Deux importations délégations militaires russes ont effectuées des visites secrètes et discrètes en Algérie au cours de ces 3 derniers mois, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations. Ces deux délégations militaires de haut niveau ont séjourné à Oran à l’ouest du pays où elles ont inspecté scrupuleusement la base navale de Mers El-Kébir dans la wilaya d’Oran.
Selon nos sources, les deux visites des deux délégations russes ont porté sur l’éventuelle installation d’une base permanente des forces navales russes au niveau des installations militaires et navales situées dans la rade de Mers Elle Kébir. Pour l’heure, ce projet demeure un sujet tabou frappé du sceau du secret Défense. Et très peu de sources militaires daignent parler sans gêne de ce dossier très sensible.
Et pour cause, les pourparlers entre l’Algérie et la Russie sur cette éventuelle présence militaire russe à Oran suscite des spéculations et nourrit les craintes de plusieurs pays méditerranéens et voisins de l’Algérie qui voient d’un très mauvais oeil l’implantation des forces militaires du pays de Vladimir Poutine sur le territoire algérien. Par ailleurs, la concrétisation de ce projet sera interprétée indubitablement par une forme de protection, pour ne pas dire protectorat, offerte par la Russie de Poutine au régime algérien. La Russie cherche à étendre son influence en Méditerranée pour contre-carrer les visées hégémoniques turques ou améliorer sa force de frappe face à l’hyper-puissance américaine. L’Algérie pourrait constituer un ancrage stratégique pour Poutine au coeur de la Méditerranée et l’Afrique du Nord.
Cependant, certaines sources sécuritaires algériennes relativisent la portée des visites secrètes de ces délégations russes et indiquent qu’il est davantage question de renforcement de la coopération militaire entre les deux pays. Mais ces sources ne nient pas que la Russie pourrait disposer prochainement d’un accès permanent à la base navale de de Mers El-Kébir. Il est question ainsi, confirment l’une de nos sources, que les sous-marins russes puissent « stationner » et repartir ensuite en opérations au niveau des installations militaires algériennes. En échange de cet accès maritime stratégique, l’Algérie pourrait bénéficier de nouveaux équipements pour la maintenance de ses propres 6 sous-marins en activité. Pour l’heure, rien d’officiel ne semble avoir été encore décidé entre les deux pays. Mais la Russie est clairement en train de profiter de la faiblesse actuelle du régime algérien pour faire une percée stratégique au coeur de l’Afrique du Nord. Le régime algérien a toujours exprimé, quant à lui, le besoin de se sentir « protégé » par une grande puissance mondiale au regard de la complexité de la situation politique actuelle du pays dont il peine encore à la redresser et la maîtriser.
ALGERIEPART
Selon nos sources, les deux visites des deux délégations russes ont porté sur l’éventuelle installation d’une base permanente des forces navales russes au niveau des installations militaires et navales situées dans la rade de Mers Elle Kébir. Pour l’heure, ce projet demeure un sujet tabou frappé du sceau du secret Défense. Et très peu de sources militaires daignent parler sans gêne de ce dossier très sensible.
Et pour cause, les pourparlers entre l’Algérie et la Russie sur cette éventuelle présence militaire russe à Oran suscite des spéculations et nourrit les craintes de plusieurs pays méditerranéens et voisins de l’Algérie qui voient d’un très mauvais oeil l’implantation des forces militaires du pays de Vladimir Poutine sur le territoire algérien. Par ailleurs, la concrétisation de ce projet sera interprétée indubitablement par une forme de protection, pour ne pas dire protectorat, offerte par la Russie de Poutine au régime algérien. La Russie cherche à étendre son influence en Méditerranée pour contre-carrer les visées hégémoniques turques ou améliorer sa force de frappe face à l’hyper-puissance américaine. L’Algérie pourrait constituer un ancrage stratégique pour Poutine au coeur de la Méditerranée et l’Afrique du Nord.
Cependant, certaines sources sécuritaires algériennes relativisent la portée des visites secrètes de ces délégations russes et indiquent qu’il est davantage question de renforcement de la coopération militaire entre les deux pays. Mais ces sources ne nient pas que la Russie pourrait disposer prochainement d’un accès permanent à la base navale de de Mers El-Kébir. Il est question ainsi, confirment l’une de nos sources, que les sous-marins russes puissent « stationner » et repartir ensuite en opérations au niveau des installations militaires algériennes. En échange de cet accès maritime stratégique, l’Algérie pourrait bénéficier de nouveaux équipements pour la maintenance de ses propres 6 sous-marins en activité. Pour l’heure, rien d’officiel ne semble avoir été encore décidé entre les deux pays. Mais la Russie est clairement en train de profiter de la faiblesse actuelle du régime algérien pour faire une percée stratégique au coeur de l’Afrique du Nord. Le régime algérien a toujours exprimé, quant à lui, le besoin de se sentir « protégé » par une grande puissance mondiale au regard de la complexité de la situation politique actuelle du pays dont il peine encore à la redresser et la maîtriser.
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