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La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

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  • La succession de Mohammed VI au centre de l’attention médiatique

    Il est reconnu que l'addiction à la coke laisse peu d'espoir à ses consommateurs. Donc, le narcotrafiquant et addictif à la coke M6 en serait-il la preuve immuable?

    - La multiplication des manifestations de contestation contre le régime du makhzen, tant au Maroc qu’à l’étranger suscitent des rumeurs de plus en plus insistantes sur un éventuel changement à la tête du pouvoir marocain.

    Il ya a d’abord la gravité réelle ou supposée de la maladie du roi, que l’on aperçoit de plus en plus affaibli à chacune de ses rares apparitions en public, et la situation sociopolitique qui prévaut au Maroc, la cherté de la vie, les relations tendues avec les voisins (Espagne et Algérie) mais surtout le rejet de la normalisation et le renforcement effréné des relations géostratégiques avec le gouvernement sioniste qui risque de déstabiliser la région. La succession s’est désormais invitée à la table des Marocains qui ont commencé à s’interroger, discrètement, par crainte d’être épinglés par les services de renseignement, sur l’avenir du règne de Mohammed VI. Et ce n’est certainement pas le directeur de l’hebdomadaire arabophone al-Michaal qui dira le contraire.

    En 2009, il avait déjà été emprisonné pour avoir publié un dossier sur la maladie du souverain. Depuis, il est devenu patron d’une chaîne de télévision digitale, une véritable machine à buzz au service du pouvoir. C’est dire toute la sensibilité qui entoure la santé du roi, une question publiquement taboue qui continue de déchaîner les passions et nourrir les scénarios les plus extravagants.

    Par le passé, la succession au sultan alaouite relevait d’une tradition mythique presque archaïque (elle se limitait à une réunion dans la grande mosquée de Fès en présence des oulémas qui approuvaient l’acte d’allégeance). Aujourd’hui, elle est devenue une entreprise sophistiquée visant à pérenniser le pouvoir absolu de l’ombre de Dieu sur terre. Pour cela, les fervents défenseurs de cette monarchie tentaculaire tentent de forger une image humaniste du futur roi, Moulay Hassan, car c’est de lui qu’il s’agit, mais semblent préoccupés par le risque d’un virage à 180 degrés, tant son attachement à sa mère, la princesse Lalla Salma dont personne au Maroc ne doute de sa proximité avec le peuple et aussi son allergie présumée au baisemain. Plus que jamais au centre de l’attention médiatique, le prince héritier du Maroc, est l’une des préoccupations majeures des chancelleries européennes et à leur tète la France qui souhaiteraient jouer les tuteurs.

    L’état de santé du roi du Maroc, Mohammed VI, qui suscite de nouveau des interrogations dans le royaume chérifien, pose plus que jamais le problème de sa succession par son fils Moulay Hassan. Le souci majeur du régime, c’est qu’en cas de disparition du roi avant que son successeur atteigne la majorité, ce dernier puisse avoir la détermination d’un homme de pouvoir disposé à affronter ses adversaires pour défendre la monarchie. En attendant qu’il devienne chef suprême des Forces armées royales (FAR), comme le prévoit l’article 53 de la Constitution, le prince héritier a été initié au maniement des armes légères et aux dispositifs sécuritaires à suivre lors de ses déplacements ; seul ou en compagnie de son père.

    Maghreb online (extraits)
    Dernière modification par rago, 14 mars 2022, 18h02.

  • #2
    Saviez-vous que les potentats marocains, l'alcoolo et bani heureux à Madagascar ainsi que l'assassin Hassan II sont morts relativement jeunes, c'est-à-dire 52 ans pour le "lunaire" M5 (1909- 1961) et 70 ans ( 1929- 1999) pour l'assassin H2?

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