Comme pour le trafic de la drogue, en dictature marocaine, l'exploitation des mines aurifères n'appartient qu'aunarcotrafiquant et addictif à a coke M6.
- Le roi Mohammed VI s’est fait une réputation d’homme d’affaires prospère au train de vie fastueux. Le « roi des pauvres » vise maintenant les mines aurifères d’Afrique, tout en continuant à monopoliser l’exploitation de l’or du Maroc
(...).
Dans la pure tradition alaouite, Hassan II, lui aussi, ne cacha jamais sa soif d’or et de richesses matérielles. Il laissa à son fils une fortune colossale que ce dernier s’est évertué à faire fructifier pour atteindre en 2019 la somme de 5,8 milliards de dollars, selon le magazine Forbes.
Il faut dire que Mohammed VI est un homme d’affaires prospère qui contrôle le plus grand groupe financier du pays : Al-Mada, présent dans plusieurs secteurs, dont notamment celui des activités minières.
La propagande officielle laisse par ailleurs entendre que les sociétés qui appartiennent au roi seraient des « entreprises locomotives » nécessaires pour booster la croissance économique du pays.
Or, dans la réalité, il n’en est rien. Il suffit de rappeler que le Maroc occupe toujours la 121e place (sur 189 pays) dans le classement du rapport mondial sur le développement humain (IDH) du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Le « Maroc inutile » regorge d’or
La première société minière au Maroc vit le jour en 1930 avec les autorités coloniales françaises. Mais avec la « marocanisation » (1973), le roi Hassan II s’accapara malicieusement le contrôle des richesses minières, puis décida en 1990 de lancer une politique de privatisation des entreprises publiques.
L’exploitation des richesses minières du royaume par le groupe Managem a toujours déchaîné les passions et suscité des controverses sur la surexploitation par le holding royal des ressources minières, pendant que les populations locales sont de plus en plus vulnérables à la pauvreté, surtout en l’absence d’infrastructures socioéconomiques (hôpitaux, écoles, routes…)-.
MEE (extraits).
- Le roi Mohammed VI s’est fait une réputation d’homme d’affaires prospère au train de vie fastueux. Le « roi des pauvres » vise maintenant les mines aurifères d’Afrique, tout en continuant à monopoliser l’exploitation de l’or du Maroc
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Dans la pure tradition alaouite, Hassan II, lui aussi, ne cacha jamais sa soif d’or et de richesses matérielles. Il laissa à son fils une fortune colossale que ce dernier s’est évertué à faire fructifier pour atteindre en 2019 la somme de 5,8 milliards de dollars, selon le magazine Forbes.
Il faut dire que Mohammed VI est un homme d’affaires prospère qui contrôle le plus grand groupe financier du pays : Al-Mada, présent dans plusieurs secteurs, dont notamment celui des activités minières.
La propagande officielle laisse par ailleurs entendre que les sociétés qui appartiennent au roi seraient des « entreprises locomotives » nécessaires pour booster la croissance économique du pays.
Or, dans la réalité, il n’en est rien. Il suffit de rappeler que le Maroc occupe toujours la 121e place (sur 189 pays) dans le classement du rapport mondial sur le développement humain (IDH) du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Le « Maroc inutile » regorge d’or
La première société minière au Maroc vit le jour en 1930 avec les autorités coloniales françaises. Mais avec la « marocanisation » (1973), le roi Hassan II s’accapara malicieusement le contrôle des richesses minières, puis décida en 1990 de lancer une politique de privatisation des entreprises publiques.
L’exploitation des richesses minières du royaume par le groupe Managem a toujours déchaîné les passions et suscité des controverses sur la surexploitation par le holding royal des ressources minières, pendant que les populations locales sont de plus en plus vulnérables à la pauvreté, surtout en l’absence d’infrastructures socioéconomiques (hôpitaux, écoles, routes…)-.
MEE (extraits).
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