Tenue avec la participation de 21 pays de la façade atlantique, la première réunion ministérielle des États africains atlantiques a constitué une occasion de concevoir une vision africaine commune sur cet espace vital.
Les ministres des États africains atlantiques ont annoncé, mercredi, depuis Rabat, leur plein soutien à la Conférence des États africains atlantiques en tant que cadre approprié pour capitaliser sur les opportunités mutuellement avantageuses de coopération. Adoptant «la déclaration de Rabat», les ministres ont convenu de réactiver le secrétariat permanent de la Conférence, basé dans la capitale du Royaume. Ils ont également profité de cette occasion pour saluer la vision de S.M. le Roi pour faire de l’espace africain atlantique un cadre de coopération interafricaine pragmatique et opportune. Intervenant à l’ouverture des travaux de cette rencontre, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, a insisté, de son côté, sur l’importance de la structuration de l'espace africain atlantique.
Les ministres des États africains atlantiques ont souligné l’importance d’optimiser l’espace africain atlantique pour une gestion plus concertée et coordonnée de la gouvernance migratoire, à l'issue de leur première réunion ministérielle tenue mercredi à Rabat à l'invitation du Maroc. Ils ont exprimé à ce titre leur plein soutien à la Conférence des États africains atlantiques en tant que cadre approprié pour capitaliser sur les opportunités mutuellement avantageuses de coopération, y compris avec les mécanismes régionaux, sous-régionaux et inter-régionaux existants, dans le but de générer des synergies et de produire des réponses efficaces et proactives aux défis de cet espace partagé, notamment à travers la désignation de points focaux dédiés à la coopération africaine atlantique.
Les ministres ont rappelé, à cet égard, les déclarations issues des précédentes réunions ministérielles, dans le cadre de la coopération lancée depuis 2009, notamment la Déclaration de Rabat en date du 4 août 2009, document fondateur et de référence du Processus africain atlantique. Tenant compte de ces défis, la Déclaration de Rabat, adoptée au terme de cette réunion ministérielle, a souligné la nécessité d’agir collectivement à travers une coordination des actions sur un ensemble de thématiques stratégiques et de secteurs structurants, en vue de répondre aux impératifs de sécurité, de développement durable et de prospérité de cette zone commune. D'autre part, les ministres des États africains atlantiques ont affirmé que les États de la région ont la responsabilité première du renforcement des capacités des structures étatiques, de la défense de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale en termes de droit international.
Les ministres se sont engagés à poursuivre leurs échanges de coopération et de coordination appelant à un dialogue politique et de sécurité axé sur des thématiques de lutte contre le terrorisme, contre la criminalité transnationale organisée dans toutes ses formes, la piraterie maritime, le trafic des migrants et les prises d’otage en mer. Ils ont également appelé à des échanges approfondis pour saisir les opportunités dans les secteurs de l’économie bleue, de la connectivité maritime et de l’énergie, ainsi qu’à des concertations continues pour relever les défis environnementaux. Pour ce faire, les ministres des États africains atlantiques ont décidé d'établir trois groupes thématiques, chargés du dialogue politique et de sécurité, de l’économie bleue, de la connectivité maritime et de l’énergie, et du développement durable et de l’environnement. Dans ce sens, trois chefs de file ont été désignés pour diriger les 3 groupes thématiques, respectivement le Nigeria, le Gabon et le Cap-Vert. Tenue avec la participation de 21 pays de la façade atlantique, dont une quinzaine représentés au niveau ministériel, la première réunion ministérielle des États africains atlantiques a constitué une occasion de concevoir une vision africaine commune sur cet espace vital, de promouvoir une identité atlantique africaine et de défendre d'une seule voix les intérêts stratégiques du continent. Ses travaux se sont articulés autour de trois thématiques, à savoir «Dialogue politique, de sécurité et de sûreté», «Économie bleue et connectivité» et «Environnement et énergie», rappelle-t-on.
Les ministres des États africains atlantiques ont annoncé, mercredi, depuis Rabat, leur plein soutien à la Conférence des États africains atlantiques en tant que cadre approprié pour capitaliser sur les opportunités mutuellement avantageuses de coopération. Adoptant «la déclaration de Rabat», les ministres ont convenu de réactiver le secrétariat permanent de la Conférence, basé dans la capitale du Royaume. Ils ont également profité de cette occasion pour saluer la vision de S.M. le Roi pour faire de l’espace africain atlantique un cadre de coopération interafricaine pragmatique et opportune. Intervenant à l’ouverture des travaux de cette rencontre, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, a insisté, de son côté, sur l’importance de la structuration de l'espace africain atlantique.
Les ministres des États africains atlantiques ont souligné l’importance d’optimiser l’espace africain atlantique pour une gestion plus concertée et coordonnée de la gouvernance migratoire, à l'issue de leur première réunion ministérielle tenue mercredi à Rabat à l'invitation du Maroc. Ils ont exprimé à ce titre leur plein soutien à la Conférence des États africains atlantiques en tant que cadre approprié pour capitaliser sur les opportunités mutuellement avantageuses de coopération, y compris avec les mécanismes régionaux, sous-régionaux et inter-régionaux existants, dans le but de générer des synergies et de produire des réponses efficaces et proactives aux défis de cet espace partagé, notamment à travers la désignation de points focaux dédiés à la coopération africaine atlantique.
Les ministres ont rappelé, à cet égard, les déclarations issues des précédentes réunions ministérielles, dans le cadre de la coopération lancée depuis 2009, notamment la Déclaration de Rabat en date du 4 août 2009, document fondateur et de référence du Processus africain atlantique. Tenant compte de ces défis, la Déclaration de Rabat, adoptée au terme de cette réunion ministérielle, a souligné la nécessité d’agir collectivement à travers une coordination des actions sur un ensemble de thématiques stratégiques et de secteurs structurants, en vue de répondre aux impératifs de sécurité, de développement durable et de prospérité de cette zone commune. D'autre part, les ministres des États africains atlantiques ont affirmé que les États de la région ont la responsabilité première du renforcement des capacités des structures étatiques, de la défense de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale en termes de droit international.
Les ministres se sont engagés à poursuivre leurs échanges de coopération et de coordination appelant à un dialogue politique et de sécurité axé sur des thématiques de lutte contre le terrorisme, contre la criminalité transnationale organisée dans toutes ses formes, la piraterie maritime, le trafic des migrants et les prises d’otage en mer. Ils ont également appelé à des échanges approfondis pour saisir les opportunités dans les secteurs de l’économie bleue, de la connectivité maritime et de l’énergie, ainsi qu’à des concertations continues pour relever les défis environnementaux. Pour ce faire, les ministres des États africains atlantiques ont décidé d'établir trois groupes thématiques, chargés du dialogue politique et de sécurité, de l’économie bleue, de la connectivité maritime et de l’énergie, et du développement durable et de l’environnement. Dans ce sens, trois chefs de file ont été désignés pour diriger les 3 groupes thématiques, respectivement le Nigeria, le Gabon et le Cap-Vert. Tenue avec la participation de 21 pays de la façade atlantique, dont une quinzaine représentés au niveau ministériel, la première réunion ministérielle des États africains atlantiques a constitué une occasion de concevoir une vision africaine commune sur cet espace vital, de promouvoir une identité atlantique africaine et de défendre d'une seule voix les intérêts stratégiques du continent. Ses travaux se sont articulés autour de trois thématiques, à savoir «Dialogue politique, de sécurité et de sûreté», «Économie bleue et connectivité» et «Environnement et énergie», rappelle-t-on.
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