Le Maroc a annoncé la réouverture de son espace aérien le 7 février, après deux mois de fermeture pour raison de crise sanitaire. La nouvelle est accueillie avec peu d’optimisme par les hommes d’affaires et les professionnels du tourisme.
Les autorités marocaines ont annoncé la réouverture des frontières sans préciser si les frontières maritimes et terrestres du pays sont concernées. Pour le moment, les frontières maritimes seront rouvertes avec la France et l’Italie, et plus tard avec l’Espagne, ont indiqué des sources du secteur du transport maritime à EFE.
« C’est une bonne nouvelle, mais je la prends avec réserve. Personne ne sait dans quelles conditions les vols reprennent », explique Mustafa Abbasi, un Marocain bloqué avec sa femme à Alicante où résident leurs enfants qui y poursuivent leurs études. Le couple n’a pas pu profiter des vols spéciaux organisés par les autorités marocaines en raison de leur coût élevé.
« Je suis à Alicante. Les frais de voyage pour l’aéroport portugais dépassait les 300 euros, auxquels il fallait ajouter 150 euros pour le PCR et près de 1 000 euros pour le billet pour le Maroc, sans tenir compte des autres dépenses », déplore Mustafa, qui espère que cette réouverture des frontières ne sera pas accompagnée de restrictions sanitaires drastiques.
Les hommes d’affaires espagnols exerçant leurs activités au Maroc, nourrissent le même espoir. « L’ouverture est une bonne nouvelle, mais je ne suis pas rassuré, vu qu’on ne sait pas quelles mesures sanitaires vont accompagner l’ouverture ? Va-t-on devoir se mettre en quarantaine dans un hôtel ?", se demande l’un d’eux, actif depuis une quinzaine d’années dans le secteur agricole à Agadir.
La réouverture des frontières va permettre une reprise rapide de l’activité touristique, durement touchée par la crise sanitaire. « Les aides directes ne sont pas une solution suffisante, l’ouverture des frontières est la seule chose qui va redonner vie au secteur », soutient Abdesadeq Qadimi, le président de l’Association des guides touristiques qui attend des touristes européens et israéliens d’ici le 16 février.
Bladi
Les autorités marocaines ont annoncé la réouverture des frontières sans préciser si les frontières maritimes et terrestres du pays sont concernées. Pour le moment, les frontières maritimes seront rouvertes avec la France et l’Italie, et plus tard avec l’Espagne, ont indiqué des sources du secteur du transport maritime à EFE.
« C’est une bonne nouvelle, mais je la prends avec réserve. Personne ne sait dans quelles conditions les vols reprennent », explique Mustafa Abbasi, un Marocain bloqué avec sa femme à Alicante où résident leurs enfants qui y poursuivent leurs études. Le couple n’a pas pu profiter des vols spéciaux organisés par les autorités marocaines en raison de leur coût élevé.
« Je suis à Alicante. Les frais de voyage pour l’aéroport portugais dépassait les 300 euros, auxquels il fallait ajouter 150 euros pour le PCR et près de 1 000 euros pour le billet pour le Maroc, sans tenir compte des autres dépenses », déplore Mustafa, qui espère que cette réouverture des frontières ne sera pas accompagnée de restrictions sanitaires drastiques.
Les hommes d’affaires espagnols exerçant leurs activités au Maroc, nourrissent le même espoir. « L’ouverture est une bonne nouvelle, mais je ne suis pas rassuré, vu qu’on ne sait pas quelles mesures sanitaires vont accompagner l’ouverture ? Va-t-on devoir se mettre en quarantaine dans un hôtel ?", se demande l’un d’eux, actif depuis une quinzaine d’années dans le secteur agricole à Agadir.
La réouverture des frontières va permettre une reprise rapide de l’activité touristique, durement touchée par la crise sanitaire. « Les aides directes ne sont pas une solution suffisante, l’ouverture des frontières est la seule chose qui va redonner vie au secteur », soutient Abdesadeq Qadimi, le président de l’Association des guides touristiques qui attend des touristes européens et israéliens d’ici le 16 février.
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