
Il semble que cette «préoccupation» algérienne ne soit pas, du moins pour le moment, partagée par le Polisario. Son représentant à New York voit dans l’approbation de Rabat à la candidature de l’Italo-Suédois Staffan de Mistura une concession du Maroc «aux pressions d’Etats, puissants au Conseil de sécurité».
La question de la désignation d’un successeur de l’Allemand Horst Köhler a été déjà abordée par le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et son homologue américain, Antony Blinken. L’administration Biden a réitéré, à maintes fois, son appel à la reprise du processus de dialogue entre les parties sous l’égide de l’ONU.
Le Maroc, par la voix de son représentant permanent aux Nations unies, a exprimé son adhésion à ce projet américain à condition que l’Algérie soit présente dans le prochain round des pourparlers. «Sans la participation de l’Algérie, il n’y aura pas de processus politique», a averti l’ambassadeur Omar Hilale.
yabiladi
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