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Salon du livre: Israël invité d’honneur

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  • #16
    Si vous aimez tant la littérature de l'état hébreu, en quoi le fait qu'il soit à l'honneur au salon du livre vous gène?

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    • #17
      Aanis

      Je peux aimer des auteurs israéliens sans être d'accord avec le gouvernement RACISTE de ce pays.


      Je conseille de Lire David Grossman. Super auteur qui décrit les contradictions de la société israélienne.
      ps: il a perdu son fils lors de la guerre des 33 jours.

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      • #18
        Honorer la littérature israelienne ne signifie pas approuver la politique d'Israel.
        Je ne pense que l'on ait arretté d'étudier Kant, Goethe ou Dante pendant la seconde guerre mondiale.
        Et merci beaucoup pour le conseil ;-).
        ps: il a perdu son fils lors de la guerre des 33 jours.
        C'est vrai que c'était tragique, d'autant plus qu'il avait soutenu l'entrée en guerre d'Israel. Ca ne doit pas etre facile à vivre.
        Dernière modification par absent, 20 décembre 2007, 13h59.

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        • #19
          Aanis

          "Honorer la littérature israelienne ne signifie pas approuver la politique d'Israel.
          "
          J'apprécie le courage des certains auteurs israéliens. Je n'approuve pas la politique de cet Etat confessionnel.

          Le grand Emile Habibi ser t il invité?

          EMILE HABÎBÎ
          Né en 1921 à Haïfa ; Décédé en 1996 "Palestine"

          Romancier ; Journaliste ; Critique littéraire


          En témoin de l'attachement de tout un peuple à ses droits, à sa culture et son identité, Emile Habib est un des grands rénovateurs de la littérature contemporaine arabe. Dans plusieurs de ses romans et comme rédacteur en chef du quotidien AL-Ittibad, il se fait l'écho d'un million d'Arabes israéliens qu'il a représenté à la knesset israélienne pendant dix-neuf ans, en tant que député, soucieux de combattre pour que les arabes d'Israël aient accès à une citoyenneté à part entière.

          Il opte pour sa création littéraire de défier la censure, en employant l'arme redoutable de la satire, spécifique au patrimoine arabe classique. La dualité de l'identité palestinienne est toujours présente dans son œuvre. Il choisi la langue arabe classique afin de sauvegarder l'héritage culturel et d'affirmer l'identité arabe. Dans "Les Aventures extraordinaires de Saïd la peptimiste" ; sorte d'anti-héros, symbole de la fragilité des homme ; il met en scène, dans un style tragi-comique entre surnaturel et fantastique ; Saïd, tour à tour optimiste et pessimiste, dans un monde où règne la confusion. Dans le roman traduit en français, "Péchés oubliés", il nourri une intrigue surréaliste d'un retour dans la ville de Haïfa.

          Son attachement à sa terre natale qu'il n'a jamais quitté sera consacré par l'épitaphe inscrite sur sa tombe : "Je demeure à Haïfa".

          En 1989, saluant son talent, Yasser Arafat lui remet la médaille Al-Qods pour la culture et les arts. En 1992, il reçoit le prix Israël de littérature pour l'ensemble de son œuvre.

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          • #20
            J'apprécie le courage des certains auteurs israéliens. Je n'approuve pas la politique de cet Etat confessionnel.
            C'est votre droit le plus absolu, sauf qu'il s'agit de littterature et non de politique.

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