a imprimées de son sceau", a ajouté le président de la République.
Evoquant les différentes fonctions que le défunt avait assumées, le Chef de l'Etat a rappelé que feu Driss Basri avait entamé sa carrière comme "gouverneur général de la ville de Rabat, puis directeur central au ministère de l'Intérieur où il avait gravi les échelons avant d'être nommé par le défunt roi Hassan II - Dieu ait son âme - secrétaire d'Etat au ministère de l'Intérieur, puis ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, fonction dans laquelle il s'est distingué avec son sens élevé des responsabilités".
"Notre amitié est demeurée forte et n'a jamais été entamée, même lorsque les vents soufflaient parfois contre mon grè ou contrairement à ce qu'il souhaitait, une amitié qui n'a point été affectée par les avis divergents que nous avions", a encore enchaîné le président Bouteflika.
"La lourde responsabilité à laquelle il a consacré sa jeunesse, militant pour le progrès de son pays avec abnégation, ne l'a pour autant pas éloigné du monde de la pensée et de l'écriture, légant des livres importants qui témoignent de sa riche expérience et sa vision dans les domaines du développement économique et de l'administration", lit-on encore dans le message du Chef de l'Etat.
"Le défunt avait une passion si forte pour l'enseignement qu'il n'a pas tardé, sitôt après avoir quitté ses fonctions administratives, à renouer avec l'université comme enseignant jusqu'à ce que le Tout Puissant le rappelle auprès de lui", poursuit le président de la République.
Le défunt Driss Basri, ajoute le président Bouteflika, "fut l'un des hommes d'Etat les plus distingués qui font la fierté du Maroc, de par sa loyauté et sa fidélité à sa majesté le roi Hassan II, Dieu ait son âme, aux cotés duquel il a contribué, près de deux décennies durant, à la concrétisation de nombreuses réalisations socioéconomiques et a été témoin de toutes les étapes de la quête permanente pour la consolidation et l'approfondissement des relations de fraternité, de solidarité et de coopération entre l'Algérie et le Maroc".
"En cette douloureuse circonstance, je vous dis ma compassion et vous présente mes sincères condoléances, priant le Tout-Puissant de lui accorder sa sainte miséricorde et de l'accueillir en son vaste paradis, auprès de ses meilleurs serviteurs", a ajouté le Chef de l'Etat.
"Puisse Dieu vous prêter réconfort et assister les siens en cette pénible épreuve", conclut le président Bouteflika.
Commentaire