Un nouveau rapport international dévoile des vérités amères sur le système de santé algérien. Un système qui n’est tout bonnement pas capable de protéger la population algérienne contre les diverses menaces des épidémies. Ce rapport est l’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 qui vient d’être publié et ce document de référence internationale nous apprend que l’Algérie fait partie des pays les moins préparés à faire face aux épidémies, y compris celle du nouveau coronavirus émergent (Covid-19).
Cet indice a été élaboré par plusieurs institutions internationales dont le Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health ainsi que le magazine The Economist. Il faut savoir à ce propos que le Johns Hopkins Center for Health Security est une prestigieuse organisation indépendante à but non lucratif de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Elle Centre travaille à protéger la santé des personnes contre les épidémies et les pandémies et veille à ce que les communautés soient résilientes aux défis majeurs.
Pour classer les pays du monde, les auteurs du rapport se sont appuyés sur des informations de santé publique en plus d’autres indicateurs, notamment la confiance du public dans les gouvernements. L’objectif étant d’évaluer dans quelle mesure les États sont capables de faire face aux urgences sanitaires. D’autres indicateurs ont été également utilisés comme la détection précoce et signalement des épidémies de préoccupation internationale possible ou la réponse rapide et atténuation de la propagation d’une épidémie ainsi que les engagements pour améliorer les capacités nationales. Les experts à l’origine de cet indice mondial ont même étudié les paramètres qui permettent de déterminer si le système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Malheureusement, l’évaluation de l’ensemble de ces critères en Algérie a abouti à un classement catastrophique de notre système national de santé. Et pour cause, l’Algérie est classée à 163e place mondiale sur le même pied d’égalité que la Mauritanie, l’un des pays les plus pauvres de l’Afrique du Nord.
L’Algérie hérite d’un score global de 26,2 points sur 100 ce qui ne lui permet pas de concurrencer d’autres pays africains qui affichent un meilleur niveau de protection contre les menaces des épidémies. L’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 nous apprend, par ailleurs, que l’Algérie est surpassé par le Maroc qui est classé au 108e rang mondial sur 195 pays, avec un total de 33,6 points sur 100, ou la Tunisie classée à la 123e place.
Seule la Libye ravagée par la guerre fait pire que l’Algérie puisqu’elle est au 172e rang mondial.
Au niveau mondial, les États-Unis d’Amérique sont en tête de l’indice, suivis de l’Australie à la deuxième place, la Finlande et le Canada, tandis que la Syrie arrive à la 192e place, suivie de la Corée du Nord, du Yémen et de la Somalie à la 195e place.
L’indice a souligné que tous les pays du monde ne sont toujours pas sérieusement préparés à lutter contre les épidémies à l’avenir, expliquant que la plupart des pays, y compris les pays à revenu élevé, n’ont pas fait d’investissements financiers dédiés au renforcement de la préparation face aux épidémies ou aux pandémies.
L’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 révèle enfin que plus de 90% des pays n’ont pas de plan pour distribuer des vaccins ou des médicaments en cas d’urgence, tandis que 70% manquent de capacités suffisantes dans les hôpitaux, les centres de santé et les cliniques. Les risques politiques et sécuritaires ont augmenté partout dans le monde et la confiance du public dans les gouvernements a diminué, met-il en garde. Notons en dernier lieu que la sécurité sanitaire se définit ainsi comme l’ensemble des décisions, programmes et actions visant à protéger la population contre tous les dangers et les risques pour la santé considérés comme échappant au contrôle des individus et relevant donc de la responsabilité des pouvoirs publics.
Algérie Part publiera dans ses prochaines publications des informations détaillées sur les mauvaises performances de notre système de santé et ses faibles capacités à faire face aux épidémies menaçant la santé publique.
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L’Algérie termine cette année 2021 en se retrouvant parmi les 44 derniers pays au monde souffrant de l’absence d’un système de santé suffisamment robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé contre les risques et menaces des épidémies. Ce classement a été établi par l’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 qui vient d’être publié et ce document de référence internationale nous apprend que l’Algérie n’est pas encore capable de se doter d’un système de santé robuste et performant pour faire face aux épidémies, y compris celle du nouveau coronavirus émergent (Covid-19).
Cet indice international a été élaboré par plusieurs institutions internationales dont le Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health ainsi que le magazine The Economist. Il faut savoir à ce propos que le Johns Hopkins Center for Health Security est une prestigieuse organisation indépendante à but non lucratif de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Elle Centre travaille à protéger la santé des personnes contre les épidémies et les pandémies et veille à ce que les communautés soient résilientes aux défis majeurs.
Pour classer les pays du monde, les auteurs du rapport se sont appuyés sur des informations de santé publique en plus d’autres indicateurs, notamment la confiance du public dans les gouvernements. L’objectif étant d’évaluer dans quelle mesure les États sont capables de faire face aux urgences sanitaires. D’autres indicateurs ont été également utilisés comme la détection précoce et signalement des épidémies de préoccupation internationale possible ou la réponse rapide et atténuation de la propagation d’une épidémie ainsi que les engagements pour améliorer les capacités nationales. Les experts à l’origine de cet indice mondial ont même étudié les paramètres qui permettent de déterminer si le système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Malheureusement, l’évaluation de ce dernier critère révèle que l’Algérie est classée à la 151e place sur 195 pays étudiés et analysés à travers la planète. L’Algérie se retrouve ainsi aux côtés de plusieurs pays sous-développés qui ont échoué à se doter d’un système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Juste derrière l’Algérie, nous retrouvons effectivement des pays pauvres ou très sous-développés comme le Togo, le Burkina Faso, ou des pays ravagés par la guerre comme la Syrie ou le Soudan ainsi que des pays déstabilisés par de profondes crises internes comme Haiti. Néanmoins, au Maghreb, le système de santé algérien a été jugé beaucoup plus robuste et performant pour traiter les malades que le système de santé tunisien puisque la Tunisie est classée à la 161e place mondiale sur le même pied d’égalité que la Libye.
Dans cette catégorie relative à la robustesse du système de santé, l’Algérie récolte uns core de 15 points sur 100. Ce critère d’évaluation est l’un des plus importants talents d’Achille du système de santé algérien qui doit se moderniser et s’améliorer en toute urgence pour pouvoir protéger la population algérienne contre les dangers des épidémies.
Soulignons enfin que l’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 confirme que bien que de nombreux pays aient engagé des ressources pour faire face à la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19, peu ont engagé des investissements pour améliorer la préparation publique aux situations d’urgence. Notons en dernier lieu que la sécurité sanitaire se définit ainsi comme l’ensemble des décisions, programmes et actions visant à protéger la population contre tous les dangers et les risques pour la santé considérés comme échappant au contrôle des individus et relevant donc de la responsabilité des pouvoirs publics.
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Cet indice a été élaboré par plusieurs institutions internationales dont le Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health ainsi que le magazine The Economist. Il faut savoir à ce propos que le Johns Hopkins Center for Health Security est une prestigieuse organisation indépendante à but non lucratif de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Elle Centre travaille à protéger la santé des personnes contre les épidémies et les pandémies et veille à ce que les communautés soient résilientes aux défis majeurs.
Pour classer les pays du monde, les auteurs du rapport se sont appuyés sur des informations de santé publique en plus d’autres indicateurs, notamment la confiance du public dans les gouvernements. L’objectif étant d’évaluer dans quelle mesure les États sont capables de faire face aux urgences sanitaires. D’autres indicateurs ont été également utilisés comme la détection précoce et signalement des épidémies de préoccupation internationale possible ou la réponse rapide et atténuation de la propagation d’une épidémie ainsi que les engagements pour améliorer les capacités nationales. Les experts à l’origine de cet indice mondial ont même étudié les paramètres qui permettent de déterminer si le système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Malheureusement, l’évaluation de l’ensemble de ces critères en Algérie a abouti à un classement catastrophique de notre système national de santé. Et pour cause, l’Algérie est classée à 163e place mondiale sur le même pied d’égalité que la Mauritanie, l’un des pays les plus pauvres de l’Afrique du Nord.
L’Algérie hérite d’un score global de 26,2 points sur 100 ce qui ne lui permet pas de concurrencer d’autres pays africains qui affichent un meilleur niveau de protection contre les menaces des épidémies. L’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 nous apprend, par ailleurs, que l’Algérie est surpassé par le Maroc qui est classé au 108e rang mondial sur 195 pays, avec un total de 33,6 points sur 100, ou la Tunisie classée à la 123e place.
Seule la Libye ravagée par la guerre fait pire que l’Algérie puisqu’elle est au 172e rang mondial.
Au niveau mondial, les États-Unis d’Amérique sont en tête de l’indice, suivis de l’Australie à la deuxième place, la Finlande et le Canada, tandis que la Syrie arrive à la 192e place, suivie de la Corée du Nord, du Yémen et de la Somalie à la 195e place.
L’indice a souligné que tous les pays du monde ne sont toujours pas sérieusement préparés à lutter contre les épidémies à l’avenir, expliquant que la plupart des pays, y compris les pays à revenu élevé, n’ont pas fait d’investissements financiers dédiés au renforcement de la préparation face aux épidémies ou aux pandémies.
L’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 révèle enfin que plus de 90% des pays n’ont pas de plan pour distribuer des vaccins ou des médicaments en cas d’urgence, tandis que 70% manquent de capacités suffisantes dans les hôpitaux, les centres de santé et les cliniques. Les risques politiques et sécuritaires ont augmenté partout dans le monde et la confiance du public dans les gouvernements a diminué, met-il en garde. Notons en dernier lieu que la sécurité sanitaire se définit ainsi comme l’ensemble des décisions, programmes et actions visant à protéger la population contre tous les dangers et les risques pour la santé considérés comme échappant au contrôle des individus et relevant donc de la responsabilité des pouvoirs publics.
Algérie Part publiera dans ses prochaines publications des informations détaillées sur les mauvaises performances de notre système de santé et ses faibles capacités à faire face aux épidémies menaçant la santé publique.
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L’Algérie classée en 2021 parmi les 44 derniers pays au monde à cause de
l’incapacité de son système de santé à traiter les malades.
l’incapacité de son système de santé à traiter les malades.
L’Algérie termine cette année 2021 en se retrouvant parmi les 44 derniers pays au monde souffrant de l’absence d’un système de santé suffisamment robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé contre les risques et menaces des épidémies. Ce classement a été établi par l’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 qui vient d’être publié et ce document de référence internationale nous apprend que l’Algérie n’est pas encore capable de se doter d’un système de santé robuste et performant pour faire face aux épidémies, y compris celle du nouveau coronavirus émergent (Covid-19).
Cet indice international a été élaboré par plusieurs institutions internationales dont le Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Public Health ainsi que le magazine The Economist. Il faut savoir à ce propos que le Johns Hopkins Center for Health Security est une prestigieuse organisation indépendante à but non lucratif de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Elle Centre travaille à protéger la santé des personnes contre les épidémies et les pandémies et veille à ce que les communautés soient résilientes aux défis majeurs.
Pour classer les pays du monde, les auteurs du rapport se sont appuyés sur des informations de santé publique en plus d’autres indicateurs, notamment la confiance du public dans les gouvernements. L’objectif étant d’évaluer dans quelle mesure les États sont capables de faire face aux urgences sanitaires. D’autres indicateurs ont été également utilisés comme la détection précoce et signalement des épidémies de préoccupation internationale possible ou la réponse rapide et atténuation de la propagation d’une épidémie ainsi que les engagements pour améliorer les capacités nationales. Les experts à l’origine de cet indice mondial ont même étudié les paramètres qui permettent de déterminer si le système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Malheureusement, l’évaluation de ce dernier critère révèle que l’Algérie est classée à la 151e place sur 195 pays étudiés et analysés à travers la planète. L’Algérie se retrouve ainsi aux côtés de plusieurs pays sous-développés qui ont échoué à se doter d’un système de santé suffisant et robuste pour traiter les malades et protéger les agents de santé.
Juste derrière l’Algérie, nous retrouvons effectivement des pays pauvres ou très sous-développés comme le Togo, le Burkina Faso, ou des pays ravagés par la guerre comme la Syrie ou le Soudan ainsi que des pays déstabilisés par de profondes crises internes comme Haiti. Néanmoins, au Maghreb, le système de santé algérien a été jugé beaucoup plus robuste et performant pour traiter les malades que le système de santé tunisien puisque la Tunisie est classée à la 161e place mondiale sur le même pied d’égalité que la Libye.
Dans cette catégorie relative à la robustesse du système de santé, l’Algérie récolte uns core de 15 points sur 100. Ce critère d’évaluation est l’un des plus importants talents d’Achille du système de santé algérien qui doit se moderniser et s’améliorer en toute urgence pour pouvoir protéger la population algérienne contre les dangers des épidémies.
Soulignons enfin que l’indice de sécurité sanitaire mondiale pour l’année 2021 confirme que bien que de nombreux pays aient engagé des ressources pour faire face à la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19, peu ont engagé des investissements pour améliorer la préparation publique aux situations d’urgence. Notons en dernier lieu que la sécurité sanitaire se définit ainsi comme l’ensemble des décisions, programmes et actions visant à protéger la population contre tous les dangers et les risques pour la santé considérés comme échappant au contrôle des individus et relevant donc de la responsabilité des pouvoirs publics.
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