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Proposition pour le règlement de la question du Sahara (Expert)

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  • #16
    houari
    bien sur SpArOwMe ; un mauvais souvenir pour tout le peuple algerien un couteau au dos aprés l independance de l Algerie .
    non cher monsieur pas au peuple
    le peuple est bien assez préoccuper de penser autre chose que ca,c'est du passé ,et c'estait d'ordre politique, et c'est qu'intervient le regime militaire

    mais au régime militaire, qui n'a pas toujours a digerer facilement la monarchie marocaine ,et surtout la supériorité de 63, mnt qu'il ya le fric ils veulent prouver la présence et le leadership .....etc
    (on dirait une crise d'ados)

    en fait tout l'esprit politique en algerie est fondé sur cette philosophie, bien qu'il ya des exceptions mais pas encore fortes par leur presence

    l'esprit politique est a recycler, il y'a de bons algeriens desirant travailler leur pays, il faut leur donner la chance et l'atmosphère qu'il faut

    le regime militaire c'est down to down..........
    Dernière modification par SpArOwMe, 15 février 2008, 01h47.

    Commentaire


    • #17
      63? Parlons en de 1963:



      Il existe depuis longtemps un contentieux territorial à propos des régions du Sud rattachées à l’Algérie par le colonisateur français. En janvier 1957, celui-ci met au point un projet d’Organisation commune des régions sahariennes (OCRS) dont l’objectif est de faire du Sahara une entité autonome de l’Algérie.

      Les Français proposent même aux Marocains, qui ont accédé à l’indépendance l’année précédente, d’en exploiter conjointement les immenses ressources. Or non seulement ceux-ci refusent la proposition, mais ils en informent leurs frères algériens. En juillet, Hassan II et Ferhat Abbas, le président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), reconnaissent l’existence d’un contentieux territorial et conviennent d’en différer l’examen jusqu’à l’indépendance de l’Algérie.

      Celle-ci survient en 1962. Très vite, le GPRA est balayé par l’armée des frontières et Ahmed Ben Bella s’empare du pouvoir. Pour lui, pas question d’examiner un quelconque différend, le territoire algérien étant « un et indivisible ». Au cours du mois de septembre 1963, le Maroc masse des troupes le long de la frontière. Ben Bella accuse tour à tour son voisin d’expansionnisme et d’ingérence dans les affaires intérieures de l’Algérie. Tout le monde veut encore croire qu’une solution pacifique est possible. Le 5 octobre, Ahmed Réda Guédira, le ministre marocain des Affaires étrangères, rencontre à Oujda Abdelaziz Bouteflika, son homologue algérien, pour tenter de désamorcer la crise.

      L’irrémédiable a lieu dans la matinée du 8 octobre, quand les troupes algériennes occupent Hassi Beïda.

      L’armée algérienne attaque un détachement des Forces armées royales au lieu-dit Hassi Beïda, non loin de Colomb-Béchar (aujourd’hui, Béchar). Dix soldats marocains sont tués. Très vite, les affrontements s’étendent à la région de Tindouf et de Figuig. La « guerre des Sables » a commencé. Elle va durer près de trois semaines.

      Le lendemain, Hassan II dépêche d’urgence à Alger Abdelhadi Boutaleb, son ministre de l’Information, et le commandant de la Garde royale. Pour réclamer justice pour les victimes marocaines d’Hassi Beïda et demander l’ouverture immédiate de discussions. L’entrevue avec Bouteflika est un échec total.

      Depuis son palais d’Agadir, où il tient des réunions-marathons avec son état-major, Hassan II appelle ses sujets à défendre l’intégrité territoriale du royaume. Les hostilités commencent. Elles feront, de part et d’autre, plusieurs dizaines de morts. Égyptiens et Cubains envoient sur place de petits contingents pour défendre leurs amis algériens, tandis que les Marocains bénéficient de l’appui des Américains. L’armée algérienne, encore embryonnaire, est bousculée. Les Marocains ont la possibilité de prendre Tindouf, mais, curieusement, s’en abstiennent et reculent, peut-être à la suite d’une intervention du général de Gaulle. À Alger, le traumatisme est terrible. La création ultérieure d’une puissante armée « populaire » en sera la conséquence directe.

      Mardi 8 octobre 1963. L’armée algérienne attaque un détachement des Forces armées royales au lieu-dit Hassi Beïda, non loin de Colomb-Béchar (aujourd’hui, Béchar). Dix soldats marocains sont tués. Très vite, les affrontements s’étendent à la région de Tindouf et de Figuig. La « guerre des Sables » a commencé. Elle va durer près de trois semaines.

      Diverses tentatives de médiation échouent, jusqu’à ce que, le 26 octobre, le président malien Modibo Keïta invite Hassan II et Ben Bella à Bamako. Placée sous les auspices de l’Organisation de l’unité africaine, la rencontre débouche sur la conclusion d’un cessez-le-feu, qui prend effet le 2 novembre.

      Le 15 janvier 1969, à Ifrane, un traité de paix est conclu. Mais les germes de futurs différends ne sont pas éradiqués pour autant : l’inextricable dossier du Sahara occidental n’est toujours pas refermé. Comme le dit Hubert Védrine, l’ancien chef de la diplomatie française, « l’affaire du Sahara est une affaire nationale pour le Maroc et une affaire identitaire pour l’armée algérienne ».

      7 octobre 2007
      Jeune Afrique
      Dernière modification par ayoub7, 15 février 2008, 03h57.

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      • #18
        Tu peux aussi voir cette reference historique discutee ici-meme, ca te donnera une idee de qui a lance les hostilites etc... Tout est repertorie et en details, loin de la propagande stalinienne:

        Comme on le voit, les successeurs de Ferhat Abbas faisaient montre d'une intransigeance inentamable et fermaient résolument la porte à tout règlement négocié. « Quand a-t-on jamais vu un État faire don d'une partie de son territoire à un autre État? demandaient-ils. Le Maroc veut s'annexer une portion de l'Algérie ? Eh bien, qu'il vienne la prendre ! Il verra comment il y sera reçu... »

        Ulcéré par cette attitude si peu conforme aux scrupules qui avaient empêché son père de régler le problème avec le gouvernement français, Hassan II crut pouvoir trancher la question par lui-même. Dans la dernière quinzaine d'octobre 1963, il fit occuper par de petits détachements symboliques des Forces armées royales certains points de garde situés dans la zone désertique qui s'étendait entre la Hamada du Draa et Colomb-Béchar.

        Comme cette région avait été de tout temps dans la mouvance de l'Empire chérifien, il n'avait nullement l'impression de pénétrer dans un pays étranger. L'opération s'effectua sans difficulté, car les postes étaient vides et il n'y avait aucune unité algérienne dans les parages.
        Lorsque le gouvernement algérien apprit cette nouvelle, sa réaction fut immédiate. Il ameuta son opinion publique en annonçant à la radio que l'armée maro*caine avait franchi la frontière et occupait indûment une portion du territoire national. Quarante-huit heures plus tard, des formations de l'ALN3 débou*chaient dans la région. Au lieu de rester l'arme au pied en face des postes marocains, en attendant un arbi*trage, elles les attaquèrent nuitamment et massa*crèrent leurs chefs. Les soldats répliquèrent par un feu nourri. Le sang commença à couler de part et d'autre. De nouvelles formations de l'ALN accoururent à la res*cousse. Durant toute la journée suivante et le surlende*main, les Algériens renouvelèrent leurs attaques, mais sans pouvoir entamer la ligne de défense des Maro*cains, qui avaient reçu eux aussi des renforts. Finale*ment, ils s'essoufflèrent. L'ALN était constituée de groupes de volontaires habitués à la guérilla. Elle était insuffisamment rompue à la guerre classique pour pouvoir tenir tête à l'armée marocaine, bien encadrée et dotée d'un armement supérieur. Lorsque les Forces armées royales passèrent à la contre-attaque, elles culbutèrent les formations algériennes, qui se disper*sèrent dans toutes les directions. « II n'y avait plus rien devant nous, devait déclarer plus tard un officier maro*cain. La voie était libre. Si Sa Majesté nous avait donné l'ordre d'aller de l'avant, nous aurions pu marcher sur Alger sans rencontrer d'obstacle. »

        Mais cet ordre, le roi ne le donna pas.

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...56&postcount=2
        Dernière modification par ayoub7, 15 février 2008, 02h07.

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        • #19
          la position de cet expert n'est rien d'autre que la position des parlementaires européens, à savoir les espagnols, les français etc, tous des gens acquis à la position marocaine, les etats preferent entretenir des relations avec les entités etatiques voisines plutôt qu'avec un peuple qui tend à se liberer !!!

          la proposition de cet "expert" (zaama), c'est la voix de l'espagne, elle qui se croit encore obligée de manoeuvrer pour la résolution du conflit, le gars en question ne fait que defendre la position d'un pays membre (ou des pays membres car la france a la même position)...

          donc si on suit son avis ça veut dire qu'on sacrifie les sahraoui à la cause du roi !

          ben non ça marche pas comme ça, parfois la position d'un homme vaut plus que celle d'un état, je résume pour ceux qui ont pas bien saisi, si un sahraoui desir son independance, son avis vaut autant sinon plus que l'avis de m6, donc il a droit de vouloir son independance, donc cet expert peut aller proposer ses solutions à la face cachée de la lune

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          • #20
            mais oui, le monde entier, y comprs l'entier est du cote de l'onu juste parce qu'elle n'aime pas Alger, et Alger bien entendu a raison, toute seule, dans son petit coin d'afrique. Un peu de serieux.

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            • #21
              donc si on suit son avis ça veut dire qu'on sacrifie les sahraoui à la cause du roi !
              Tolkien


              ....................................

              Il n' y a ni roi ni sidi Zekri.

              C'est l'affaire de 30 millions de marocains qui supportent fièrement et stoïquement ses conséquences.

              Le roi a surtout intérêt à ne rien lâcher sinon c'est lui qui saute.

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              • #22
                A chicha 51
                Le roi a surtout intérêt à ne rien lâcher sinon c'est lui qui saute.
                Tant qu il tient au reve du Grand Maroc ( SO , frontiere algerienne ) et la dégradation du nord , avec le temps il sautera ..
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #23
                  @houari16:

                  Un petit HS de ma part: re-bienvenue CrazyDZ, Algerie2008

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                  • #24
                    Proposition pour le règlement de la question du Sahara (Expert)

                    A slamry
                    @houari16:

                    Un petit HS de ma part: re-bienvenue CrazyDZ, Algerie2008
                    connait pas !
                    Slamry ? l essentiel du reglement de la question du sahara occidental doit passer inévitablement par un referendum d autodermination du peuple sahraoui !.
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #25
                      Ya que CrazyDz pour sortir de telle aneries.

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