Il faut savoir que l'Algérie a toujours refusé une quelconque aide par la dictature marocaine lors de tragédies. En effet, pour l'Algérie il est exclu qu'un pays plus pauvre qu'elle saigne sa population afin de lui prêtre secours (à l'instar du Maroc).
Ceci même au temps où les relations algéro-marocaines étaient moins tendues qu'actuellement et les frontières terrestres étaient rétablies (ère Chadli).
- Les responsables algériens se suivent et se ressemblent. Ils s’entêtent à rejeter toutes propositions d’aides en provenance de l’«ennemi historique», comme avait qualifié le général Chengriha le Maroc, lors de catastrophes naturelles.
Dans son allocution télévisée du jeudi 12 août, le président Abdelmadjid Tebboune a fait l’impasse sur la disposition des plus hautes autorités du Maroc à apporter une assistance à l’Algérie pour faire face aux feux qui ravagent des régions de son pays. Une position prévisible. L’actuel chef de l’Etat n’a fait que suivre les traces d’un ancien locataire du palais d’Al Mouradia, à savoir Chadli Benjedid. Retour sur un épisode marqué par le rejet du pouvoir algérien d’une aide humanitaire en provenance du royaume.
Le 10 octobre 1980, un violent séisme frappait la ville d’El Asnam (aujourd’hui Chelef), causant de lourdes pertes humaines (plus de 2 600 morts). Face à une telle tragédie, le roi Hassan II avait pris deux initiatives importantes même si le contexte politique entre les deux voisins ne s'y prêtait guère : il avait adressé un message de condoléance à Benjedid ; puis, le 20 octobre à l’occasion de la fête de l’Aid El Kébir, il enjoignait aux Marocains de venir en aide aux sinistrés d'El Asnam en leur faisant don de toutes les peaux des moutons sacrifiés à l'occasion, soit environ trois millions.
(...).
Dans son allocution télévisée du jeudi 12 août, le président Abdelmadjid Tebboune a fait l’impasse sur la disposition des plus hautes autorités du Maroc à apporter une assistance à l’Algérie pour faire face aux feux qui ravagent des régions de son pays. Une position prévisible. L’actuel chef de l’Etat n’a fait que suivre les traces d’un ancien locataire du palais d’Al Mouradia, à savoir Chadli Benjedid. Retour sur un épisode marqué par le rejet du pouvoir algérien d’une aide humanitaire en provenance du royaume.
Ya...bi
Ceci même au temps où les relations algéro-marocaines étaient moins tendues qu'actuellement et les frontières terrestres étaient rétablies (ère Chadli).
- Les responsables algériens se suivent et se ressemblent. Ils s’entêtent à rejeter toutes propositions d’aides en provenance de l’«ennemi historique», comme avait qualifié le général Chengriha le Maroc, lors de catastrophes naturelles.
Dans son allocution télévisée du jeudi 12 août, le président Abdelmadjid Tebboune a fait l’impasse sur la disposition des plus hautes autorités du Maroc à apporter une assistance à l’Algérie pour faire face aux feux qui ravagent des régions de son pays. Une position prévisible. L’actuel chef de l’Etat n’a fait que suivre les traces d’un ancien locataire du palais d’Al Mouradia, à savoir Chadli Benjedid. Retour sur un épisode marqué par le rejet du pouvoir algérien d’une aide humanitaire en provenance du royaume.
Le 10 octobre 1980, un violent séisme frappait la ville d’El Asnam (aujourd’hui Chelef), causant de lourdes pertes humaines (plus de 2 600 morts). Face à une telle tragédie, le roi Hassan II avait pris deux initiatives importantes même si le contexte politique entre les deux voisins ne s'y prêtait guère : il avait adressé un message de condoléance à Benjedid ; puis, le 20 octobre à l’occasion de la fête de l’Aid El Kébir, il enjoignait aux Marocains de venir en aide aux sinistrés d'El Asnam en leur faisant don de toutes les peaux des moutons sacrifiés à l'occasion, soit environ trois millions.
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Dans son allocution télévisée du jeudi 12 août, le président Abdelmadjid Tebboune a fait l’impasse sur la disposition des plus hautes autorités du Maroc à apporter une assistance à l’Algérie pour faire face aux feux qui ravagent des régions de son pays. Une position prévisible. L’actuel chef de l’Etat n’a fait que suivre les traces d’un ancien locataire du palais d’Al Mouradia, à savoir Chadli Benjedid. Retour sur un épisode marqué par le rejet du pouvoir algérien d’une aide humanitaire en provenance du royaume.
Ya...bi
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