Il va perdre plus de la moitié de sa récolte céréalière : Le Maroc au bord de d’une disette exceptionnelle
Sale temps pour le roi Mohamed et ses nombreux affidés du Makhzen. Le ministre marocain de l’Agriculture, Mohamed Sadiki a en effet déclaré ce lundi que le Maroc s’attend à perdre 53% de sa récolte céréalière après avoir connu la pire sécheresse depuis des décennies. Sadiki a déclaré aux députés que les agriculteurs marocains avaient planté 3,5 millions d’hectares de céréales cette année, dont 44 % de blé tendre, 24 % de blé dur et 32 % d’orge. Sur sa lancée, il a ajouté que seulement 21% des cultures sont en bon état, en raison des répercussions de la sécheresse. Cette très mauvaise nouvelle intervient à un très mauvais moment. Au regard de la guerre russo-ukrainienne, les des céréales ont grimpé de manière vertigineuse sur le marché mondial. Rabat, pour remplacer ses pertes, et éviter une disette qui frappe dangereusement aux portes, devra payer son blé à un prix prohibitif. Mohamed VI, pour éviter une désastreuse révolte du pain, qui pourrait l’emporter définitivement avec son trône, n’a guère d’autre choix que de mette la main à la poche en puisant dans l’immense fortune qu’il a amassée depuis des décennies en pillant les deux peuples marocains et sahraouis. L’heure de payer et de rendre des comptes semble bel et bien avoir sonné. Il était temps…
Patrie News
Sale temps pour le roi Mohamed et ses nombreux affidés du Makhzen. Le ministre marocain de l’Agriculture, Mohamed Sadiki a en effet déclaré ce lundi que le Maroc s’attend à perdre 53% de sa récolte céréalière après avoir connu la pire sécheresse depuis des décennies. Sadiki a déclaré aux députés que les agriculteurs marocains avaient planté 3,5 millions d’hectares de céréales cette année, dont 44 % de blé tendre, 24 % de blé dur et 32 % d’orge. Sur sa lancée, il a ajouté que seulement 21% des cultures sont en bon état, en raison des répercussions de la sécheresse. Cette très mauvaise nouvelle intervient à un très mauvais moment. Au regard de la guerre russo-ukrainienne, les des céréales ont grimpé de manière vertigineuse sur le marché mondial. Rabat, pour remplacer ses pertes, et éviter une disette qui frappe dangereusement aux portes, devra payer son blé à un prix prohibitif. Mohamed VI, pour éviter une désastreuse révolte du pain, qui pourrait l’emporter définitivement avec son trône, n’a guère d’autre choix que de mette la main à la poche en puisant dans l’immense fortune qu’il a amassée depuis des décennies en pillant les deux peuples marocains et sahraouis. L’heure de payer et de rendre des comptes semble bel et bien avoir sonné. Il était temps…
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