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larazon
Les mises en garde du groupe sahraoui rappellent son passé terroriste dans les années 70-80, avec près de 300 victimes
Le Front Polisario, qui évolue dans le contexte du conflit que son grand soutien, l'Algérie, entretient avec le Maroc, est entré dans une dangereuse dérive aux mains de son chef, Brahim Ghali, qui, comme l'aboutissement d'une série de menaces lancées contre Ces derniers temps, l'Espagne a annoncé aujourd'hui qu'après la décision de Pedro Sánchez de reconnaître le plan d'autonomie de Rabat pour le Sahara, « il y aura des conséquences que vous devrez payer ».
Actualités liées L'Espagne, en particulier ses pêcheurs et les travailleurs des mines de phosphate de Bu Craa, savent, pour avoir souffert dans leur chair, que les menaces du Polisario ne doivent pas être prises comme de la bravade mais comme quelque chose de vrai et de dangereux.
Cette même semaine, tel que publié par LA RAZÓN, l'un de ses chefs militaires a annoncé des opérations « commando » contre « des villes occupées comme El Aioún, Dajla, Smara et Bojador. D'importantes entreprises espagnoles ont des intérêts dans des entreprises espagnoles qui, d'autre part, ont été « averties » à plusieurs reprises d'abandonner leurs activités dans la région.
Ghali, qui a tant à remercier l'Espagne de l'avoir sauvé de la mort du coronavirus, la seule chose qu'il a faite est de "mettre le guide sur le gâteau". Désormais, et toujours en tenant compte de ce que l'Algérie lui "permet" de faire , tout peut arriver. Il n'est pas exclu qu'un "saut qualitatif" des Sahraouis puisse être utilisé par Alger pour tendre davantage les relations avec Rabat.
Le 22, le chef d'état-major général de l'Armée de libération sahraouie (ELPS), Mohamed Luali Akeik, a annoncé que la guerre avec le Maroc s'étendra aux "villes sahraouies occupées": El Ayoun, Smara, Dajla (ancienne Villa Cisneros) et Bojador, avec des opérations de commando contre des cibles marocaines "sans affecter les civils". Ce qui suppose une nouvelle extension de l'offensive. et un saut qualitatif dans le conflit qui, s'il est réalisé, aura une réponse de Rabat.
Dans sa déclaration lors de la cérémonie de remise des diplômes des officiers de la SPLA, il a rappelé que "la décision de retourner à la lutte armée n'exclut aucune région d'une autre", soulignant que "tous les territoires sahraouis sont une cible légitime pour les combattants de l'armée sahraouie, en tenant compte de l'infrastructure et des points civils pour ne pas les endommager »
Il a confirmé que "la guerre s'étendra à l'avenir aux villes occupées par le Maroc, car il y a des Sahraouis imprégnés d'un esprit patriotique qui sont tout à fait prêts à mener des opérations de commando à l'intérieur des villes occupées contre des cibles marocaines".
Soit dit en passant, Luali Akeik a fait l'éloge de la révolution algérienne et de sa success story, la décrivant comme "une expérience historique différente et unique qui a été un exemple à suivre pour de nombreux peuples pour libérer leur pays" ajoutant que "la révolution algérienne est présente dans l'esprit des combattants sahraouis et du côté des peuples en quête de libération. qu'est-ce qu'il voulait dire? Que le Polisario va faire de même ?
En novembre de l'année dernière, le Front Polisario a été beaucoup plus précis en menaçant les entreprises qui travaillent au Sahara Occidental (il y a 14 Espagnols) ; Il les a avertis qu'ils devaient quitter ce territoire "immédiatement".
Le chef de la "septième région militaire" sahraouie, Taleb Ammi Deh, a proféré cette menace après que les dirigeants du groupe ont annoncé que l'activité militaire contre le Maroc allait augmenter. Il a assuré qu'il mènera bientôt la bataille au-delà du "mur de la honte" et qu'il considère tous les objectifs aériens, maritimes et terrestres légitimes puisque le territoire est en guerre.
"A la fois les civils et les investisseurs doivent quitter la zone, mener une attaque contre la présence marocaine dans la brèche, ce n'est qu'une question de temps", a-t-il ajouté.
Le fait que les polisarios menacent d'actions derrière le mur construit par le Maroc rappelle l'époque où ils s'attaquaient à toutes sortes de cibles et dont ils étaient victimes, entre autres, les travailleurs de Bu Craa Phosphate et les pêcheurs des îles Canaries, d'Andalousie, de Galice, des Basques, etc. Selon les chiffres manipulés par les victimes de ces événements, pendant treize ans, entre 1973 et 1986, le Front Polisario a mené 289 attentats contre des citoyens espagnols.
La peligrosa deriva del Frente Polisario al amenazar los intereses españoles en el Sáhara
larazon
Les mises en garde du groupe sahraoui rappellent son passé terroriste dans les années 70-80, avec près de 300 victimes
Le Front Polisario, qui évolue dans le contexte du conflit que son grand soutien, l'Algérie, entretient avec le Maroc, est entré dans une dangereuse dérive aux mains de son chef, Brahim Ghali, qui, comme l'aboutissement d'une série de menaces lancées contre Ces derniers temps, l'Espagne a annoncé aujourd'hui qu'après la décision de Pedro Sánchez de reconnaître le plan d'autonomie de Rabat pour le Sahara, « il y aura des conséquences que vous devrez payer ».
Actualités liées L'Espagne, en particulier ses pêcheurs et les travailleurs des mines de phosphate de Bu Craa, savent, pour avoir souffert dans leur chair, que les menaces du Polisario ne doivent pas être prises comme de la bravade mais comme quelque chose de vrai et de dangereux.
Cette même semaine, tel que publié par LA RAZÓN, l'un de ses chefs militaires a annoncé des opérations « commando » contre « des villes occupées comme El Aioún, Dajla, Smara et Bojador. D'importantes entreprises espagnoles ont des intérêts dans des entreprises espagnoles qui, d'autre part, ont été « averties » à plusieurs reprises d'abandonner leurs activités dans la région.
Ghali, qui a tant à remercier l'Espagne de l'avoir sauvé de la mort du coronavirus, la seule chose qu'il a faite est de "mettre le guide sur le gâteau". Désormais, et toujours en tenant compte de ce que l'Algérie lui "permet" de faire , tout peut arriver. Il n'est pas exclu qu'un "saut qualitatif" des Sahraouis puisse être utilisé par Alger pour tendre davantage les relations avec Rabat.
Le 22, le chef d'état-major général de l'Armée de libération sahraouie (ELPS), Mohamed Luali Akeik, a annoncé que la guerre avec le Maroc s'étendra aux "villes sahraouies occupées": El Ayoun, Smara, Dajla (ancienne Villa Cisneros) et Bojador, avec des opérations de commando contre des cibles marocaines "sans affecter les civils". Ce qui suppose une nouvelle extension de l'offensive. et un saut qualitatif dans le conflit qui, s'il est réalisé, aura une réponse de Rabat.
Dans sa déclaration lors de la cérémonie de remise des diplômes des officiers de la SPLA, il a rappelé que "la décision de retourner à la lutte armée n'exclut aucune région d'une autre", soulignant que "tous les territoires sahraouis sont une cible légitime pour les combattants de l'armée sahraouie, en tenant compte de l'infrastructure et des points civils pour ne pas les endommager »
Il a confirmé que "la guerre s'étendra à l'avenir aux villes occupées par le Maroc, car il y a des Sahraouis imprégnés d'un esprit patriotique qui sont tout à fait prêts à mener des opérations de commando à l'intérieur des villes occupées contre des cibles marocaines".
Soit dit en passant, Luali Akeik a fait l'éloge de la révolution algérienne et de sa success story, la décrivant comme "une expérience historique différente et unique qui a été un exemple à suivre pour de nombreux peuples pour libérer leur pays" ajoutant que "la révolution algérienne est présente dans l'esprit des combattants sahraouis et du côté des peuples en quête de libération. qu'est-ce qu'il voulait dire? Que le Polisario va faire de même ?
En novembre de l'année dernière, le Front Polisario a été beaucoup plus précis en menaçant les entreprises qui travaillent au Sahara Occidental (il y a 14 Espagnols) ; Il les a avertis qu'ils devaient quitter ce territoire "immédiatement".
Le chef de la "septième région militaire" sahraouie, Taleb Ammi Deh, a proféré cette menace après que les dirigeants du groupe ont annoncé que l'activité militaire contre le Maroc allait augmenter. Il a assuré qu'il mènera bientôt la bataille au-delà du "mur de la honte" et qu'il considère tous les objectifs aériens, maritimes et terrestres légitimes puisque le territoire est en guerre.
"A la fois les civils et les investisseurs doivent quitter la zone, mener une attaque contre la présence marocaine dans la brèche, ce n'est qu'une question de temps", a-t-il ajouté.
Le fait que les polisarios menacent d'actions derrière le mur construit par le Maroc rappelle l'époque où ils s'attaquaient à toutes sortes de cibles et dont ils étaient victimes, entre autres, les travailleurs de Bu Craa Phosphate et les pêcheurs des îles Canaries, d'Andalousie, de Galice, des Basques, etc. Selon les chiffres manipulés par les victimes de ces événements, pendant treize ans, entre 1973 et 1986, le Front Polisario a mené 289 attentats contre des citoyens espagnols.
La peligrosa deriva del Frente Polisario al amenazar los intereses españoles en el Sáhara
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