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un hirak à zurich pour monter la pression sur la fifa

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  • #16
    Ça devient ridicule cette histoire de contester la décision de FIFA. Ce n'est qu'un jeu. De grandes équipes ont perdu. L'Italie a été disqualifié. C'est une honte vraiment.

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    • #17
      " Pauvre Suisse ! L'espace Schengen ne lui réussit pas."

      C'est-à-dire? Et qu'est-ce la Suisse dans l'espace européen?

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      • #18
        rago

        C'est-à-dire? Et qu'est-ce la Suisse dans l'espace européen?
        La Suisse n'est pas membre de l'UE, mais fait partie de l'espace Schengen.

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        • #19
          " La Suisse n'est pas membre de l'UE, mais fait partie de l'espace Schengen."

          Et puis?

          La Suisse connaît des problèmes autrement plus graves avec l'Union européenne (UE) de suite à la non-reconduite des Accords bilatéraux.

          - La Suisse tourne le dos à l’accord-cadre avec l’UE

          Le Conseil fédéral de la Confédération helvétique a décidé de ne pas donner suite à l’accord négocié en 2018 avec l’Union européenne pour stabiliser leurs relations.

          C'est fini ! Sept années de négociations partent en fumée.L'accord-cadre qui devait stabiliser et dynamiser les relations entre la Suisse et l'UE n'entrera pas en vigueur. Mercredi, le Conseil fédéral de la Confédération helvétique a décidé de ne pas donner suite. « Les conditions nécessaires à la conclusion de l'accord ne sont donc pas réunies », fait-il savoir. Les principaux politiques suisses n'ont pas osé proposer au peuple suisse de ratifier cet accord, de crainte que la campagne ne fasse le lit des populistes eurosceptiques.

          L'accord-cadre de 34 pages devait englober les quelque 120 accords bilatéraux en vigueur en mettant en œuvre l'alignement dynamique des normes et le recours à la Cour de justice de l'UE (puisqu'il s'agit d'une reprise du droit européen). Les accords actuels sont statiques et dépérissent avec le temps-.

          Le Point.fr


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          • #20
            Les Suisses ont bien raison !
            Ils devraient même se retirer de l'espace Schengen, car depuis la libre circulation transfrontalière la délinquance a explosé dans ce pays qui était un havre de paix.

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            • #21
              Ah la la, comment ne pas donner raison à Nekkaz?

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              • #22
                " Ils devraient même se retirer de l'espace Schengen, car depuis la libre circulation transfrontalière la délinquance a explosé dans ce pays qui était un havre de paix. "

                C'est pour cause que trop de frontaliers français "travaillent" en Suisse paraît-il selon les racistes genevois.

                - A Genève, ces frontaliers dont personne ne veut

                Qu'ils soient suisses ou français, les frontaliers se sentent de plus en plus souvent discriminés quand ils cherchent un emploi sur Genève. En cause: l'application de la directive pour la préférence cantonale et ses effet secondaires.
                (...).
                Les témoignages de frontaliers qui ne trouvent plus de travail à Genève parce que, justement, ils sont frontaliers sont nombreux. Et le plus souvent anonymes. Il y a cette femme à qui l’on aurait offert un poste fixe de thérapeute à l’hôpital si elle avait habité du bon côté de la frontière. Ou ce conducteur de bus dont le maire de Saint-Julien relate l’histoire sur son blog hébergé par La Tribune de Genève: «Il candidate aux TPG. Qualifié et expérimenté, il n’est jamais reçu pour des entretiens. Il apprend de la part d’amis qui travaillent aux TPG que seuls les chômeurs genevois sont recrutés.»
                (...).
                Une question sensible

                La question des frontaliers a toujours été sensible à Genève, où plus de 100 000 personnes venant de l’Ain et de Haute-Savoie franchissent la frontière chaque matin. Elle l’est un peu plus depuis qu’un élu du Mouvement Citoyens Genevois, Mauro Poggia, a été nommé à la tête du Département de l’emploi.

                C’était à la fin 2013. Un an plus tard, le magistrat élargissait la directive pour la préférence cantonale, en place pour l’administration et les régies publiques depuis 2011, à tous les organismes subventionnés. Transports publics (TPG), services industriels (SIG), hôpitaux universitaires (HUG), EMS: ce sont désormais plus de 250 institutions qui ont l’obligation d’annoncer leurs postes vacants en primeur à l’Office cantonal de l’emploi (OCE). Soit 10 jours avant de les publier sur d’autres canaux de recrutement-.

                Le Temps.ch

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