Apparemment, il s'agirait d'un mensonge ukrainien afin de démotiver les Tchétchènes à prendre part à la guerre du côté russe.
- Plus de 80 adultes et enfants, dont des citoyens turcs, se cachent dans la mosquée du sultan Soliman le Magnifique à Marioupol. Selon le président de l'association qui gère le lieu de culte, cette dernière n'a pas été endommagée.
« La mosquée du sultan Soliman le Magnifique et de son épouse Roxolana à Marioupol a été bombardée par les envahisseurs russes », a déclaré le ministère des Affaires étrangères ukrainien dans un tweet.
« Plus de 80 adultes et enfants s’abritent là, dont des citoyens turcs », a-t-il ajouté, sans préciser quand le bombardement aurait eu lieu.
Cette ville stratégique, ciblée depuis des jours, subit un siège dévastateur.
Vendredi, Piotr Andriouchtchenko, adjoint au maire de Marioupol, a écrit sur Facebook que des bombardements étaient en cours en direction de la mosquée.
Silence turc, confusion sur site
« Est-ce que M. Erdoğan sait qu’en quelques minutes [le bombardement] peut détruire la vie de 86 de ses concitoyens ? », a-t-il écrit, se référant au président turc.
« Le chef de la nation [turque] observera-t-il calmement l’anéantissement inhumain des citoyens turcs, en se limitant à la garantie de négociations insensées entre la Fédération de Russie et l’Ukraine ? », poursuivait l’adjoint du maire.
Ce samedi, le gouvernement turc refusait toujours de réagir officiellement à ces frappes, ce qui suscite l’anxiété des proches qui s’y abritaient.
Le ministère turc des Affaires étrangères, contacté par l’AFP, a affirmé « ne pas avoir d’information ».
MEE (extraits)
- Plus de 80 adultes et enfants, dont des citoyens turcs, se cachent dans la mosquée du sultan Soliman le Magnifique à Marioupol. Selon le président de l'association qui gère le lieu de culte, cette dernière n'a pas été endommagée.
« La mosquée du sultan Soliman le Magnifique et de son épouse Roxolana à Marioupol a été bombardée par les envahisseurs russes », a déclaré le ministère des Affaires étrangères ukrainien dans un tweet.
« Plus de 80 adultes et enfants s’abritent là, dont des citoyens turcs », a-t-il ajouté, sans préciser quand le bombardement aurait eu lieu.
Cette ville stratégique, ciblée depuis des jours, subit un siège dévastateur.
Vendredi, Piotr Andriouchtchenko, adjoint au maire de Marioupol, a écrit sur Facebook que des bombardements étaient en cours en direction de la mosquée.
Silence turc, confusion sur site
« Est-ce que M. Erdoğan sait qu’en quelques minutes [le bombardement] peut détruire la vie de 86 de ses concitoyens ? », a-t-il écrit, se référant au président turc.
« Le chef de la nation [turque] observera-t-il calmement l’anéantissement inhumain des citoyens turcs, en se limitant à la garantie de négociations insensées entre la Fédération de Russie et l’Ukraine ? », poursuivait l’adjoint du maire.
Ce samedi, le gouvernement turc refusait toujours de réagir officiellement à ces frappes, ce qui suscite l’anxiété des proches qui s’y abritaient.
Le ministère turc des Affaires étrangères, contacté par l’AFP, a affirmé « ne pas avoir d’information ».
MEE (extraits)
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