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  • l'ONG (ASIMCAT) basée en Espagne informe Michelle Bachelet des crimes du Polisario dans les camps de Tindouf

    Droits de l’Homme. Une ONG basée en Espagne informe Michelle Bachelet des crimes du Polisario
    Tindouf, un demi siècle sans eau, sans électricité, sans avenir

    A travers cette lettre, traduite ci-après, signée par son président Lemaadla Mohamed Salem Zrug, l’Association sahraouie contre l’impunité dans les camps de Tindouf (ASIMCAT) saisit la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, sur la situation désastreuse qui prévaut dans les camps de la honte à Tindouf. L’ONG relève les assassinats en série par l’armée algérienne de jeune sahraouis, la militarisation des enfants et leur endoctrinement terroriste, la persistance de l’esclavage, les viols impunis de femmes, etc.



    « Alors que le monde célèbre la Déclaration universelle des droits de l’homme, nous, membres de l’Association sahraouie contre l’impunité dans les camps de Tindouf (ASIMCAT), une organisation non gouvernementale basée en Espagne qui s’exprime au nom des victimes de violations flagrantes des droits de l’Homme perpétrées par le Front Polisario dans les camps de réfugiés de Tindouf et leurs proches, au sud-ouest de l’Algérie, souhaitons attirer l’attention de Votre Excellence et de toute la communauté internationale sur la détérioration dangereuse de la situation des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, où ces violations ont atteint leur summum après la décision du Polisario de se retirer des accords de cessez-le-feu le 13 novembre 2020.

    En effet, les camps de Tindouf ont toujours été le théâtre de violations systématiques des droits d’une population privée de toute protection et accès à la justice algérienne ou de tout mécanisme de recours indépendant et efficace contre ses tortionnaires qui bénéficient d’une impunité totale, en raison du refus du pays d’accueil d’assumer ses responsabilités juridiques et de son refus de remplir ses obligations internationales conformément au droit international.

    Le Comité des droits de l’Homme des Nations Unies, dans ses observations finales sur le quatrième rapport périodique sur l’Algérie, a exprimé ses profondes préoccupations au sujet de la « dévolution de facto de l’autorité au Front Polisario, en particulier l’autorité juridictionnelle »., qui est considéré comme incompatible avec l’obligation de l’État partie de respecter et de garantir tous les droits de toutes les personnes se trouvant sur son territoire (CCPR/C/DZA/CO/4, par. 9).

    À cet égard, nous aimerions souligner l’aggravation des violations dans les camps de Tindouf, y compris, entre autres, les disparitions forcées, les exécutions extrajudiciaires, la torture, les détentions arbitraires, les enfants soldats et le détournement des aides humanitaires, dont la population des camps est témoin sous la direction totalitaire en place lui imposant un siège intenable depuis le milieu des années 1970, et ce siège a été renforcé sous le prétexte de la lutte contre la pandémie de la Covid-19.

    L’ASIMCAT a entrepris des recherches sur les disparitions forcées depuis la création des camps de Tindouf, et a publié une liste préliminaire concernant 131 victimes sahraouies de disparitions forcées dans les centres de détention secrets gérés par le Polisario, avec des témoignages sur ces crimes perpétrés contre ces civils sahraouis, disparus et toujours portés disparus. Ces dirigeants ont reconnu leur complicité dans la torture et la disparition de nombreux Sahraouis. Leurs témoignages sont d’une importance primordiale dans la détermination de la responsabilité pénale des auteurs de ces crimes et du pays hôte, et confirment ce qui a été précédemment rapporté par Amnesty International, France Libertés et Human Rights Watch.

    Le droit à la vie continue d’être bafoué dans les camps de Tindouf, comme en témoigne l’exécution extrajudiciaire systématique par l’armée algérienne de tous les Sahraouis qui tentent de briser le siège imposé. À ce propos, deux jeunes Sahraouis ont été brûlés vifs par des militaires algériens près du camp de Dakhla en octobre 2020 et 03 autres ont été abattus par l’armée algérienne dans les environs des camps au cours de la dernière semaine de novembre 2021. Cela montre la hausse des attaques contre les jeunes réfugiés sahraouis au cours des deux dernières années, notant que malgré le nombre croissant de sahraouis tués par l’armée algérienne, leurs assassins ne font toujours l’objet d’aucune enquête puisque l’impunité persiste toujours. Aucune mesure n’a été prise pour assurer des enquêtes approfondies, impartiales et efficaces et la poursuite de tous ces crimes, malgré la communication adressée au gouvernement algérien par les mandataires de l’ONU, y compris le Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires (voir rapport de l’UNSG : S/2021/843, p. 78).

    La détention arbitraire est également une pratique de longue date visant à éradiquer toute forme d’opposition ou de dissidence dans les camps de Tindouf. La direction du Polisario mène une violente campagne de répression contre les blogueurs et les leaders d’opinion à Tindouf, dans une tentative délibérée de faire taire les voix dissidentes qui critiquent ses exactions ou la dépravation marquant leur gestion du camp (Voir l’avis du GTDA : A/HRC/WGAD/2020/7, concernant l’opposant Fadel Breika). Ces militants civils sont également soumis à diverses formes de représailles de la part du Polisario, y compris des campagnes de diffamation et l’interruption de l’approvisionnement en électricité et en eau, ainsi que d’autres aides humanitaires nécessaires, à cause de leur engagement en faveur du système des droits de l’Homme de l’ONU.

    Les camps de Tindouf sont une illustration flagrante de la négation des libertés d’expression, d’association et de mouvement pour toute une génération de Sahraouis. Bien que ces libertés ne soient pas limitées au seul droit à la vie et constituent le fondement même de l’exercice et de la pleine jouissance de tous les autres droits, le statut fondateur du Polisario exerce les pires restrictions à ces libertés, en interdisant la création des associations indépendantes ou les médias libres dans les camps, et impose le Polisario comme seule organisation tutélaire de toute la population des camps (voir les articles 31 et 32 de la constitution du Polisario). Ces enfants sont envoyés loin de leurs familles dans certains pays d’Amérique latine (Cuba, Venezuela, etc.) pour l’entraînement militaire et l’endoctrinement idéologique marxiste, au mépris des résolutions de l’ONU, y compris les résolutions N° 13.25 (2000) et N° 2493 (2019), appelant, respectivement, à la protection des femmes contre les abus sexuels et les agressions en situation de crise et à la promotion des droits civils, politiques et économiques de cette catégorie extrêmement fragile.

    La situation des enfants dans les camps de Tindouf s’est aggravée depuis la décision de la direction du Polisario de se retirer des accords de cessez-le-feu le 13 novembre 2020, conduisant à une campagne massive de leur enrôlement dans la milice armée du Polisario, et leur envoi dans les casernes militaires algérienne pour qu’ils suivent une formation militaire alors que leur place est sur les bancs de l’école. Cette campagne a également été marquée par l’organisation par les dirigeants du Polisario de réunions d’endoctrinement dans les camps, incitant à la violence et à la haine, et appelant à la perpétration d’actes terroristes à l’intérieur du Royaume du Maroc. Dès que cette sordide réalité a été révélée, les milices du Polisario ont arrêté ces deux journalistes, avant de les libérer sous la pression d’organisations internationales, notamment « Reporters sans frontières » (RSF), qui à cette occasion a dénoncé la persistance des pratiques d’esclavage par le Polisario.

    Ces pratiques abjectes d’esclavage par les dirigeants du Polisario ont également été exposées par « Human Rights Watch » dans ses rapports de 2008 et 2013, où cette ONG a documenté les témoignages de personnes de couleur, ayant confirmé la souffrance du peuple noir, y compris ceux qui sont honteusement soumis par des notables qui les forcent au travail ménager et à l’élevage.

    Face à ces actes odieux perpétrés par les dirigeants du Polisario, dont la quasi majorité a des esclaves pour effectuer le travail domestique et le pâturage de son bétail, les jeunes des camps de Tindouf ont rejoint une plate-forme civile informelle appelée «Association Liberté et Progrès pour la Lutte contre l’Esclavage » qui a pu identifier 7130 « esclaves non libérés » dans les camps, y compris des femmes, violées, mariées contre leur volonté et envoyées dans le désert pour s’occuper des troupeaux de leurs « maîtres ». Le non-respect des droits fondamentaux des Sahraouis dans les camps de Tindouf les expose à d’autres violations. Non seulement cela a de graves conséquences pour ces civils sahraouis, mais cela mine aussi nos efforts pour mettre fin à l’impunité dans ces camps. Faire de la situation des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf l’une de vos principales préoccupations enverrait un signal fort et donnerait un élan aux efforts des familles des victimes et des organisations des droits de l’Homme dans leur lutte contre l’impunité dans les camps.

    En espérant que notre lettre retiendra votre attention, veuillez accepter notre gratitude et notre appréciation sincères pour l’énorme travail que vous accomplissez chaque jour en tant que représentant de la conscience collective des droits de l’Homme dans le monde. »

  • #2
    Ah... cette bonne vieille presse partisane .. Anzoul peux tu me donner un lien qui me conduise à la lecture de l''enregistrement en Espagne de cette ONG ? Quand je tape "ASIMCAT" sur google je ne tombe que sur des articles de la presse marocaine.

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    • #3
      anzoul est un Universitaire "ellah ibarek" payé par le roi juif sahyouni mohamed 6 pour mentir

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      • #4
        Marcel.
        ci-dessous le PV (favorable);de la création de l'ong
        Notificación de la sentencia dictada en el juicio verbal número 1312/2018. [2019/8931]


        (DOGV núm. 8688 de 29.11.2019) Ref. Base Datos 2019/8931




        Marta Moreno Rodríguez, letrada de la Administración de justicia del Juzgado de Primera Instancia número 3 de Dénia, hago saber, que por este juzgado se ha dictado sentencia, cuyo encabezamiento y fallo se ha ordenado publicar adaptado a la Instrucción 6/12 de la Secretaría General de la Administración de Justicia relativa a la publicación de edictos en diarios y boletines oficiales y la protección de datos así como lo dispuesto en la Ley orgánica de protección de datos 15/1999, de 13 de diciembre, del tenor literal siguiente:



        «Procedimiento: Juicio verbal número 1312/2018

        Demandante: Medius Collection

        Demandado: Lemaadla Mohamed Salem Zrug

        Magistrado juez que lo dicta: Javier Alba Marín

        Dénia, 18 de septiembre de 2019

        Parte dispositiva/fallo: estimatoria total de la demanda



        El texto íntegro de la resolución se halla a disposición de la parte en la oficina judicial.

        Modo de impugnación: contra la presente resolución no cabe interponer recurso alguno (art. 455.1 LEC).»

        En atención al ignorado paradero de la parte demandada Lemaadla Mohamed Salem Zrug, se extiende la presente para que sirva de notificación en forma.



        Dénia, 20 de septiembre de 2019.– La letrada de la Administración de justicia: Marta Moreno Rodríguez.

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        • #5
          Marcel..



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          • #6
            Et c'est le fameux agent feu ABGHAL qui était responsable de la sécurité "secreto-confidentielle" de cette affaire

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            • #7
              AGHBAL, Allah yedokrou bel khir, est un grand seigneur plein de sagesse,qui a préféré ne plus participer aux débats du forum tant que des énergumènes impolis continuent d'insulter impunément les membres sérieux.

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              • #8
                Marcel.
                convaincu ou non?

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                • #9
                  non... tu m'affiches des trucs mais je ne peux pas aller les voir par moi même... ils ont un site internet ?

                  Commentaire


                  • #10
                    December 09, 2021
                    H.E. Michelle Bachelet
                    United Nations High Commissioner for Human Rights Palais Wilson
                    52 rue des Pâquis
                    CH-1201 Geneva, Switzerland
                    (via email: [email protected])
                    Dear High Commissioner,
                    As the world celebrates the universal declaration of human rights, we, members of the
                    Sahrawi Association Against Impunity in Tindouf Camps (ASIMCAT), a non-governmental
                    organization based in Spain that speaks for the victims of gross human rights violations
                    perpetrated by Frente Polisario in Tindouf refugee camps and their relatives, south-west Algeria,
                    would like to drew with deep concern the attention of your Excellency and the whole international
                    community over the dangerous deterioration of human rights situation in Tindouf camps, where
                    these violations reached a peak after the decision of the Polisario to withdraw from the ceasefire
                    agreements on November 13, 2020.
                    In fact, Tindouf camps have always been the scene of systematic violations of the rights of
                    a population deprived of any protection and access to Algerian justice or any independent and
                    efficient recourse mechanisms against their torturers who benefit from total impunity, due to the
                    refusal of the host country to assume its legal responsibilities, and unwillingness to fulfill its
                    international obligations in accordance with international law.
                    The UN Human Rights Committee, in its concluding observations on the fourth periodic
                    report of Algeria, has expressed its deep concerns over Algeria’s “de facto devolution of authority
                    to the Frente Polisario, especially jurisdictional authority”, which is considered as inconsistent
                    with the State party’s obligation to respect and guarantee all rights for all persons within its
                    territory (CCPR/C/DZA/CO/4, para. 9).
                    In this regard, we would like to highlight the trend of violations in Tindouf camps,
                    including, among others, enforced disappearance, extrajudicial killings, torture, arbitrary
                    detentions, child soldiering and the diversion of humanitarian aids, which the camps population is
                    witnessing under a totalitarian leadership in place imposing on them a tight siege since the mid-
                    seventies; a siege that worsened under the pretext of the fight against the pandemic of "covid-19".
                    ASIMCAT has undertaken research on enforced disappearance since the inception of
                    Tindouf camps, and came out with a preliminary list of 131 Sahrawi victims of enforced
                    disappearances in the secret detention centers run by the Polisario, which witnessed crimes
                    against these Sahrawi civilians, who have gone missing, and are still unaccounted for.
                    These crimes have been acknowledged by many Polisario leaders, who made public
                    testimonies on social media, pleading guilty of the grave violations that were perpetrated in the
                    secret detention centers in the Sahrawi refugee camps. These leaders confessed that they were
                    among the persons who stood behind the torture and the disappearance of many Sahrawis. Their
                    testimonies are of paramount importance in building for accountability, since they openly


                    establish the full criminal responsibility of the perpetrators of these crimes and of the host
                    country, and confirm what previously has been reported by Amnesty International, France
                    Libertés and Human Rights Watch.
                    The right to life continues to be beleaguered in the Tindouf camps, as evidenced by the
                    systematic extrajudicial execution by the Algerian army of every Saharawi who tries to break the
                    imposed siege. In this regard, two young Sahrawis were burned alive by Algerian militaries near
                    Dakhla camp in October 2020 and 03 others were shot dead by the Algerian army in the outskirts
                    of the camps during the last week of November 2021. This shows the uptick in the past two years
                    in attacks on Sahrawi young refugees, noting that despite the increasing number of sahrawis killed
                    by Algerian army, they still go uninvestigated while impunity runs rife. No measures have been
                    taken to ensure thorough, impartial and effective investigations and the prosecution of all these
                    crimes, despite the communication addressed to the Algerian government by UN mandate
                    holders, including the Special Rapporteur on Extrajudicial Executions (see UNSG report:
                    S/2021/843, p. 78).
                    Arbitrary detention is also a longstanding practice aiming to eradicate any form of
                    opposition or dissent in Tindouf camps. The Polisario leadership carries out a fierce campaign of
                    repression against bloggers and opinion leaders in Tindouf, in an intentional attempt to silence the
                    dissident voices who criticize its political attitude or the depravity marking their camp
                    management (See the WGAD opinion: A/HRC/WGAD/2020/7, regarding the opponent Fadel
                    Breika). These civil activists are also subjected to various forms of reprisal from Polisario,
                    including smear campaigns and the cut-off of supply of both electricity and water, together with
                    other necessary humanitarian aids, for their engagement with the UN human rights system.
                    The Tindouf camps are a blatant illustration of the denial of freedoms of expression,
                    association and movement for an entire generation of Sahrawi. Although these freedoms are
                    matched only by the right to life and are the very foundation for the exercise and full enjoyment
                    of all other rights, the founding status of the Polisario exerts the worst restrictions on these
                    freedoms, by banning the creation of non-governmental organizations or free medias in the
                    camps, and imposes the Polisario political structure as the only umbrella organization for all the
                    camps population (see articles 31 and 32 of the Polisario constitution).
                    Sahrawi women, one of the most vulnerable categories in the camps, face the worst human
                    rights violations from the Polisario leadership. They are victims of sexual violence, early and
                    forced marriages, sexual exploitation, rape and forced pregnancy, in addition to the psychological
                    woes relating to the enrollment of their children at an early age in the armed militias of the
                    "Polisario", and sending them far from their families to certain Latin American countries (Cuba,
                    Venezuela, etc.) for military training and Marxist ideological indoctrination, in defiance of UN
                    resolutions, including resolution N° 13.25 (2000) and N° 2493 (2019), calling, respectively, for
                    the protection of women against sexual abuse and assault in crisis situations and for the promotion
                    of the civil, political and economic rights of this extremely fragile category.
                    The situation of children in the Tindouf camps has worsened since the decision of the
                    Polisario leadership to withdraw from the ceasefire agreements on November 13th, 2020, leading
                    to a massive campaign to enroll children in the armed militia of the Polisario, sending them to
                    Algerian military barracks to undergo military training while their place is on school benches.
                    This campaign was also marked by the organization by the leaders of the Polisario of oratory
                    meetings in the camps, inciting violence and hatred, and calling for the perpetration of terrorist
                    acts inside the kingdom of Morocco

                    Commentaire


                    • #11
                      Slavery is another inhumane practice in Tindouf camps, first brought to the attention of
                      the international community by two Australian journalists, who visited the camps, and were
                      shocked by the fact that 7,000 black Sahrawis pejoratively called "haratines" had been deprived
                      from their right to access to humanitarian aids, only because of their skin colour. As soon as this
                      sordid reality was revealed, the Polisario militias arrested these two journalists, before releasing
                      them under pressure from international organizations, in particular "Reporters Sans Frontieres-
                      RSF", which on this occasion denounced the persistence of slavery practices by the polisario.
                      These abject practices of slavery by the leaders of the Polisario were also exposed by
                      "Human Rights Watch" in its reports of 2008 and 2013, where this NGO documented the
                      testimonies of people of colour, having confirmed the suffering of black people, including those
                      who are disgracefully subjugated by notables who force them to housework and breeding.
                      In the face of these heinous actions by the leaders of the Polisario, of whom the quasi-
                      majority have slaves to carry out domestic work and grazing of their cattle, young melanoderms
                      in Tindouf camps joined an informal civil platform called " Freedom and Progress Association for
                      the Fight Against Slavery", which was able to identify the existence in the camps of 7130 "non-
                      freed slaves", including women, who are raped, married against their will and sent to the desert to
                      take care of their masters' herds. This NGO specified in this regard, that 09 women of colour died
                      during their childbirth without medical assistance in the middle of the desert, and 03 other
                      "slaves" died of thirst.
                      Failure to uphold the fundamental rights of Sahrawis in Tindouf camps exposes them to
                      more violations. This not only has dire consequences for these Sahrawi civilians, but also
                      undermines our efforts to end impunity in these camps. Making the human rights situation in
                      Tindouf camps one of your primary concerns would send a strong signal and give a push to the
                      endeavors of the families of the victims and human rights organizations in their struggle against
                      impunity in the camps.
                      Hoping that our letter will hold your attention, please accept our sincerest gratitude and
                      appreciation for the enormous work you do each day as the world’s collective human rights
                      conscience.
                      Yours Sincerely
                      Lemaadla Mohamed Salem Zrug
                      President of ASIMCAT
                      N.B: Copy sent to Mr. Antonio Gutterres, UN Secretary General, through Mr. Alexander Ivanko Special
                      Representative of the UNSG and head of MINURSO.

                      Commentaire


                      • #12
                        AGHBAL, Allah yedokrou bel khir, est un grand seigneur plein de sagesse,qui a préféré ne plus participer aux débats du forum tant que des énergumènes impolis continuent d'insulter impunément les membres sérieux.
                        ABGHAL l'intestin ou l'estomac de FA, cet expulsé d'Algérie, alia MJB, SNP1975, toute sa présence sur FA la consacrait aux prix de zrodiya, la dinde fraiche , le prix du mouton., et je ne saiqs quelle autre makla...J'ai appris qu'il était gravement blessé lors de la distribution de nourriture à ESSAOURA, il est partie tout comme son ami BOUDELA3AA qui ne parlait que dela3 et BATATA,

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                        • #13
                          Sidek o rajel alik.
                          si t'étais un homme tu ne parlerais de lui en son absence avec ta langue fourchue.

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                          • #14
                            Hahahah ABGHAL Boudela3A, tu évoques la chute de neige, il te sort les prix de la carotte, tu parle du fooot, il te demande combien fait un kilo poivron, tu lui parles du climat, sa réponse est combien coute un poulet?
                            Essaouira ya Essaouira w ma derti fiya.

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                            • #15
                              C'est fou quand même comment on peut parler d'une dizaine de villes marocaines mondialement connues et de zéro ville algérienne.

                              Juste une remarque on the side...

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