Il semblerait que l'Espagne fait des pressions sur le Portugal afin que celui-ci récuse une liaison entre le Portugal et le Maroc et de surcroît qu'il (Portugal) craint une invasion de Marocains comme en territoires espagnols d'Afrique du Nord.
- Le Maroc a déployé tous les efforts possibles pour le lancement de la liaison maritime Portimao-Tanger. Les autorités portugaises exigent la mobilisation totale des forces de sécurité sur l'ensemble des axes routiers qui seront empruntés par les MRE.
Tout était prêt pour démarrer, au plus tard début juillet, la nouvelle ligne maritime reliant le port de Portimao à celui de Tanger Med, dans le cadre de l’opération Marhaba 2021. Mais c'était sans compter sur la lenteur des différentes administrations portugaises concernées par ce dossier.
Mi-juin dernier, les négociations conduites, du côté marocain, par le secrétaire général du ministère de l’Equipement et des transports et la directrice de la marine marchande, avaient pourtant atteint un stade avancé, et tout portait à croire que la ligne serait prête à accueillir les premiers MRE vers fin juin-début juillet. C’est d’ailleurs ce qu’a laissé entendre le ministre de tutelle, Abdelkader Amara, dans une déclaration pour Le360.
Un armateur marocain, en l’occurrence Intershipping, a aussi été désigné pour assurer l’exploitation de cette ligne, à raison de deux voyages aller-retour quotidiemment, avec l’objectif de transporter un total de 4.000 personnes tous les jours. «Tout a été ficelé s’agissant de la définition des conditions d’entrée et de sortie du navire au port de Portimao et du choix du quai réservé au bateau d’Intershipping», nous confie une source proche du dossier.
Seulement voilà, les autorités portugaises semblent moins enthousiastes à l’idée d’ouverture de la ligne avec le Maroc, exigeant des conditions préalables ne dépendant pas de la volonté des autorités marocaines. Il ne suffit pas d’avoir un quai et un bateau pour lancer une opération de cette envergure, le Portugal a insisté sur le fait que le dispositif de sécurité (police, gendarmerie, etc) soit renforcé, non seulement au niveau du port, mais sur l’ensemble des axes routiers et autoroutiers qui seront empruntés par les MRE. «Portimao est un petit port qui accueille une seule unique desserte vers Gibraltar», a-t-on tenté d'expliquer, côté portugais-.
Le 360.ma
- Le Maroc a déployé tous les efforts possibles pour le lancement de la liaison maritime Portimao-Tanger. Les autorités portugaises exigent la mobilisation totale des forces de sécurité sur l'ensemble des axes routiers qui seront empruntés par les MRE.
Tout était prêt pour démarrer, au plus tard début juillet, la nouvelle ligne maritime reliant le port de Portimao à celui de Tanger Med, dans le cadre de l’opération Marhaba 2021. Mais c'était sans compter sur la lenteur des différentes administrations portugaises concernées par ce dossier.
Mi-juin dernier, les négociations conduites, du côté marocain, par le secrétaire général du ministère de l’Equipement et des transports et la directrice de la marine marchande, avaient pourtant atteint un stade avancé, et tout portait à croire que la ligne serait prête à accueillir les premiers MRE vers fin juin-début juillet. C’est d’ailleurs ce qu’a laissé entendre le ministre de tutelle, Abdelkader Amara, dans une déclaration pour Le360.
Un armateur marocain, en l’occurrence Intershipping, a aussi été désigné pour assurer l’exploitation de cette ligne, à raison de deux voyages aller-retour quotidiemment, avec l’objectif de transporter un total de 4.000 personnes tous les jours. «Tout a été ficelé s’agissant de la définition des conditions d’entrée et de sortie du navire au port de Portimao et du choix du quai réservé au bateau d’Intershipping», nous confie une source proche du dossier.
Seulement voilà, les autorités portugaises semblent moins enthousiastes à l’idée d’ouverture de la ligne avec le Maroc, exigeant des conditions préalables ne dépendant pas de la volonté des autorités marocaines. Il ne suffit pas d’avoir un quai et un bateau pour lancer une opération de cette envergure, le Portugal a insisté sur le fait que le dispositif de sécurité (police, gendarmerie, etc) soit renforcé, non seulement au niveau du port, mais sur l’ensemble des axes routiers et autoroutiers qui seront empruntés par les MRE. «Portimao est un petit port qui accueille une seule unique desserte vers Gibraltar», a-t-on tenté d'expliquer, côté portugais-.
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