N'importe quoi! A cette époque le Maroc n'existait pas car il était mauritanien d'où la dénomination "moros" et non "marroquíes"
- Le Royaume du Maroc veut prendre part aux recettes florissantes que le tourisme laisse chaque année dans le monument le plus visité d’Espagne, l’Alhambra de Grenade. Ce n’est pas qu’un souhait, le gouvernement du Premier ministre alaouite, Abbas el Fassi, a fait un pas de plus dans sa revendication en entamant des négociations diplomatiques avec l’exécutif espagnol et le gouvernement andalou pour remettre à Rabat la moitié des bénéfices économiques générés par les millions de visiteurs qui se rendent chaque année dans la principale attraction touristique et culturelle du pays voisin. Selon l’édition d’ABC du 10/08/2011, qui cite le portail d’information africain GuinGuinBali, le ministre marocain de la culture à l’époque, Bensalem Himmich, a envoyé des lettres aux deux gouvernements afin d’obtenir une compensation économique pour le riche patrimoine laissé par l’ancienne Al Andalus.
Le Maroc s’accroche au drapeau de la mémoire historique et assure que la participation à l’activité touristique serait l’aboutissement de la relation des deux pays « jumelés par l’histoire ». Dans une grande partie de la population marocaine, l’idée que l’héritage musulman devrait conférer au Maroc une sorte de valeur ajoutée s’est imposée. Les radicaux islamiques vont plus loin et défendent même que ces monuments leur appartiennent. Le réseau terroriste Al-Qaïda a appelé à une reconquête islamique de l’ancien domaine.
L’un des arguments pittoresques sur lesquels Himmich s’appuie est que Boabdil lui-même, le roi qui a remis les clés de la dernière place forte musulmane de la péninsule ibérique aux Rois Catholiques en 1492, aurait été fier de partager le complexe palatial. Plus de 500 ans après le départ de Boabdil de Grenade, mettant fin à huit siècles de domination islamique sur une grande partie de ce qui est aujourd’hui l’Espagne et le Portugal, il souligne que « ses descendants étaient des Marocains ».
- Le Royaume du Maroc veut prendre part aux recettes florissantes que le tourisme laisse chaque année dans le monument le plus visité d’Espagne, l’Alhambra de Grenade. Ce n’est pas qu’un souhait, le gouvernement du Premier ministre alaouite, Abbas el Fassi, a fait un pas de plus dans sa revendication en entamant des négociations diplomatiques avec l’exécutif espagnol et le gouvernement andalou pour remettre à Rabat la moitié des bénéfices économiques générés par les millions de visiteurs qui se rendent chaque année dans la principale attraction touristique et culturelle du pays voisin. Selon l’édition d’ABC du 10/08/2011, qui cite le portail d’information africain GuinGuinBali, le ministre marocain de la culture à l’époque, Bensalem Himmich, a envoyé des lettres aux deux gouvernements afin d’obtenir une compensation économique pour le riche patrimoine laissé par l’ancienne Al Andalus.
Le Maroc s’accroche au drapeau de la mémoire historique et assure que la participation à l’activité touristique serait l’aboutissement de la relation des deux pays « jumelés par l’histoire ». Dans une grande partie de la population marocaine, l’idée que l’héritage musulman devrait conférer au Maroc une sorte de valeur ajoutée s’est imposée. Les radicaux islamiques vont plus loin et défendent même que ces monuments leur appartiennent. Le réseau terroriste Al-Qaïda a appelé à une reconquête islamique de l’ancien domaine.
L’un des arguments pittoresques sur lesquels Himmich s’appuie est que Boabdil lui-même, le roi qui a remis les clés de la dernière place forte musulmane de la péninsule ibérique aux Rois Catholiques en 1492, aurait été fier de partager le complexe palatial. Plus de 500 ans après le départ de Boabdil de Grenade, mettant fin à huit siècles de domination islamique sur une grande partie de ce qui est aujourd’hui l’Espagne et le Portugal, il souligne que « ses descendants étaient des Marocains ».
Commentaire