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réseau terroriste "Belliraj" administre la preuve sur la transparence totale qui marque le traitement de cette affaire, a déclaré le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, M.Khalid Naciri.
Le ministre, qui était mardi soir l'invité de l'émission "Hiwar" diffusée par la première chaîne de télévision nationale, a indiqué que le danger du réseau terroriste, récemment démantelé, réside dans l'existence d'une structure armée agissant dans le cadre d'une stratégie dangereuse, la présence d'un parti politique créé pour induire en erreur les autorités publiques et les citoyens, outre l'infiltration de plusieurs institutions de l'Etat.
Le ministre a critiqué les doutes exprimés par certains milieux sur le démantèlement du réseau "Belliraj", regrettant que les discussions concernant cette affaire aient été déviées vers un débat sur la légalité du recours du Premier ministre à l'article 57 de la loi sur les partis pour dissoudre le parti "Al Badil Al Hadari", alors qu'il s'agit, a-t-il dit, d'un réseau terroriste qui planifiait des actes de violence au Maroc.
Il a souligné à cet égard que ledit article porte sur la nécessité de réagir d'urgence devant la menace de groupes armés, mettant en exergue l'importance de sensibiliser les Marocains au danger du terrorisme, qui vise à porter atteinte à la sécurité intérieure et au processus de développement du pays.
Tous les accusés dans cette affaire bénéficieront des conditions d'un procès équitable et des garanties juridiques nécessaires, a-t-il assuré.
M. Naciri a affirmé que le Maroc paie le prix de la mondialisation de ce phénomène universel qu'est le terrorisme, lançant un appel à tous les Marocains pour se mobiliser afin de faire face à ce fléau qui menace la vie et les biens des citoyens et met en péril les choix de la société.
Au sujet de la régression du rôle joué par les partis politiques à la suite des élections du 7 septembre, marquées par une désaffection importante de l'électorat, M. Naciri a estimé que les partis constituent le miroir de la période traversée par la société marocaine, ajoutant que la question des partis ne peut être traitée en dehors de l'environnement dans lequel évoluent les formations politiques.
Le ministre a ajouté que certaines formations politiques sont passées rapidement de l'opposition à la gestion des affaires publiques, chose qui ne les a pas aidées à s'accommoder avec cette nouvelle donne, d'où la stérilité de l'action politique qui a fini par prévaloir sur la scène nationale.
S'agissant, par ailleurs, du nouveau contrat politique auquel appelle le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS), dont il est membre du bureau politique, M. Naciri a indiqué que cet appel s'inspire des principes défendus par le parti.
Et de souligner que la Koutla démocratique a été créée pour faire face aux problèmes sociaux, politiques et économiques, ajoutant que la mission de la Koutla n'en est pas encore à sa fin.
L'échec des élections de septembre 2007 n'est qu'un échec "relatif ", a estimé le ministre, soulignant que la participation des citoyens aux élections est tributaire de la prise de décisions économiques et sociales ayant un impact direct sur le quotidien de la population.
Il a rappelé à cette occasion que le gouvernement a consacré 50 pc du budget général aux secteurs sociaux, notant que l'Initiative nationale pour le développement humain commence à donner ses fruits.
M. Naciri a appelé à réformer la Caisse de compensation, un instrument devenu dépassé, relevant que cette caisse profite à seulement 15 pc des personnes démunies.
S'agissant du code de la presse, il a indiqué que les parties concernées sont parvenues à des consensus, mettant en relief la détermination de ces parties à promulguer cette loi dans les plus brefs délais.
Il s'est félicité de l'expérience pionnière des radios privées, qui apportent une valeur ajoutée, soulignant que la création de la chaîne amazighe a franchi des étapes importantes.
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Le ministre, qui était mardi soir l'invité de l'émission "Hiwar" diffusée par la première chaîne de télévision nationale, a indiqué que le danger du réseau terroriste, récemment démantelé, réside dans l'existence d'une structure armée agissant dans le cadre d'une stratégie dangereuse, la présence d'un parti politique créé pour induire en erreur les autorités publiques et les citoyens, outre l'infiltration de plusieurs institutions de l'Etat.
Le ministre a critiqué les doutes exprimés par certains milieux sur le démantèlement du réseau "Belliraj", regrettant que les discussions concernant cette affaire aient été déviées vers un débat sur la légalité du recours du Premier ministre à l'article 57 de la loi sur les partis pour dissoudre le parti "Al Badil Al Hadari", alors qu'il s'agit, a-t-il dit, d'un réseau terroriste qui planifiait des actes de violence au Maroc.
Il a souligné à cet égard que ledit article porte sur la nécessité de réagir d'urgence devant la menace de groupes armés, mettant en exergue l'importance de sensibiliser les Marocains au danger du terrorisme, qui vise à porter atteinte à la sécurité intérieure et au processus de développement du pays.
Tous les accusés dans cette affaire bénéficieront des conditions d'un procès équitable et des garanties juridiques nécessaires, a-t-il assuré.
M. Naciri a affirmé que le Maroc paie le prix de la mondialisation de ce phénomène universel qu'est le terrorisme, lançant un appel à tous les Marocains pour se mobiliser afin de faire face à ce fléau qui menace la vie et les biens des citoyens et met en péril les choix de la société.
Au sujet de la régression du rôle joué par les partis politiques à la suite des élections du 7 septembre, marquées par une désaffection importante de l'électorat, M. Naciri a estimé que les partis constituent le miroir de la période traversée par la société marocaine, ajoutant que la question des partis ne peut être traitée en dehors de l'environnement dans lequel évoluent les formations politiques.
Le ministre a ajouté que certaines formations politiques sont passées rapidement de l'opposition à la gestion des affaires publiques, chose qui ne les a pas aidées à s'accommoder avec cette nouvelle donne, d'où la stérilité de l'action politique qui a fini par prévaloir sur la scène nationale.
S'agissant, par ailleurs, du nouveau contrat politique auquel appelle le Parti du Progrès et du Socialisme (PPS), dont il est membre du bureau politique, M. Naciri a indiqué que cet appel s'inspire des principes défendus par le parti.
Et de souligner que la Koutla démocratique a été créée pour faire face aux problèmes sociaux, politiques et économiques, ajoutant que la mission de la Koutla n'en est pas encore à sa fin.
L'échec des élections de septembre 2007 n'est qu'un échec "relatif ", a estimé le ministre, soulignant que la participation des citoyens aux élections est tributaire de la prise de décisions économiques et sociales ayant un impact direct sur le quotidien de la population.
Il a rappelé à cette occasion que le gouvernement a consacré 50 pc du budget général aux secteurs sociaux, notant que l'Initiative nationale pour le développement humain commence à donner ses fruits.
M. Naciri a appelé à réformer la Caisse de compensation, un instrument devenu dépassé, relevant que cette caisse profite à seulement 15 pc des personnes démunies.
S'agissant du code de la presse, il a indiqué que les parties concernées sont parvenues à des consensus, mettant en relief la détermination de ces parties à promulguer cette loi dans les plus brefs délais.
Il s'est félicité de l'expérience pionnière des radios privées, qui apportent une valeur ajoutée, soulignant que la création de la chaîne amazighe a franchi des étapes importantes.
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