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prêts à tout pour rejoindre Sebta, encore et encore

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  • prêts à tout pour rejoindre Sebta, encore et encore

    La vision des ces miséreux enfants-bâtards marocains risquer leurs vies afin de fuir l'enfer alaouite est en effet sans précédent dans l'histoire.

    Maroc: pourquoi partent-ils tous?


    - Du 16 au 19 mai, entre Fnideq et Sebta, plus de 8000 Marocains et Subsahariens, selon les chiffres espagnols, ont tenté de gagner la ville occupée. Ils ont réussi à maintes reprises à franchir la frontière, mais ont toujours été sommés de faire demi-tour, et sont pourtant toujours prêts à tout pour rejoindre l’Europe.

    Dès le matin du lundi 17 mai, des vagues humaines ont déferlé sur Fnideq. La route reliant la ville frontalière à l’entrée de Sebta s’est transformée en point de rassemblement de harragas.

    Des Marocains, arrivés pour la plupart à pied de toutes les provinces du nord et des grandes villes du reste du royaume, en plus de milliers de migrants subsahariens.

    Plus de 8000 migrants, majoritairement marocains, ont clandestinement traversé les frontières séparant le Maroc de son voisin espagnol. Au cœur de cette nouvelle crise migratoire, un bras de fer géopolitique et diplomatique latent, que chacun des deux royaumes compte bien gagner.

    Le choix de l’épreuve de force, mais à quel prix? En baissant — délibérément? — la garde sur ses côtes méditerranéennes, le Maroc a de nouveau ouvert “le robinet migratoire” sur le préside espagnol de Sebta, accentuant d’un nouveau cran la crise diplomatique entre les deux voisins du détroit. En moins de vingt-quatre heures entre lundi 17 et mardi 18 mai, ils étaient près de 8000, majoritairement marocains, à avoir rallié le territoire espagnol, porte d’accès à l’Europe. Un évènement sans précédent : jamais la localité n’avait vu d’arrivées aussi massives à ses frontières, pourtant lourdement gardées et surveillées. Plusieurs grappes humaines se sont ainsi massées près des plages espagnoles de Benzu, au nord de Sebta, et de Tarajal, au sud, tentant de rallier le préside à la nage ou le long du littoral-.

  • #2
    Dans un pays normal, le roi des pauvres amir El Mouminin descendant du prophète aurai secouru ces centaines d'enfants de cet enfer, mais non il est toujours resté dans ses Palais attendre une sourate descendre du ciel

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