Le roi Mohamed VI n’a certainement pas vu venir ce coup. Il est tout aussi sévère que douloureux. Nous apprenons en effet qu’ « après des mois de négociations, le Congrès devrait envoyer cette semaine au président Joe Biden la loi sur l’autorisation de la défense nationale, une loi incontournable qui comprend un financement de 770 milliards de dollars pour le ministère de la Défense et les programmes connexes.
La nouveauté, c’est que cette loi prévoit « une restriction de la coopération militaire américaine avec le Royaume du Maroc ». Les mêmes sources précisent en effet que « Les lobbyistes du Maroc n’ont pas réussi à bloquer cette mesure restrictive, que d’aucuns pourraient confondre avec une sanction ».
Cette vision est d’autant plus plausible que cette coopération restreinte devrait également englober la question des droits de l’Homme dans les territoires occupés sahraouis, ce qui a le don d’irriter tout particulièrement le Maroc. Ce que l’on retient avant tout de cette mésaventure de Mohamed VI, c’est que la flagornerie marocaine ouvertement affichée à l’endroit de l’entité sioniste, n’a été d’aucun secours pour le Makhzen. Entendre par là que le puissant lobby sioniste n’a rien cédé en échange de la très coûteuse trahison marocaine. Il n’a en effet rien fait pour amener l’administration Biden à regarder avec plus de condescendance et de bienveillance du côté de Rabat.
C’est même le contraire qui s’est passé depuis le départ du trublion Trump de la Maison Blanche. La triple gifle récemment reçu par Nacer Bourita de la part de son homologue américain, Antony Blinken, n’est certainement pas là pour soutenir le contraire. Le journal espagnol El Confidencial », a révélé au début de e mois des faits gravissimes concernant la toute récente tournée d’Anthonny Blinken, Secrétaire d’Etat américain, au proche et au Moyen-Orient. Lors de cette tournée, Blinken avait rencontré son homologue Nacer Bourita.
Ce dernier, révèle le média ibérique, réputé « généralement bien informé », avait formulé une série de demandes. Il s’agit de confirmer par l’administration de Joe Biden du Tweet de Donald, son prédécesseur à la présidence US concernant la reconnaissance par Washington de la prétendu « marocanité du Sahara Occidental ».
La seconde demande avait trait au respect de la promesse faite par Trump d’ouvrir un consulat américain à Dakhla ou à Laâyoune, dans les territoires occupés sahraouis. S’agissant de cette demande, nous savons que c’est le parlement US, congrès et sénat, qui ont coupé les fonds de ce projet fou et illégal, à l’image de ses concepteurs.
Il s’agissait aussi, pour Bourita qui pensait avoir reçu le père Noël et non pas un simple diplomate américain de demander à Washington de faire pression sur les pays occidentaux, notamment ceux qui sont membres de l’UE (union européenne), et membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU, afin qu’ils reconnaissent eux aussi la surréaliste déclaration de Trump.
Bref, Blinken a répondu non à toutes les demandes de Bourité, l’humiliant ainsi de manières indélébiles. Bourita semblait en effet avoir présumé de ses chances parce que cette visite précédait de peu celle de Benny Gantz, le ministre de la « Défonce » de l’entité sioniste, à l’occasion de laquelle Rabat allait s’abandonner corps et âme au « bras protecteur » du bourreau du peuple palestinien.
Ce niet catégorique de Washington sera donc suivi par cette humiliante restriction imposée à Rabat sur le plan militaire. C’est ce qui arrive aux valets qui s’évertuent à singer leurs maitres
Patrie News
La nouveauté, c’est que cette loi prévoit « une restriction de la coopération militaire américaine avec le Royaume du Maroc ». Les mêmes sources précisent en effet que « Les lobbyistes du Maroc n’ont pas réussi à bloquer cette mesure restrictive, que d’aucuns pourraient confondre avec une sanction ».
Cette vision est d’autant plus plausible que cette coopération restreinte devrait également englober la question des droits de l’Homme dans les territoires occupés sahraouis, ce qui a le don d’irriter tout particulièrement le Maroc. Ce que l’on retient avant tout de cette mésaventure de Mohamed VI, c’est que la flagornerie marocaine ouvertement affichée à l’endroit de l’entité sioniste, n’a été d’aucun secours pour le Makhzen. Entendre par là que le puissant lobby sioniste n’a rien cédé en échange de la très coûteuse trahison marocaine. Il n’a en effet rien fait pour amener l’administration Biden à regarder avec plus de condescendance et de bienveillance du côté de Rabat.
C’est même le contraire qui s’est passé depuis le départ du trublion Trump de la Maison Blanche. La triple gifle récemment reçu par Nacer Bourita de la part de son homologue américain, Antony Blinken, n’est certainement pas là pour soutenir le contraire. Le journal espagnol El Confidencial », a révélé au début de e mois des faits gravissimes concernant la toute récente tournée d’Anthonny Blinken, Secrétaire d’Etat américain, au proche et au Moyen-Orient. Lors de cette tournée, Blinken avait rencontré son homologue Nacer Bourita.
Ce dernier, révèle le média ibérique, réputé « généralement bien informé », avait formulé une série de demandes. Il s’agit de confirmer par l’administration de Joe Biden du Tweet de Donald, son prédécesseur à la présidence US concernant la reconnaissance par Washington de la prétendu « marocanité du Sahara Occidental ».
La seconde demande avait trait au respect de la promesse faite par Trump d’ouvrir un consulat américain à Dakhla ou à Laâyoune, dans les territoires occupés sahraouis. S’agissant de cette demande, nous savons que c’est le parlement US, congrès et sénat, qui ont coupé les fonds de ce projet fou et illégal, à l’image de ses concepteurs.
Il s’agissait aussi, pour Bourita qui pensait avoir reçu le père Noël et non pas un simple diplomate américain de demander à Washington de faire pression sur les pays occidentaux, notamment ceux qui sont membres de l’UE (union européenne), et membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU, afin qu’ils reconnaissent eux aussi la surréaliste déclaration de Trump.
Bref, Blinken a répondu non à toutes les demandes de Bourité, l’humiliant ainsi de manières indélébiles. Bourita semblait en effet avoir présumé de ses chances parce que cette visite précédait de peu celle de Benny Gantz, le ministre de la « Défonce » de l’entité sioniste, à l’occasion de laquelle Rabat allait s’abandonner corps et âme au « bras protecteur » du bourreau du peuple palestinien.
Ce niet catégorique de Washington sera donc suivi par cette humiliante restriction imposée à Rabat sur le plan militaire. C’est ce qui arrive aux valets qui s’évertuent à singer leurs maitres
Patrie News
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