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Que se passe t il au Tchad? la bataille de Njamena a commencé

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  • #16
    Amine, allah yostor bladna, mais les dictateurs adorent la violence et leur fin de vie politique se termine toujours dans la violence!
    Dernière modification par jamoman, 03 février 2008, 14h38.
    "Je déteste les victimes quand elles respectent les bourreaux". Jean-Paul Sartre

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    • #17
      La différence c le role que joue la France dans c évenements, dans les deux cas, mais il faut pas oublier al-Qaida aussi.

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      • #18
        non, je ne pense pas que la france soutient les rebelles.Ce n'est pas parce qu'il y a des représentants de la rébellion en France que la france les soutient.il y avaient bien des représentants du fln en france pendant la guerre d'algérie (d'ailleurs les algériens s'entretuaient aussi en france, et pas seulement dans "le maquis" algérien).

        les accords qui la lie avec deby, c'est seulement de l'aide technique et médicale(ce qu'ils font) ,rien d'autre....

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        • #19
          Comme quoi la fin de l'interventionisme francais en Afrique n'est pas terminee...

          Qui avait dit que la franceAfrique c'etait fini...

          La calomnie est une guêpe qui vous importune et contre laquelle il ne faut faire aucun mouvement

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          • #20
            Selon France Info le président Déby a refusé une propostion française pour le faire sortir du Tchad et le chef d'état-major tchadien, Daoud Soumaïn, était décédé dans les combats contre la rébellion
            A todo cerdo le llega su San Martín.

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            • #21
              miranou

              La différence c le role que joue la France dans c évenements, dans les deux cas, mais il faut pas oublier al-Qaida aussi.
              et le Soudan aussi, n'oublions pas que Les deux pays voisins s’accusent mutuellement de tentatives de déstabilisation par le soutien de rebelles hostiles aux pouvoirs centraux.
              A todo cerdo le llega su San Martín.

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              • #22
                à superfifi:
                ça n'a rien avoir avec ce qui se passait entre Algériens, là c la volonté du peuple, ou presque, et la France pour garder ces avantages sur le terrain n'a pas d'autres moyens que de soutenir les rebelles, et brouiller les piste voilà qu'on m'anonce qu'elle tende sa main à Déby. Si elle voulait elle pouvait...
                Puis peux tu me dire, si c des vrais rebelles sachant la position de France ils n'ont pas touché aux étranger surtout aux Français, tous ce qu'ils ont demandé c de suivre les consignes de sécurité, ils les protègent même.

                à El Diez

                Oui, tout à fait mais je ne pense pas que le Soudan est seul résponsable de ce problème, je reviens au problème de Darfour, les attaques des mélices étaient des deux côté tchad et soudan..

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                • #23
                  il se passe comme en 1990
                  ou dris deby a pris le pouvoir dans mles memes conditions


                  comme tu fais, on te fais
                  Gone with the Wind.........

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                  • #24
                    ils n'ont pas touché aux étrangers, parce qu'ils savent que sinon ils signent leur arrêt de mort. Il a suffi de quelques tirs de mirage la dernière fois pour que les rebelles armés par le soudan fassent machine arrière...

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                    • #25
                      Ils ont déjà signé leur actes de décés, c de rebelles.

                      Puis c vrai, depuis l'accession du Tchad à l'indépendance en 1960, y'a eu plusieurs coups d'état à cause de Tombalbaye qui a institué la marginalisation des musulmans du nord a suscité la création de plusieurs rébellions.
                      Le premier putsh du pays en 1975 perpétré par le général Maloum a posé les jalons d'une tradition pérennisée sans faute jusqu'à nos jours.

                      et maintenant ces rébelles tchadiennes reprochent à Idriss Déby en plus de la marginalisation de certaines ethnies... la confiscation systématique du pouvoir.

                      psk'il a modifié la constitution pour pouvoir se représenter à vie aux élections qu'il truque bien sur.

                      et la France comme elle a fêté le départ de Hissène Habré en 1990 elle fêtera le départ de Idriss Déby

                      Les groupes rebelles tchadiens comme la plupart des groupes rebelles africains se résument à des groupes ethniques, ce qui augure ni plus ni moins d'un futur pouvoir ethnique. Ces groupes sont soutenu par le soudan et ils auront le soutien de la France.

                      Donc le coups d'état qui se prépare ne changera rien.

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                      • #26
                        J'ai l'impression que vous parlez beaucoup sans rien connaitre!!!!

                        La France n'a pas laché Déby, elle fait tout pour le sauver et ralentir les rebelles, mais ne le fait pas comme avant, car si elle s'implique trop, les autres européens ne voudront plus faire l'EUFOR au Tchad et Centrafrique.

                        Elle ne soutient donc pas les rebelles, il y a encore quelques jours, elles donnaient des renseignements à Déby, acheminait ses soldats, l'armait et évacuait ses blessés.

                        En avril 2006 la France avait même empêché le renversement de Déby en envoyant des missiles sur les rebelles.

                        Aujourd'hui encore, les mirages ont ballancés des leurres qui ont brulé grièvement plusieurs civils et rebelles.

                        Les rebelles représentent tous les peuples cette fois çi. C'est un grand changement par rapport à d'habitude

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                        • #27
                          Tchad. La France dans un bourbier

                          Si elle tente de sauver le régime d'Idriss Déby, la France sera l'objet de toutes les critiques. Mais, si elle reste neutre, elle risque de laisser s'installer un régime prosoudanais à N'Djamena.

                          Le régime du président du Tchad, Idriss Déby Itno, au pouvoir depuis dix-sept ans, vit-il ses dernières heures ? Il est difficile d'avoir une vision très claire de la situation qui prévaut à N'Djamena. L'annonce par la rébellion, qui assiégeait le palais présidentiel depuis samedi 2 février, d'un repli, fût-il partiel, vers les faubourgs est de la ville ajoutait à l'incertitude sur la capacité de celle-ci à conclure une offensive menée tambour battant depuis le milieu de la semaine dernière.

                          Quelle que soit en définitive l'issue de la confrontation, quelques enseignements peuvent déjà être retirés des événements des 2 et 3 février. Le pouvoir du président Déby est en toute hypothèse considérablement fragilisé par l'opération de la rébellion. Son armée, qu'il a dirigée lui-même au combat, s'est révélée incapable de faire obstacle à la progression de l'ennemi. C'est d'ores et déjà une défaite militaire et l'annonce d'une retraite politique, à court ou à moyen terme.

                          La coalition rebelle formée par trois mouvements aux positions naguère pas toujours convergentes a démontré que, face à un objectif commun, elle pouvait conjuguer ses moyens militaires pour forcer une victoire sans doute décisive. Cette union de circonstance ne démontre cependant pas que la coalition soit armée pour gérer le pouvoir et conduire les Tchadiens vers la stabilité et la prospérité.

                          Le Soudan voisin, soupçonné de soutenir la coalition rebelle, est d'ores et déjà celui qui profite de la dégradation de la conjoncture au Tchad. Le régime du général Omar Hassan El-Béchir observait avec une extrême méfiance les préparatifs du déploiement d'une force européenne destinée à venir en aide aux réfugiés du Darfour soudanais. Cette mission est au minimum retardée. Qu'adviendra-t-il de celle-ci si un régime prosoudanais s'installe à N'Djamena ?

                          Dans ce contexte, l'attitude de la France, alliée du président Idriss Déby, laisse perplexe. De deux choses l'une : soit elle a déjà fait son deuil de la survie du régime en place, et sa neutralité se comprend, mais son soutien antérieur pose question ; soit elle n'a pas renoncé à maintenir Idriss Déby au pouvoir, et elle s'apprête à lui apporter un appui qui sera inévitablement critiqué. Dans l'une ou l'autre hypothèse, la France est empêtrée dans un fameux bourbier et, avec elle, l'EUFOR [la force européenne, dont le déploiement à la frontière avec le Soudan est retardé par les événements actuels]. Et voilà un nouveau fiasco militaro-diplomatique qui se profile pour Paris.

                          Gérald Papy
                          La Libre Belgique
                          LeCourrier-International.com
                          La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                          De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                          .
                          Merci.
                          " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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